Débauche De Lorenzo

rien changé car il a été remplacé par un cousin encore plus tyran. Donc mort de Lorenzo inutile. 2) Alexandre est un tyran arbitraire, cruel, débauché qui va déshonorer toute les familles, par exemple avec l’achat d’une sœur Maffio et l’exil des frères Maffio. 3) Alexandre est le cousin de Lorenzo. Le duc accorde une confiance totale, un total aveuglement à son cousin qu’il appelle affectueusement « Renzo ». Lorenzo s’est rapproché du Duc par intérêt. Relation affectueuse et ambigüe (« mon mignon »)

| |LORENZO DE MÉDICIS, cousin du Grand-Duc. | |MADONNA MARIA SODERINI, mère de Lorenzo. | |MADONNA CATTERINA, sœur de Lorenzo. | |BINDO ALTOVITI, oncle de Lorenzo.

vois de l’adulte résonne de manière cynique et amère. Lorenzo est un être de fuite insaisissable qui change de visage, de sentiments et de discours selon les circonstances, dans sa souplesse rusée, passant de la bravade à un faux évanouissement. La difficulté est liée à la nécessité d’un dédoublement entre le sujet qui se voit comme objet d’investigation avec un manque de recul et d’objectivité évidents. Un décentrement doit être opéré. Lorenzo joue avec les limites de l’aliénation alors que les

libertés pour exprimer des sentiments. Lorenzo, le héros de cette pièce se veut romantique. Mais en quoi l’est-il? D’abord par son malheur dont il ne peut pas échapper. Ensuite il est livré à son destin, et ne peut donc rien changer par ses actions. D’une part son malheur est constitué par sa solitude, il n’a pas de compagnon ou d’ami parce que les autres ne le comprennent pas. Comme il met toujours son masque, on ne peut plus distinguer entre le vrai Lorenzo, et celui qu’il joue seulement pour

dans un cadre spatio-temporel défini 2. P2 : Un registre tragico-comique ◦ P1 A) Nous pouvons observer un contraste assez important entre les deux personnages qui semblent êtres les personnages principaux de cette première scène, en effet, Lorenzo est un personnage cynique mais lyrique. Il avoue avec insolence, et en la considérant comme naturelle, la corruption, qui est une conduite contraire aux règles morales, mais le fait d'une manière enthousiaste, avec une exaltation excessive. ( voir

littéraire apparu au XIXe siècle , il appartient au genre du théatre. Il y décrit un héros romantique Lorenzo de Médicis car au fur et à mesure de l'histoire il joue un double jeu , c'est un personnage qui tombe dans la débauche. I) Le temps et le lieu L'histoire se passe à Florence en Italie au XVIe qui se déroule en plusieurs jours. L'oeuvre débute le soir à l'extérieur avec le duc de Médicis et Lorenzo qui sont les deux personnage principaux et enfin Giomo que nous pouvons remarquer grâce à la didascalie

Alexandre de Médicis pour tenter de l’influencer vers une réconciliation avec les républicains, mais finit par tout avouer à son époux, dans un élan de culpabilité naïve. De même, Catherine, tante de Lorenzo de Médicis, est un personnage d’innocence et représentatif de la pureté car elle aime en secret Lorenzo de Médicis, le protège sans rien demander et refuse les avances du Duc. Enfin, nous retrouvons le personnage de Marie Soderini, la mère de Lorenzaccio, qui a une place de femme innocente, trompée

de retour de Rome et ce dernier l’informe que le Pape Paul III est irrité des désordres auxquels se livre Lorenzo. Le Duc prend alors la défense de son cousin. C’est à ce moment qu’apparaît Lorenzo. Nous étudierons tout d’abord le fait que ce passage constitue une joute verbale puis nous nous intéresserons ensuite au simulacre du duel et enfin, nous terminerons par l’évanouissement de Lorenzo à la vue de l’épée. Je conclurai en montrant en quoi ce texte s’inscrit dans le genre théâtral du drame romantique

 La première scène de l'Acte I de Lorenzaccio, amène dès le début au lecteur l'image d'une ville corrompue, et dans laquelle les deux personnages principaux, à savoir le Duc de Médicis et Lorenzo, apparaissent déjà comme malsain et débauchés. Seulement, les éléments de l'intrigue ne sont pas encore présentés. L'exposition de ceux-ci sont donc étalés sur plusieurs scènes, notamment avec la scène deux, un marchand de soieries et un orfèvre discutent du bal donné par les Nasi, une autre grande famille

deux, au cours de la seule année 1830, le Camp de Compte, de Loève-Veimars, et les Mécontents, de Prosper Mérimée. Elle eut tôt fait de découvrir, dans les Chroniques florentines de Benedetto Varchi, un sujet dramatique et neuf c’était l'aventure de Lorenzo de Médicis, -Lorenzaccio-, qui, vivant à la cour du duc Alexandre, son cousin, avait, par une longue et savante dissimulation, gagné la confiance de celui-ci et préparé le guet-apens où le tyran de Florence devait trouver la mort. Le vieux chroniqueur