Défaut Argumentation Indirecte

en plus du travail de moraliste sur le caractère humain, un éloge de la fable. Cet éloge est triple : éloge de l'argumentation indirecte de la fable face à l'argumentation directe qu'es l'éloquence, éloge de la valeur politique de la fable et enfin l'éloge de la sagesse humaine que montre cette pratique de la fiction Eloge de l’argumentation indirecte de La Fontaine. Un plaidoyer pour la fable. La structure de la fable est originale car toute la première partie est une adresse

Le pouvoir des fables. © Stern - lycée Les Mureaux Voir la fable (VIII,04) Eloge de l’argumentation indirecte de La Fontaine. Un plaidoyer pour la fable. La mise en abyme : un art poétique. L’apologue face à l’éloquence. Eloge de la valeur politique de la fable. La fable peut tenir un discours politique. Le rôle du fabuliste s’élargit... Un homme politique doit être fabuliste. Eloge de la sagesse de la fable. L’enfance de l’homme. Une morale qui réfléchit sur l’apologue. L’art du

genres de l’argumentation Une première distinction s’opère entre argumentation directe et argumentation indirecte. Dans la première, la parole est prise en charge par l’auteur, alors que, dans la seconde, la parole est déléguée à un narrateur, à des personnages. À l’intérieur de cette grande partition, les genres sont multiples. Il vous faut les connaître et savoir les distinguer. Mais si argumentation directe et argumentation indirecte s’opposent fermement, il ne faut pas les opposer de manière caricaturale

I. Eloge de l’argumentation indirecte de La Fontaine. 1. Un plaidoyer pour la fable. La structure de la fable est originale car toute la première partie est une adresse à un destinataire particulier : il s’agit de l’ambassadeur de France en Grande-Bretagne. Cette adresse est l’occasion d’un plaidoyer en faveur de la fable car La Fontaine doit ici répondre à des critiques implicites (vers 6, 7, 8, 3, 2 et 4). Dans cette adresse à l’ambassadeur, il joue sur une mise ne scène d’une polémique avec

personnages merveilleux. b) des discours rapportés •La narration de ce texte est réduite : - introduit la parole du roi - organise le passage. Dans cet extrait : • 3 paragraphes de narration : -1er : Discours indirect + Discours indirect libre - 2eme : narration + discours indirect libre + discours narrativisé + discours direct - 3eme : ๑Forme de comique : parole monopolisée par le roi et Gulliver n'est plus maitre de son récit. c) Un discours reprenant celui de Gulliver sur l'Angleterre

Le pouvoir des fables. * Voir la fable (VIII,04) * Eloge de l’argumentation indirecte de La Fontaine. o Un plaidoyer pour la fable. o La mise en abyme : un art poétique. o L’apologue face à l’éloquence. * Eloge de la valeur politique de la fable. o La fable peut tenir un discours politique. o Le rôle du fabuliste s’élargit... o Un homme politique doit être fabuliste. * Eloge de la sagesse de la fable.

lecteur ainsi il le conduit à la réflexion inconsciemment. C'est plus difficile si le lecteur n'accroche pas l’œuvre. Cependant, la lecture permet d’éveiller la conscience car la lecture influence l'Homme, elle influe sur la société en dénonçant ses défauts et injustices d’où entretenir une réflexion chez le lecteur, elle lui permet d'établir une remise en conscience. Le texte de Voltaire, Candide écrit dans un registre polémique dénonçant la guerre et critiquant les maux de la société permet d'influencer

sont ces outils ? Comment sont-ils utilisés ? Ainsi dans un premier temps nous verrons l’argumentation implicite, dans une deuxième partie l’argumentation explicite puis nous terminerons par les démarches de l’argumentation. L’argumentation indirecte vise à convaincre et persuader le lecteur indirectement, en effet l’auteur utilise un récit fictionnel qui assume de dire la vérité et qui est destiné à présenter des idées, des valeurs symboliques. Pour cela l’auteur utilise des personnages de fiction

l’argumentation dans la fiction. On appelle cette forme de l’argumentation, indirecte ou implicite. L’auteur n’argumente pas personnellement, mais à recours à la fiction pour faire passer son message. L’auteur transmet sa pensée par un ou des personnage(s) fictif(s). La mission de l’écrivain est donc que le lecteur déduise à travers la fiction, le véritable enjeu du texte, la morale de l’histoire. Cependant, jusqu’où cette argumentation indirecte est-elle efficace pour offrir au lecteur une réflexion sur l’homme

explicite dans les discours des animaux et de l’arbre mais on trouve néanmoins le terme d’ " ingratitude " au vers 46 dans le discours de la vache. En ce qui concerne le bœuf et l’arbre, la même thèse est contenue implicitement dans leur argumentation qui repose dans les deux cas sur une opposition entre les bienfaits prodigués par eux d’un côté et l’attitude méprisante, voire cruelle de l’homme en retour : ne s’agit-il pas là d’exemples tout à fait caractéristiques de l’ingratitude