Débauche De Lorenzo

Lorenzaccio II 2  Lorenzo / Tebaldeo « Une blessure sanglante (…) je ne fais de mal à personne » Duel verbal avec rapport de forces inégal, tu / vous Vocab : catin 1530 : abrév fam puis péj de Catherine, femme de mauvaise vie Alambic : appareil qui sert à distiller, alchimie 1418 : science occulte de transmutation des métaux Tebaldeo est un peu le Lorenzo d’autrefois, donc les deux personnages sont un peu frères par leur amour de l’absolu (« un étranger vêtu de noir qui me ressemblait comme

En quoi Lorenzo est-il un héros romantique? Lorenzaccio est une pièce romantique, ne serait-ce que par ses oppositions à la pièce classique, et néglige un bon nombre de règles très strictes. Et c’est une des idées essentielles du romantisme de fuir les restrictions et de prendre plus de libertés pour exprimer des sentiments. Lorenzo, le héros de cette pièce se veut romantique. Mais en quoi l’est-il? D’abord c’est son malheur dont il ne peut pas échapper. Ensuite il est livré à son destin, et ne

en tyran.  Va devenir son fidèle serviteur mais surtout son compagnon de débauche pour pouvoir mieux l’approcher. Scène 9 acte 4, A partir de l’acte 4, il y a une grande tension dans la pièce, dans la scène 9, c’est la 3eme fois qu’il se retrouve  situation de monologue  stress intérieur  il se questionne. Nous verrons  monologue installe ambiance particulière Puis nous remarquerons  évolution état d’esprit lorenzo Enfin nous observerons  répétition générale du meurtre Partie I Les didascalies

Médicis y règne par la terreur avec l'appui du Saint-Empire de Charles Quint et du pape Clément VII. On le déteste, mais pas autant que son cousin, son âme damnée : Lorenzo de Médicis, méchamment surnommé Lorenzaccio. Lorenzo de Médicis se voue à la restauration de la République. Aussi, il devient fidèle serviteur du duc, compagnon de débauche, dans l’espoir de le tuer pour libérer Florence du tyran, et mettre les grandes familles républicaines face à leur responsabilité. Mais, après le meurtre, celles-ci

l’amour. Il y a aussi me fatalité du malheur : destinée toujours tragique du tragique romantique qui se sont marginal, condamné { l’amour impossible. Il sent son moi mystérieux. Il et tellement angoissé qu’il cherche des solutions dans l’alcool et le débauche (l’opium pour Musset). Il fuie mâle vers d’autres pays et d’autre temps (Walter Scott et le Moyen-Âge, Musset et la Renaissance dans Lorenzaccio). Les légendes, les contes ou le merveilleux sont aussi des refuges potentiels. Musset : mon premier

personnages a la ville de Florence. Ce procédé nous indique l’importance dramatique essentiel de la ville, elle en vient a jouer un rôle ds l’intrigue. C’est elle qui a pervertie Lorenzo, c’est elle qui amène l’adultère de la Marquise. Trois systèmes antithétiques a) La mère nourricière et la marâtre. Acte II,2 : Tebaldeo et Lorenzo .Pour T. Florence est une mère. Idéal artistique d’intégrité et de vertu. Image similaire qui se dvt dans le monologue de Phillipe : personnification de Florence comme mère

» J.-P. VINCENT, Programme du Théâtre des Amandiers, Nanterre, 2000. Justifiez ce rapprochement par des références à des scènes précises de Lorenzaccio. On peut faire de nombreux rapprochements entre la Florence déchue et corrompue de Lorenzo et la France de Musset, sous l’ordre bourgeois de la Monarchie de Juillet de 1830. En effet, lorsque l’on évoque « l’invasion ecclésiastique », on ne peut s’empêcher de penser à la place importante que tient la religion dans Lorenzaccio avec

comprendre le présent, en lui montrant une pièce historique se déroulant dans le passé. Dans Lorenzaccio, par exemple, la pièce se termine sur plusieurs meurtres et sur une série de désillusions. La pièce dépeint la ville de Florence qui sombre dans la débauche sous le règne d’Alexandre de Médicis. Celle-ci est en fait symbolique ; en effet, à travers ce drame historique, Alfred de Musset dénonce les problèmes de son époque, notamment ceux des femmes, du peuple ou encore de la jeunesse sous le règne de

de fêtes et de débauche, elle est très souvent érotisée par un Lorenzo très lucide : « une courtisane », « un mauvais lieu », « une catin » (II, 2). Ces images érotiques très nettement péjoratives assimilent la ville à une femme bafouée, soumise à la tyrannie, corrompue par les excès qu’elle engendre. De ville fleur, elle devient une « fange sans nom », (I, 6) lieu par excellence de la souillure. Elle est un espace de perte des valeurs morales où le travestissement et la débauche sont valorisés.

D'ailleurs ce caractère trouble du personnage est symbolisé par les différents noms qu'il reçoit tout au cours de la pièce tels que « Lorenzo de Médicis » (le duc, acte I, scène 4), c'est le nom prestigieux du descendant d'une famille noble ou encore « Renzino » (le duc, acte II, scène 4), il s'agit du surnom familier donné au compagnon de débauche. Et, « Lorenzaccio » (Lorenzo, acte III, scène 3), c'est le terme péjoratif qui s'applique à l'individu dangereux maudit par les gens honnêtes. Ensuite, on