Définition Fantastique Maupassant

:observation sur le terrain, exactitude, refus de l’interprétation hâtive non fondée.] Mais, à la différence du realisme qui lui s'interesse a la bourgeoisie, le naturalisme lui est guidé par la science et s’intéresse aux classes assez pauvres. ( zola, maupassant) le symbolisme : .Le symbolisme est le troisième mouvement littéraire qui achève le dix-neuvième siècle. Avec des poètes comme Baudelaire et surtout Rimbaud, il annonce la modernité du vingtième siècle.Ce courant est apparu en réaction contre

à l’autre de sa vision, par crainte de déterminer une crise encore plus terrible » (Zola, 1966 [1867], p. 616). L’hallucination hypnagogique procède, comme l’écrit Jean-Louis Cabanès, d’une « naturalisation (donc implicitement une négation) du fantastique » (2011, p. 235) et instaure une originale trame narrative dans laquelle la déraison (et avec elle vient l’apparition du fantôme) s’éprouve comme une infiltration du cauchemar dans l’état de veille. D’ailleurs, Taine a été séduit par la précision

arguments pour et contre, pour aboutir à une décision (voc de la justice) Texte ‘’Les fées ‘’ de Charles Perrault, Contes (1695) Si au XVIII ème siècle, les contes sont philosophiques, avec Voltaire et si au XIX ème siècle ils sont fantastiques avec Maupassant, au XII ème siècle avec Charles Perrault ils sont merveilleux. Le conteur (le narrateur) à moins d’ambitions dans ce cas que dans un conte philosophique, mais il y a quand même une dimension pédagogique et argumentative : les fées tente

émettre comme hypothèse que cette représentation est le résultat d’une peur inconsciente de l’inconnu et est assimilable à l’Unheimliche de Freud mais aussi à la notion d’étrangeté mise en avant par Todorov dans sa conception de la littérature fantastique. 5- Démarche méthodologique Notre démarche méthodologie de recherche sera orientée essentiellement vers la psychanalyse de Freud dans son approche de l'inconscient comme de l'instance psychique, le lieu des représentations niées et refoulées

SECONDE – FRANÇAIS 3 SÉQUENCE Sommaire 1 Le roman et la nouvelle réalistes au XIXe siècle Chapitre 1 Pour débuter votre séquence Chapitre 2 Les caractéristiques des œuvres réalistes Chapitre 3 Le réalisme de Balzac à Maupassant Chapitre 4 Du réalisme au naturalisme Chapitre 5 Pour clore votre séquence ............................................................................. ................................... 6 9 ..........................

l’ouverture de leurs esprits. On peut définir l’argumentation comme l’art de justifier une opinion, une thèse que l’on veut faire adopter. On cherche donc à convaincre et à persuader pour mobiliser, susciter une action. Nous pouvons trouver une définition de l’argumentation dans chaque ouvrage traitant ce thème, dont quelques exemples : « L’argumentation est une dimension importante de la communication qui consiste à défendre des idées, des thèses, des causes, à en combattre d’autres, et donc à transmettre

(80). Psychologie hugolienne : chaque personnage porte en lui un mélange d'animalité et de spiritualité. Ex : Jean Vlajean = mythe de Satan-Christ (rien que ça !!!) L'oeuvre s'oriente ds 3 directions : sens lyrique, épique et philosophique. Définition du roman selon R.Raimond : "le récit d'une suite d'aventures et le présentation de personnages à l'existence desquels nous sommes amenés à croire." (81) 2. Flaubert ou l'envers du romanesque Une abondance heureuse : A 30, Flaubert a bcp écrit

nouvelle. Les personnages n’ont plus de dimension véritablement héroïque. Ils s’inscrivent dans une peinture de la vie ordinaire qui se veut impartiale et objective. Le Naturalisme va encore plus loin, en se donnant une ambition scientifique (Zola, Maupassant). Il s’agit pour Zola d’appliquer la méthode expérimentale au roman afin de montrer le poids de l’hérédité et l’influence du milieu et de la société sur l’individu. Les personnages sont des objets d’étude et d’expériences, le roman est comme un

[...] s'est alors emparée de lui pour qu'il scrute la vie concrète de l'homme et la protège contre l' "oubli de l'être" » [(Kundera(19) p.20] 3) Le roman est-il un genre? Après la préface de Pierre et Jean (1887), on peut en douter. MAUPASSANT y dénonce entre autre l'arbitraire d'un regroupement de textes très dissemblables sous l'appellation « roman » (Flaubert et Cervantès par exemple). Autant il paraît indiscutable de présenter à peu près les mêmes « origines » du roman, autant son

morale du roman est donc de « découvrir (…) une portion jusque-là inconnue ». De cette découverte découle nécessairement une connaissance : ce qui est découvert est en partie connu. Donc la morale du roman, c’est la « connaissance ». Toutefois, cette définition ne saurait contenter celui qui espère approcher le mystère du roman. Ce dernier n’est pas vraiment équivalent à un travail de recherche pur et dur comme dans le domaine scientifique. Et pour cause : il fait intervenir une donnée absolument essentielle