Déchéance De Fantine

traitent le plus souvent comme des marchandises, à "délocaliser" si le marché s'avère plus lucratif ailleurs, "On a eu un cas de chantage quand un proxynète qui était un vulgaire maquereau a menacé de dénoncer un enfant de pute à l'Assistance, avec déchéance paternelle pour prostitution, si elle refusait d'aller à Dakar" ; brutalisées par leurs clients (comme Madame Lola, le travesti) mais aussi persécutées par un système qui leur interdit d'élever leurs enfants, "Moi j'ai vu chez nous des mères pleurer

ans ce tome s'entremêlent deux destinées : celle de Fantine et celle de Jean Valjean. Le livre commence par le portrait d'un évêque, Monseigneur Myriel. Il vit très chichement dans son diocèse de Digne en compagnie de sa sœur Baptistine et d'une servante, Madame Magloire. Ce religieux est un juste qui se contente du strict nécessaire pour distribuer le reste de ses économies aux pauvres. Doué d'un amour immense, il laisse sa porte grande ouverte et fraternise avec ceux que la société rejette. Son

loi sociale et respect de la loi morale. Les Misérables est aussi un hymne à l'amour : amour chrétien sans concession de Mgr Myriel qui, au début du roman, demande sa bénédiction au conventionnel G (sans doute l'abbé Grégoire3 ) ; amours déçues de Fantine et Éponine ; amour paternel de Jean Valjean pour Cosette ; amour partagé de Marius et Cosette. Mais c'est aussi une page de la littérature française dédiée à la patrie. Au moment où il écrit ce livre, Victor Hugo est en exil. Aidé depuis la France

livre sera un des principaux sommets, sinon le principal, de mon œuvre2». Sommaire [masquer] 1 Le roman 1.1 Genèse 1.2 Motivation 1.3 Influences 1.4 Réception 1.5 Utilisation du langage populaire dans Les Misérables 2 Résumé 2.1 Tome I : Fantine 2.2 Tome II : Cosette 2.3 Tome III : Marius 2.4 Tome IV : L'idylle rue Plumet et l'épopée rue Saint-Denis 2.5 Tome V : Jean Valjean 3 Personnages 4 Éditions 5 Ressources bibliographiques 6 Adaptations 6.1 Cinéma 6.2 Télévision 6.3 Dessins

populaires de la littérature française. C’est un roman à la fois historique, social et philosophique. On peut voir dans les romans de Hugo un seul combat : celui de l’abolition de la peine de mort. Le passage étudié est le 3ème tome de la série, Fantine jeune fille-mère, malade décide de laisser sa fille Cosette à la famille Thénardier en attendant des jours meilleurs. L’intérêt du passage réside dans la première apparition du couple Thénardier, l’auteur se focalise sur leur description. En quoi

cossus de la pension. Nous nous demanderons donc en quoi ce personnage éponyme est un héros pathétique. Tout d'abord, nous nous intéresserons à la déchéance de cet homme puis nous montrerons qu'il est tel un souffre-douleur au sein de la pension. Problématique : En quoi ce personnage éponyme est-il un héros pathétique ? I . La déchéance d'un homme Alors qu'il était un commerçant prospère de belle allure à son arrivée à la pension en 1812, le père Goriot subit une chute sociale

Après 19 années passées au bagne, Jean Valjean dirige une entreprise prospère. Il promet à Fantine, une des ses ouvrières, de prendre soin de sa fille Cosette. Traqué par l’inspecteur Javert qui a reconnu l’ancien bagnard et le considère comme un éternel criminel, Jean Valjean est arrêté à nouveau mais parvient à s’évader. Il arrache Cosette à sa famille d’accueil, les Thénardier, qui la martyrisent, et se réfugie avec elle dans un couvent. Les années passent et tous les personnages se retrouvent

sommets, sinon le principal, de mon œuvre » Les Misérables met en scène l’histoire et le progrès du peuple en marche!; malgré cette dimension épique, les personnages principaux - leurs expériences, leur souffrance, etc. - sont nettement individualisés. Fantine, Jean Valjean, Cosette, Marius, Gavroche restent en effet dans leurs destins particuliers (quoique représentatifs de toute leur classe) les enjeux essentiels du récit. L’écroulement de l’Empire lors de la guerre contre la Prusse en 1870 permit à Victor

loi sociale et respect de la loi morale. Les Misérables est aussi un hymne à l'amour : amour chrétien sans concession de Mgr Myriel qui, au début du roman, demande sa bénédiction au conventionnel G (sans doute l'abbé Grégoire5) ; amours déçues de Fantine et Éponine ; amour paternel de Jean Valjean pour Cosette ; amour partagé de Marius et Cosette. Mais c'est aussi une page de la littérature française dédiée à la patrie. Au moment où il écrit ce livre, Victor Hugo est en exil. Aidé depuis la France

divine ? Regardez la vie de près. Elle est ainsi faite qu'on y sent partout de la punition. » Puis sociale : tout le roman illustre l'injuste loi qui profite à la bourgeoisie ( sans travail, Jean Valjean vole un pain pour nourrir ses sept neveux, Fantine vend ses cheveux, ses dents, se prostitue pour payer les Thénardier ), la sévérité des juges indifférents au récit des malheurs de Champmathieu, la déshumanisation du bagne, lieu d'abrutissement et de férocité, l'impossible réinsertion sociale du