Découpage Le Dictateur

dégénère en guerres civiles pour aboutirent à des dictatures (régime exceptionnel prévu en cas de conflits grave pour une durée de 6 mois). Beaucoup de généraux essaient et s'emparent du pouvoir, ils se déclarent gouverneur (en fait ce sont des dictateurs). César a essayé de trouvé des solutions. Il est mort en 44 av.J-C. Son fils adoptif Octave ( -27 à 14) est porté au pouvoir et se fait décerner, par le Sénat, le titre d'Auguste. Octave Auguste: ère nouvelle de l'empire. 7 §.3: L'empire

Modernes » => cela présuppose un Etat souverain gouverné par un monarque absolu, libéré des pouvoirs concurrents, l’ordre politique féodal n’existe plus et le Roi a donc la pleine-puissance. A la Révolution, la propagande veut que ce roi soit un dictateur, un tyran imposant des mesures arbitraires… On parle d’absolutisme pendant la période révolutionnaire mais ce terme n’a été forgé qu’en 1797 par Chateaubriand, « absolutisme » rime avec « despotisme ». Le Roi connait néanmoins des limites dans

affrontait dans un contexte très troublé une bonne partie des députés du FLN se croyant trahi par Chadli Bendjedid qui a opté pour le "retournement de veste". Le chef du gouvernement était fortement investi dans les projets de loi électorale et de découpage électoral, victime de la manipulation de l'information et de l'hostilité des généraux mafieux à qui il envisageait de restreindre leurs bénéfices (un niveau de commissionnement de l'ordre du milliard de dollars annuel selon nos estimations). L'ensemble

consulat provisoire avec 3 consul, Bonaparte, Sieyès, et Roger Ducos. 2) L’empire Le projet de Bonaparte est d’instaurer une dictature, mais il commence par le faire sous couvert d’institution démocratique. Il y a des événements avec lesquels le futur dictateur est obligé de faire avec. Il commence par une constitution du 13 décembre 1799, 95 articles mais pas de déclaration des droits. Les aspects démocratique on va les choisir en apparence, Législateur, tribun, consul, conseiller d’état, ministre, administrateur

procédure, les principes juridiques (droit prétorial : droit jurisprudentiel qui émane des juges). - Autres magistrats : encore en dessous. Ils s'occupent du recensement, du fisc. - Et dans certains cas recours à un magistrat qu'on nomme le dictateur. Il agit seul et son mandat ne dépasse pas 6 mois. Il est nommé dans des cas urgent (guerre, etc) et dispose pendant une courte période de l'imperium. Ses actes restent néanmoins contrôlés par le sénat. - le PEUPLE qui est présent au sein d'assemblées

fascinant pouvoir. Tout d'abord la parole humaine, la conscience morale éventuellement sublimée par l'art ont une importance, peuvent influencer les destinées du monde. Une anecdote illustre cette affirmation. Alors qu’on parlait du pape à Staline, le dictateur soviétique rétorquait : « combien a-t-il de divisions ? » exprimant par là le peu de considération pour le pouvoir spirituel du chef de l'Église catholique. Pourtant il se trompait puisque quelques décennies plus tard, un pape polonais contribuait

l'oligarchie. Le régime autocratique c'est le régime l'hétéronomie : consiste à obéir à des normes que l'on n'a pas formées soi même, il est tout entier soumis à des normes qu'il n'a pas crées : revenant à l'autocrate: tel qu'il soit que ce soit un dictateur ou autre.. Le régime d'autonomie le sens contraire de l'autocratie. En ce sens, l'autonomie est l'autre nom de la liberté politique au sens collectif du terme. Idéalement, quand un peuple vit en démocratie, il n'est soumis qu'aux normes qu'il

république signe les ordonnances (et aussi article 38). Peut-il refuser de signer ? Le débat est né de la pratique : en 1986 le Président Mitterrand a refusé de signer trois ordonnances (une sur les privatisations, aménagement du temps de travail et le découpage des circonscriptions électorales). Les avis sont partagés. La signature du Président (article 13) semble comme pour la promulgation des lois de l’article 10, une étape officielle de la procédure, une authentification du texte. Cette interprétation

Les temps de la transition espagnole », Temporaliste, n°38, octobre 1998, p. 5-9. L'Espagne, Les collections de l'Histoire, n°31, avril-juin 2006 : trois articles permettent de faire une mise au point rapide sur Franco (Franco, portrait d'un dictateur »), sur la transit ion et le rôle de Juan Carlos (« Comme un parfum de revanche... ») et sur la question basque (« D'où viennent les nationalistes basques ? »). 3) Pour les élèves www.annecinespagnol.fr : site de la Biennale du cinéma espagnol

magistrats, c'est-à-dire les hommes politiques, c’est l’élément monarchique de la cité. Chaque magistrat est chargé d’un parti du gouvernement de la cité. Il y a 7 catégories de magistrats qui gouvernent la cité. Il y a un premier magistrat : dictateur à qui l’on donne les pleins pouvoirs pour défendre la cité en cas d’attaque… La constitution romaine est donc souple car elle contient une partie aristocratique, monarchique et démocratique. C. La fin de la République