Définition De La Tragédie Selon Aristote

fécondité remarquable. Le misanthrope absolu se refuse à tout contact, ses idéaux sont la solitude et la haine du genre humain, ce qui convient parfaitement à sa complexion bilieuse et à ses tendances mélancoliques à changer d’humeur ; c’est par définition un être de l’absolu, du choix définitif, du caractère de fer. Le problème de ce misanthrope dont Rousseau nous parle, pour nous du moins, c’est qu’il est athéâtral. On ne peut pas représenter un homme de la solitude, de la haine, coupé du monde

I. Notion de la culture générale 1) Théorie politique de la définition : sémantique et pouvoir Qu’est ce que la culture générale ? Avant de répondre à cette question, il faut dans un premier temps se demander : qu’est ce qu’une définition ? Il y a pour cela deux approches : - La réponse ontologique qui stipuler que la définition est ce qui répond à la question « qu’est ce que c’est ? ». La réponse ontologique va chercher à savoir ce qu’est la chose dont on parle et non pas quel

de la passion. L’héroïne, la princesse de Clèves, triomphe cependant des tentations et se présente comme un modèle de vertu par les valeurs qu’elle incarne : fidélité, grandeur d’âme, sens du devoir et sacrifice. La tragédie et la comédie classique Genre le plus noble : tragédie (Racine, Corneille, Molière). 1630-1680 : tout deux deviennent des genres majeurs, capable de passionner les nobles de la Cour, les bourgeois et les érudits. Les créations partagent les mêmes valeurs : le classicisme.

Il y a les genres mais aussi les courants, mouvements, périodes et autres écoles, générations etc. Cependant, selon Maurice Blanchot en 1959 dans le Livre à venir : « Seul importe le livre, tel qu’il est, loin des genres, en dehors des rubriques, prose, poésie, roman, témoignages, sous lesquels il refuse de se ranger et auxquels il dénie le pouvoir de lui fixer sa place et déterminer sa forme. Un livre n’appartient pas à un genre, tout livre relève de la seule littérature, comme si celle-ci détenait

Britannicus, Racine Acte III, scène 8 Objet d’étude : le théâtre, la tragédie classique (XVII°) Objectifs notionnels - les stichomythies, le style (le rythme des alexandrins) - la tension dramatique au cœur de la pièce (Acte III central) Objectifs culturels - le jeu des acteurs : le théâtre comme texte et comme spectacle (dynamisme) - le nœud de l’action et le conflit tragique inévitable - vers le dénouement tragique : la crainte grandissante du spectateur face au fatum (catharsis)

Le nom théâtre tire son origine du grec « theatrón », qui veut dire « lieu où l’on regarde». Jean Giraudoux dans L’impromptu de Paris lui a donné pour définition : « c’est très simple : cela consiste à être réel dans l’irréel ». L’opposition entre réel et irréel est observable, mais pourtant le dramaturge a décidé de les assembler. Tout d’abord nous verrons que le théâtre relate du monde irréel, ensuite nous nous interresserons au fait que le théâtre se veut rapprocher du réel et pour terminer nous

fabricant de texte » est un poète comme l’exprime l’étymologie. Les philosophes grecs cherchent à affiner la définition de la poésie et Aristote dans sa "Poétique" identifie trois genres poétiques : la poésie épique, la poésie comique et la poésie dramatique. Plus tard les théoriciens de l’esthétique retiendront trois genres : l’épopée, la poésie lyrique et la poésie dramatique (incluant la tragédie comme la comédie), et l’utilisation du vers s’imposera comme la première caractéristique de la poésie, la

Arts poétiques : la paternité paradoxale d’Aristote 1. Arts poétiques : le roman n’est pas un genre Dans les arts poétiques (descendants d’Aristote), le roman est méprise (comme par ex. chez Boileau). 2. Aristote, théoricien du récit Qu’est-ce que la poésie ? Aristote : tragédie (dramatique élevé)/comédie (dramatique bas), l’épopée (narratif élevé) + une 4ème catégorie « fourre-tout » (narratif bas). Le récit dramatique et le récit épique sont deux modes du mimétique. Platon : pour lui,

L'art Définition: - Lorsque Aristote réfléchie sur ce qui existe il commence par distinguer parmi les choses produites celle qui le sont "par nature" et celle qui le sont "par art" ou par technés. Les choses produites par nature, les "réalités naturelles" sont celle qui on en elle même leur origine, leur principe de développement, de changement... L'homme a en lui même sa propre origine, est un produit de la nature, ce qui amène Aristote à écrire "l'homme engendre l'homme"

des histoires-mythes, « les mythes comme « paroles enchanteresses », propagées par des médias lénifiants agencent notre devenir collectif). D’où une question : est-il possible de donner une définition univoque ? On veillera plutôt à ne pas appauvrir la notion, en évitant justement de partir d’une définition trop générale (différence de démarche entre Pierre Brunel, Dictionnaire des mythes littéraires, et Jean-Louis Backès, Le Mythe dans les littératures de l’Europe). *** On précisera ce que signifie