Définition De La Tragédie Selon Aristote

et la science. Rapport entre l’évolution de la politique et la naissance de la philosophie. Qui choisir alors ? Avant Sophia= habilité + sagesse était dit sophos aux personnes qui étaient compétente dans un domaine. Au XI av JC ont voit une définition différente Les sophistes qui ont des compétences dans l’art rhétorique (persuader) Et les pré-socratique qui essaieront de convaincre par un discours rational ils seront à la recherche de la vérité. Ils tournent le dos à la Mythologie. ( Thales

La tragédie trouve ses origines dans la Grèce Antique. D’emblée elle se distingue de la comédie dans sa tonalité, le choix des personnages ou encore la présence indéniable de la mort. La funeste destinée des hommes d’une part et la représentation de leur situation d’autre part, inscrit et ancre la présence des larmes aussi bien du côté des personnages que du côté des spectateurs dans le genre noble. L’essayiste Antoine Vitez écrit à ce sujet que la tragédie c’est « l’histoire des larmes ». Ainsi

pièces classiques sont, pour la plupart, structurées : en trois ou cinq actes séparés par des entractes Un acte : regroupe plusieurs scènes. Au départ, les actes ont été instaurés pour changer les bougies qui éclairaient la scène. Généralement tragédie = 5 actes - comédie = 1 à 5 actes Chaque acte est divisé en plusieurs scènes. Une scène : est délimitée par l’entrée en scène ou la sortie d’un ou des personnages. a- La structure interne L'action au théâtre repose sur une intrigue qui suit

C’est donc alors le siècle de la tragédie avec Sophocle, Euripide… Nous allons maintenant nous intéresser plus particulièrement à Sophocle. Sophocle né à Colone en 495 av. J.-C. et mort en 406 av. J.-C. est l'un des plus grands tragiques grecs. Il est principalement l'auteur de cent vingt-deux pièces dont Antigone qui est une tragédie écrite en 440 av. J.C. La tragédie met souvent en scène un dilemme, une contradiction insurmontable (Antigone…). Ainsi , cette tragédie se passe à Thèbes. Au cours de

de la nature+ magnificence du spectacle+ «bienséances» I. Aristote revisité 1. Aperçu sur la Poétique - théorie théâtrale du XVIIe siècle vise à analyser et comprendre la Poétique d'Aristote, est d'aider les dramaturges à la mettre en pratique - seul Corneille dans ses Discours ce souci d'élargir les perspectives aristotéliciennes - dans Poétique, question de la comédie jamais examinée - notion d'action : la fin [la tragédie] « représente non des hommes mais des actions » - la représentation

I- Ce qui amène la folie. 1) L'isolation, la solitude Définition de la solitude: Etat d'une personne vivant sans congénères. Les conséquences de la solitude diffèrent selon que celle-ci est choisie et réfléchie, ou subie pour des raisons matérielles ou psychologiques. Dans le second cas, la solitude induit une baisse du tonus, la personne risquant de sombrer dans la dépression. L'anxiété risque de s'installer, ayant parfois pour conséquence le recours aux tranquillisants. L'absence de partage

— orale ou écrite — qui met en jeu une exploitation de toutes les ressources de la langue pour multiplier les effets sur le destinataire, qu'il soit lecteur ou auditeur. La littérature — dont les frontières sont nécessairement floues et variables selon les appréciations personnelles — se caractérise donc, non par ses supports et ses genres, mais par sa fonction esthétique : la mise en forme du message l'emporte sur le contenu, dépassant ainsi la communication utilitaire limitée à la transmission

futur? Nous expliciterons ce paradoxe entre l'exiguité de l'espace scénique (physique et thématique) théâtral et sa large portée d'enseignements pour la société et les individus, ces « gens », pour ensuite considérer ce qui semble échapper à une définition trop restrictive d'un théâtre qui serait alors l'exemple des conduites à adopter. Enfin nous apprécierons les spécificités définitoires du théâtre en tant qu'elles favorisent la monstration, la sensibilisation et la spéculation, plus que la démonstration

jeunesse autant la cause de malheur que la cause de curiosité, ambivalence d’un désir de savoir suscité par l’inconnu. Cette notion de l’interdit provient de la substantivation de l’adjectif qui désigne alors la sphère de l’interdit. On peut le décliner selon trois axes : moral, religieux et politique. L’interdit provient du latin « inter dico » qui signifie dire entre, donne le verbe « interrompre » et transmet une idée de rupture ainsi que la conception d’un passage oral de cette règle afin de l’institutionnaliser

généralement en vers, mais qui admet aussi la prose, et qui privilégie l'expressivité de la forme, les mots disant plus qu'eux-mêmes par leur choix (sens et sonorités) et leur agencement (rythmes, métrique, figures de style). Sa définition se révèle difficile, et varie selon les époques, au point que chaque siècle peut lui trouver une fonction et une expression différente aussi d'un poète à l'autre. Le terme « poésie » et ses dérivés viennent du grec ancien ποίησις, et s'écrivait, jusqu'en 1878 poësie