Débauche De Lorenzo

avec Hugo. En effet, Musset s’est libéré des règles classiques et a créé un véritable héros romantique en prise avec lui-même et le monde dans lequel il cherche sa place. Synopsis : Acte 1 : Florence en 1537 Scène 1 : Accompagné de Lorenzo et de Giomo, Alexandre enlève en pleine nuit une jeune Florentine. Son frère Maffio essaye en vain de s'interposer. Scène 2 : Le lendemain matin, sortie du bal Nasi: à travers la conversation des badauds, tableau de la situation politique de Florence

permanent _Pliskin_ Voir le profil de _Pliskin_ Posté le 29 septembre 2012 à 22:55:21 Avertir un administrateur Lorenzaccio, je l'avais lu à peu près à l'époque de The Dark Knight, et je pouvais pas m'empêcher d'imaginer Heath Ledger en parfait Lorenzo à la lecture. Sinon, j'avais trouvé ça très bien. Qu'est ce qui te déplaît dans la pièce ? Et l'acte II scène II, il se passe quoi ? Ça fait longtemps, donc si tu pouvais me rafraîchir la mémoire... Lien permanent RougeGris Voir le profil

que par l’ambiguïté du personnage Lorenzo, qui est lui-même un reflet de l’auteur. En quoi cette omniprésence du thème du double a-t-elle un rôle dramatique, et plus encore ? Si nous reconnaissons, dans cette pièce, un des principes fondamentales énoncés par Hugo dans la préface de Cromwell, à savoir l’opposition du sublime et du grotesque ; on remarque aussi que l’ambiguïté entre Lorenzo et son masque Lorenzaccio est troublante, mais surtout que Musset et Lorenzo semblent n’être qu’une seule et même

Acte I, scène 4 Les premières scènes se caractérisent par le déguisement et la dissimulation. Lorenzo apparaît caché par un manteau et le duc se révèle aux yeux de Maffio (Acte1, sc.1). La fête est peuplée de masques et le duc se présente habillé en religieuse (Acte1, sc. 2). Le cardinal soulève une tapisserie qui dissimulait l'espion qu'il utilise (Acte1,sc.3). Enfin, la scène 4, où Lorenzo est présent au premier plan pour la deuxième et dernière fois dans le premier acte, renforce les ambiguïtés

contexte historique et l'auteur. * Les personnages féminins On peut remarquer qu’il y a quatre personnages féminins présents dans la pièce de Musset dont : -Marie Sodernie, qui est la mère de Lorenzo et apparait aux Acte I, scène 6 ; Acte II, scène 4 ; Acte III, scène 4 -Catherine Ginori, la tante de Lorenzo qui apparait aux Acte I, scène 6 ; Acte II, scène 4 ; Acte III, scène 4 -La Marquise Cibo, qui apparait aux Acte I, scène 3 ; Acte II, scène 3 ; Acte III, scène 5 et 6 ; Acte IV, scène 4 

laquelle la pièce se déroule… bref, cette seconde scène a, elle aussi, tous les attributs d’une scène d’exposition. Cependant, il serait trop s’avancer que d’affirmer que la scène première est dépourvue d’intérêt. Ses deux principaux protagonistes sont Lorenzo (qui donne son surnom à la pièce, qu’on sait donc être le personnage principal) et le Duc Alexandre de Medicis – lesquels sont absents de la scène suivante. Ceux-ci attendent de nuit, dans un jardin, une jeune fille du nom de Gabrielle. C’est dans

Marie Soderini, qui observe Lorenzo avec le regard triste de la mère du poète, dans certains anachronismes révélateurs (ainsi le souvenir de la mère, dans l'acte I, évoquant son fils rentrant du collège, « tout baigné de sueur, avec ses gros livres sous le bras... », est visiblement autobiographique). La présence du poète s'avoue enfin dans la dissociation du moi, thème récurrent dans son œuvre. Ces deux moi sont partiellement mis en scène dans le dialogue entre Lorenzo et le peintre Tebaldeo et plus

CiboCôme de Médicis | Le premier acte décrit la situation à Florence en 1537. On y voit le duc Alexandre de Médicis séduire et enlever une jeune fille avec l’aide de Lorenzo (scène 1). Pendant la scène 4, Lorenzo, provoqué en duel, s’évanouit à la vue d’une épée. Plusieurs scènes de rue montrent le peuple de Florence déplorant la débauche du duc et commentant généralement les évènements de l’histoire. (scènes 2, 5 et 6). Autour du Duc s’entrelace trois intrigues auxquelles prennent part les personnages

une garnison allemande assurant sa protection. Lorenzo devient fidèle serviteur du duc, son familier ainsi que son compagnon de débauche. Afin de pouvoir libérer Florence de ce tyran, il projette de le tuer, soulignant la passivité et la lâcheté des grandes familles républicaines face à leur devoir. Les républicains ne réussiront d'ailleurs pas à prendre le pouvoir après la mort du Duc. L'échec de l'acte de Lorenzo semblait prédestiné : en effet Lorenzo agit seul et personne n'a le courage de le croire

Clair de lune. Minuit, 29 décembre 1535. Aidé de Giomo, son homme de main, le duc Alexandre enlève sous les yeux de son frère une jeune fille que Lorenzo, son âme damnée, vient de lui acheter. 2 Une rue. Le point du jour. Plusieurs commerçants et bourgeois commentent la situation politique de la ville. Déguisés en religieuses, Alexandre et Lorenzo sortent d'un bal. Un des sbires ordinaires du duc, Julien Salviati, tient des propos inconvenants à Louise Strozzi. 3 Palais Cibo. Avant midi