Débauche De Lorenzo

part d'un héros voué au malheur, ou amour impossible. Lorenzaccio a été composé à partir d'un fait historique réel. Lorenzo apparaît comme un personnage ambiguë et à la fois complice de A. La tirade de Lorenzo nous livre un aspect de sa personnalité. Pour étudier ce texte on s'appuiera sur la composition en deux parties, d'abord le dialogue entre Lorenzo et A, puis la tirade de Lorenzo. Il y a la didascalie initiale : elle nous renseigne sur le lieu, le moment, les personnages. La scène se passe

Vil et sublime : Lorenzo en personnage romantique Contexte scène L'acte III nous montre toute la préparation du meurtre. La scène 3 qui occupe la partie centrale de l'acte et de la pièce se déroule dans la rue et montre d'abord l'arrestation de Pierre et Rhomas Strozzi. Arrive alors Lorenzo qui se retrouve avec Philippe et montre son véritable visage : un jeune homme qui a tout sacrifié pour mettre à bien son projet. Philippe demande à Lorenzo "Pourquoi ce meurtre ? Plan I. Lorenzo : un personnage

de Lorenzaccio - Alfred de Musset   Acte 1 Scène 1 : Lorenzo, Giomo et Alexandre de Médicis   Une nuit, dans un jardin de Florence, Lorenzo et Giomo accompagnent Alexandre de Médicis. Ils attendent une belle jeune fille que le duc a payée pour aller avec lui au bal de Nasi. Celle-ci se fait attendre, quand son frère - Maffio - la voit traverser le jardin. Inquiété par sa fugue, il la poursuit et tombe nez à nez avec le duc, Giomo et Lorenzo. Il leur demande ce que cela signifie. Il les menace de

plusieurs raisons, dont une mettant Lorenzo au premier plan. En effet, dans le dernier acte, Lorenzo est poursuivi par la justice pour le meurtre du duc et désigné comme le responsable de la déchéance de Florence sous les ordres d’Alexandre. De là, les avis de recherche fusent, les récompenses pour sa tête sont plutôt importantes, de sorte que même le peuple le traque. Accusé et sali, Lorenzo n’est plus rien. Il œuvrait pour le bien de Florence, mais son passé de débauche s’est confondu avec le présent

jours. La rèle de bienséance n'est également pas quelque chose de respectée: le Duc est un débauché, aimant les femmes et la sexualité, des meurtres comme par exemple l'empoisonnement de Louise sont joué face aux spectateurs alors que normalement une mort doit être indirectment annoncée par un personnage sur scène. Ce qui pose egalement un soucis dans la représentation scènique, c'est le fait que Lorenzo est un presonnage extrêmement complexe: il détient une personnalité aux facettes tellement variées

lieu. Que sait-on de Lorenzo, à ce stade de l’œuvre ? Prouvez ce que vous écrivez. (3 points) Lorenzo est persifleur et cynique puisqu’il dit au duc dans la première scène : « dites que la vieille mère est une honnête femme » alors que celle-ci a vendu sa fille. Il est aussi ironique lorsqu’il évoque Gabrielle qui ressemble à « une jeune chatte qui veut bien des confitures mais qui ne veut pas se salir les pattes.»On peut le qualifier de pervers : il voit la débauche poindre derrière le masque

2 sc 4 Bindo et venturi sont dehors. Lorenzo est dans la salle. Ils rentrent. BINDO. Lorenzo, pourquoi ne démens-tu pas l'histoire scandaleuse qui court sur ton compte ? LORENZO. Quelle histoire ? BINDO. On dit que tu t'es évanoui à la vue d'une épée. LORENZO. Le Croyez-vous, mon oncle ? BINDO. Je t'ai vu faire des armes à Rome ; mais cela ne m'étonnerait pas que tu devinsses plus vil qu'un chien, au métier que tu fais ici. LORENZO. L'histoire est vraie : je me suis évanoui

duc Alexandre Médicis. En effet, le protagoniste, Lorenzo, a passé les dernières années à préparer ce tyrannicide et a précédemment soliloqué avec Philippe Strozzi afin de déclarer l’assassinat d’Alexandre, ainsi que les raisons qui le poussaient à commettre le meurtre. Lorenzo réussit chaque étape de son complot, arrive enfin à la dernière : emmener son cousin Alexandre dans sa chambre sous la demande de ce dernier de rencontrer la tante de Lorenzo, Catherine Soredini. Ce dont Alexandre ne se doute

janvier 1537. Lorenzo de Médicis, jeune débauché cynique, pourvoit aux plaisirs de son cousin, le tyran de Florence, le duc Alexandre de Médicis. Peu à peu derrière le masque de l’homme corrompu apparaît un autre Lorenzo, bien différent du méprisé Lorenzaccio, puisqu’il aspire à assassiner le duc et ainsi à offrir aux Florentins la possibilité de reconquérir leur liberté. Le drame politique se double d’un drame psychologique ; dans une longue confession (acte III, scène 3) Lorenzo avoue son impossibilité

plan, ne faisant pas avancer l'intrigue, considérée comme inutile jusqu'ici. De plus, elles sont constamment effacées dans l'intrigue : dans la scène 4 de l'acte II, dès l'arrivée de plusieurs hommes venant s'adresser à Lorenzo, Marie et Catherine qui discutaient avec Lorenzo s'effacent tout de suite de la scène en quittant la pièce, comme soumises et inutiles au reste de la conversation. La Marquise Cibo notamment représente le côté "inutile" de la femme dans la pièce puisque même si elle essaye