Décrire Un Animal

« il pouvait lui fendre le crâne » (l.26) ; « écrasa le visage de Liboko » (l.35). Il utilise la brutalité en insistant sur les verbes violents qui sont mis en valeur pour décrire une bataille sauvages. Toutefois, le vocabulaire employé pour cette guerre, est très féroce, on pourrait comparer les personnages à des animaux, ils n’ont aucune pitié. Leurs combat est sans fin. Ils n’éprouvent aucun sentiment si ce n’est que celui de tuer. Ce sont des barbares en quête de trésor, celui d’arracher la

Dimensions : taille réelle Domaines artistique : Art du visuel Matériau : être vivant,animal, véhiculé par la photo 3- Situer l’œuvre dans leur contexte historique : A la lumière du jour, Alba est un lapin albinos tout à fait ordinaire. Ce lapin a été fabriqué en laboratoire par des chercheurs français selon la méthode de manipulation génétique, une méthode qui a déjà utilisée pour concevoir d'autres animaux comme la célèbre brebis Dolly. Pour donner naissance à Alba, on a introduit un

Liste de BAC Texte n°4 : « La Grande Bouffe », L'Assommoir, Émile Zola Axe 1 : Une orgie animale Axe 2 : La faim du début, le début de la fin Nous nous trouvons en présence d'un texte d'Émile Zola extrait de L'Assommoir, paru en 1877. Ce roman est une des premières œuvres naturalistes où l'auteur tente de comprendre et de décrire le plus fidèlement possible le monde ouvrier. Bien sûr, cela revient à étudier deux fléaux : la misère et l'alcool. Ce passage est essentiel car il s'agit d'un

Mais pourquoi c’est Sumava qui suscite ces désaccords ? Sumava est le plus grand parc national de la République tchèque et c’est le lieu unique et rare en toute l’Europe. La biodiversité est très riche et c’est l’habitat de beaucoup d’espèces animales et végétales en danger. Sur le site officiel du parc national, est écrit que le but et l'objectif du parc national sont de « rendre possible la découvert du paysage et la relaxation dans le parc national qui sont tellement importants pour l’homme

font face. Alors, c’est au printemps lors du dégèle, le chevreuil s’enfuit de ses racines avec la clarté pour mieux brouter l’herbe fraîche. En effet, selon le chevreuil, c’était le parfait moment pour partir explorer et suivre sa curiosité. Le jeune animal, enjoué de découvrir le monde et la nouveauté est excité d’être libre. Tout d’un coup, la liberté du chevreuil s’envole en un coup de trait et en meurt puisque la

elle met en scène deux animaux. - Vers hétérométrique : les vers de mètres différents (alexandrin, décasyllabe, octosyllabe) entraînent une diversité. - Variété ; souplesse, plaisir > rimes croisées, plates, embrassées. Cela fait plus « naturel » et « vivant » - Temps : utilisation du présent de narration, qui rend le récit plus vivant, et de l’imparfait pour les actions longues et durables. - Les animaux sont personnifiés : utilisation des Majuscules - Les paroles des animaux sont rapportées au style

synonymes même si ces 2 mots désignent le même personnage dans le conte, hors contexte, les 2 mots ont des sens bien différents. Cette première séance permet de travailler la synonymie pour les classes grammaticales des noms et des adjectifs (loup/bête/animal, glouton/affamé). Séance 2 : Objectif : comprendre que l’utilisation de synonymes peut permettre d’exprimer une idée de façon plus précise, et dans un niveau de langage plus élevé. Relecture du conte pour se remémorer l’histoire ainsi que les

de Dieu (spirituel), place de l’homme dans l’univers. Aspect humaniste. Thèmes récurrents : relativisme (Candide), sagesse, tolérance, recul, raison. - Voltaire : écrit des contes à partir de 20 ans, en vers et en prose pour divertir la Cour et décrire les vertus des femmes. Voltaire conteste l’authenticité des écritures saintes. Il rêve d’un despotisme éclairé (monarchie luttant contre les privilèges). Voltaire veut réduire le pouvoir de l’Eglise. A ce discours utopiste du géant, l’unanimité des

Ils ont pour but primordial d’améliorer la société du XVIIème. Jean de la Fontaine était un grand fabuliste et moraliste du XVIIème siècle. Il a écrit de nombreuses fables. Dans « le Bûcheron et Mercure » (livre V, 1), La Fontaine se plait à nous décrire la vision qu’il se fait de ses fables. Elles seraient comme « une ample comédie à cent actes divers / et dont la scène est l’Univers ». Nous pouvons donc nous demander si les fables sont une comédie, c’est-à-dire un art de mise en scène habile et

interprète le dernier regard du loup et imagine le message que celui-ci aurait voulu lui transmettre avant de mourir. Plusieurs traits de l’homme sont mis en évidence dans le discours imaginaire du loup, mettant en valeur la supériorité en sagesse des animaux sur les hommes. Cela peut être vu principalement sur les thèmes de la lâcheté, de la passivité et de l’incompréhension de la mort. Dans le vers 61, le chasseur est représenté dans une position de réflexion (le front posé sur le fusil). La représentation