Décomposition International De Processus Productif

Chapitre 7 Les fondements des échanges internationaux Depuis deux siècles, les économistes débattent sur la question théorique en matière d’échanges de biens et de services au niveau international. Ce débat reste lié en réalité au problème du choix entre libre échange et protectionnisme. Quel est le régime le plus favorable à la croissance, au développement économique et au bien être pour les nations. Le développement des échanges internationaux est fondé sur un ensemble théorique qui s’est développé

autre société non résidente. La société mère contrôle des filiales (+ 50% du capital), des sociétés affiliées (10 à 50%) ou des joint venture (50/50%). Leur nombre est passé de 7 000 dans les années 1960 à 82 000 de nos jours. Comment s'est passé ce processus de globalisation des firmes ? Au XIXe et dans la première moitié du XXe siècle, ce sont les FTN européennes qui investissent directement à l'étranger (IDE) dans leurs colonies. Elles y implantent des "filiales primaires" pour se procurer les produits

de la production agricole et industrielle → pénuries alimentaires, endettement public. L'inflation sévit, pas de retour à la convertibilité des monnaies possible. → 1944 : accords de Bretton Woods, instauration du nouveau système monétaire international : consacre la domination du dollar. L'Europe accepte l'aide du plan Marschall (13, 6 milliards de dollars distribués de 1947 à 1952). 3/ Les grandes disparités du développement au milieu du XXème siècle RU : 1ère puissance économique

d'ouverture des économies nationales sur un marché mondial, entraînant une interdépendance croissante des pays). o Un monde de flux :  Des flux économiques : Produits manufacturés, Matières premières, …  Des flux humains : Migrations internationales, Flux touristiques, …  Des flux immatériels : Flux financiers, Internet, … o … structuré par des acteurs multiples : o … et impactant des territoires de façon plus ou moins importante :  A l’échelle mondiale : une mondialisation hier

chapitre 4 : Les fondements de l’Échange international I) Les thÉories classiques de l’Échange international La division internationale du travail (DIT) désigne le fait que les pays se sont spécialisés pour produire certains biens économiques : ils ne travaillent pas tous sur les mêmes produits et, de ce fait, échangent entre eux leur production. Reste à déterminer comment s’opère la répartition des rôles de production. Plusieurs explications ont été retenues au fil du temps : A) Les coûts de

Géographie des sièges sociaux des centres de décisions et de recherches B. Structure internationale d’une firme transnationale type a. Localisation de l'appareil productif b. L'inexistence économique d’un tiers espace C. Échelle nationale d’implantation a. Un gradian depuis le littoral vers l’intérieur du territoire b. Une question d’altitude II. Les flux financiers participent largement les processus de mondialisation A. Pole de la Triade : principaux stocks d’IDE a. A l’échelle

cadre de la mondialisation A/ L’explosion des échanges La mondialisation désigne un processus d’intégration croissante des économies avec l’accroissement des mouvements de biens et services, de main-d’œuvre et de capitaux à l’échelle mondiale. Les échanges ont lieu aujourd’hui sur des marchés devenus mondiaux. Depuis la Seconde Guerre mondiale, le commerce international a explosé, dépassant les 5 % de croissance par an, et atteignant parfois les 10 % de croissance. Les échanges

ensemble urbain continu Double lecture de Marseille et de sa métropole. Hypothèses qui sous entend l’analyse de Morel : Il y a sur la région marseillaise, un processus de métropolisation en cours Processus singulier, et relève d’une double logique économique, une logique de déclin économique de la ville centre, et une logique d’intégration au processus de globalisation de l’hors-Marseille. Cette double proposition doit être précisée d’un point de vu général. Il faut lier les transformations urbaines aux

change favorable. Conquérir des marchés : pouvoir d’achat élevé, contourner les barrières protectionnistes, meilleure connaissance des marchés La division internationale des processus de production : bénéficier du savoir-faire des autres pays. Les firmes multinationales (FMN) procèdent à une décomposition internationale des processus productifs (DIPP). Elles répartissent la fabrication des éléments d’un même produit dans différent pays en fonction de leur savoir-faire. Une réglementation moins contraignante

investir dans des pays où elles ne courent pas de risques économiques, politiques ou sociaux. 2) Les FMN à l’origine de la DIPP ( décomposition internationale des processus productifs) Les FMN produisent de plus en plus souvent les différents segments d’un même produit dans des lieux différents en cherchant à profiter au maximum des différences de coûts. Ce processus est d’autant plus poussé qu’il est décomposable. Un tiers du commerce mondial est réalisé au sein même des FMN. II - L’impact