Décrire Colère

faut qu'il s'y échauffe et qu'il se pipe lui-même en s'imaginant qu'il serait heureux de gagner ce qu'il ne voudrait pas qu'on lui donnât à condition de ne point jouer, afin qu'il se forme un sujet de passion et qu'il excite sur cela son désir, sa colère, sa crainte pour l'objet qu'il s'est formé, comme les enfants qui s'effraient du visage qu'ils ont barbouillé. d'où vient que cet homme qui a perdu depuis de mois son fils unique et qui est accablé de procès et de querelles était ce matin si troublé

grimper aux murs. Il est sorti de sa chambre (=monde clos) pour aller dans le salon qui représente la famille donc l’aspect social (=monde ouvert). Réaction du père et soumission du fils Réaction du père sévère (symbolisant l’autorité) qui est en colère lorsqu’il voit son fils (« empoigna », « attrapa », « chassa » montre sa fureur et sa violence) ; le père le domine, il ne se maîtrise pas, il agit par instinct. Il lui jette des pommes (« bombarder » montre la violence de l’action) il est incapable

craquement d'une immense pièce de soie que l'on déchire. C'était la fusillade du boulevard des Capucines. p.311 L'histoire de Paris revient en force dans le roman avec la fusillade des Capucines dans la rive droite. C'est l'image de la capitale en colère, avec "des guirlandes de feux", "des blancheurs de baïonnettes." L'histoire rattrape Frédéric, qui n'a pourtant l'air de ne pas se soucier. Il pense en effet plus à l'amour qu'à Paris. S'en suit après toute l'histoire de la révolution. Cette tranquillité

l’injustice de l’abandon. 2) Bérénice, un personnage dans l’anxiété amoureuse. a) Une reine autoritaire Elle est confiante dans son pouvoir et n’hésite pas à brandir des menaces. On peut relever la gradation vers 7 « excitent ma douleur, ma colère, ma haine » constituée de sentiments, de fait c’est bien sur le plan sentimental que Bérénice se situe par rapport à Antiochus. Elle joue de son statut social et sentimental envers Antiochus : impératif vers 17 « Dès ce moment contentez mes souhaits

 » vers 887, 888, 889.Par conséquent, Agrippine éprouve une grande colère. c) La colère d'être délaisséeCette colère est exprimée par la répétition de questions « quoi? » « tu ne vois donc pas que l'on me ravale, Albine? », « que dis-je? » vers 879Agrippine exprime aussi cette colère par la désespérance « Ah! Je ne puis, Albine, en souffrir la pensée. Quand je devrais du ciel hâter l'arrêt fatal ... » vers 892,893 Cette colère est d'autant plus forte et tragique, qu'elle est une femme avide de

grande déclaration d’amour pour Henriette que Bélise comprit ce qu’elle ne voulait pas voir. Chaque mot que Clitandre prononçait semblait dégouter Bélise. A chaque phrase, chaque inspiration de Clitandre, Bélise devenait de plus en plus rouge, d’une colère sans équivalant. C’est alors que Bélise éclata, et d’une vitesse affolante, elle déballa tout ce qu’elle avait sur le cœur. Elle déclara à Clitandre l’amour qu’elle avait pour lui, ainsi que l’opinion qu’elle portait sur Henriette, sans pour autant

lui et la description d'un embouteillage. Premièrement, on peut voir que BOILEAU ressent de l'agacement et de la colère à son réveil de la ligne 1 à 6. En effet on peut voir que les bruits extérieurs le pertube beaucoup, il y a donc un champ lexical du bruit. Citons à la ligne 3, “les coqs, commençant leur ramage”, et les “cris aigus” (l.4), des expressions nourrissant la colère de l'auteur. Deuxièmement, on a l'impression que l'auteur est angoissé de qu'il y a dehors de la ligne 7 à 14.

Sans voir autour de lui, le chagrin de ses pairs. Dans son esprit, mêlés, des sentiments très forts Ressassent le refrain de son bien triste sort. Que ne servent les cris d’injustice ou de haine ? La colère, un court temps, semble atténuer la peine ! La Faucheuse toujours, invincible guerrière, N’est que le bras armé d’une force première. Que l’Honneur soit rendu en ce jour de mémoire, A ceux qu’elle a ravis, interrompant

Être incapable d’oublier le passé : hante, cœur, ressasser, indélébile, dépit, dent, chien, rancune, paradis, rancœur, amertume, haine, rattrape, miné, rongé - Un souvenir obsédant, ………………….., qui nous ……………………… - Le …………………… : chagrin et colère dus à une déception. - La ……………………… : souvenir que l’on garde d’une désillusion, d’une injustice, avec le désir de se venger. - La …………………… : souvenir très tenace d’une offense faite, d’un préjudice, avec le désir vif de se venger.

La Solitude La solitude qu’un homme peut ressentir quand il est privé de contact avec autrui, n’est pas un simple sentiment exprimable d’emblée comme la colère ou la peur. C’est tout d’abord un fait d’être. Et de ce fait d’être seul naît le sentiment de solitude à partir du moment où l’homme en prend conscience. Mais la solitude peut être choisie ou subie, elle sera bien entendu mieux supportée dans le premier cas. Elle prend une place importante dans certaines activités créatrices, telle la méditation