Délinquance Féminine

La délinquance Le nombre de crimes et de délits constatés par la police et la gendarmerie en France Métropolitaine en 2008 a été de 1 172,4 milliers, avec 177,2 milliers de femmes et 995,2 milliers pour les hommes, dont en tout 207,8 milliers de mineurs. Nous pouvons remarquer un réel ecart entre le nombre d’infractions commises par les hommes par rapport aux femmes. Cependant, le taux de criminalité a baissé depuis 2003 qui était de 66 pour 1 000 habitants contre 57 en 2008. Il existe plusieurs

Posteface inédite de l’auteur La Découverte 2002 – 158 pages Introduction. L’auteur, historien et sociologue, chercheur au CNRS (CESDIP) codirecteur de la revue Déviance et société, brosse dans ce livre rédigé à la fin 2002, un portrait de la délinquance juvénile. Il rapporte à la lumière dont a été utilisée la situation des jeunes vivant dans les quartiers en difficultés dans les années 80 et 90, une interprétation différente de leur violence. Ces zones de non droit qui se sont développées à

THEME : LA DELINQUANCE Définition : Phénomène social de transgression habituelle des normes sociales PREAMBULE-PROBLEMATIQUE CITATIONS Histoire des techniques : En vertu du principe d’exemplarité de la peine , exécution publique des sentences (carcan, roue, bastonnade, estrapade, gibet, guillotine, chaise électrique, garrot etc.) Conception des prisons : TOCQUEVILLE, le Panoptique . L'objectif de la structure panoptique est de permettre à un individu d'observer tous les prisonniers sans

développent, à la suite du sociologue Erving Goffman, les implications de la notion, en se fondant sur la théorie dite de "la vitre brisée". En 1993, un chercheur français, Sebastian Roché s’intéresse à cette notion au regard de la situation de la délinquance en France. Si la définition traditionnelle de "civilité" correspond à "l’observation des convenances, des bonnes manières en usage dans un groupe social", la définition du terme "incivilité", lui-même n’est pas aisé. Sebastian Roché les définit

Commencez par vous demander pourquoi on vous pose la question afin de déterminer le problème du sujet. La punition apparaît bien souvent lorsqu’une faute a été commise. Ainsi, on punit un enfant qui n’a pas obéit ou encore on punit une personne qui a commis un crime. Si cette réaction nous paraît souvent évidente voire même nécessaire, il serait intéressant de se demander pourquoi on le fait. On la question pourquoi implique une double interrogation : elle consiste à s’interroger à la fois sur les

comprend l’origine de la prison, force est de constater que celle-ci est un échec. Pourquoi ? Parce que la prison ne supprime pas les délinquances mais les différencie. C’est à dire que la prison va spécifier une délinquance parmi d’autres en la séparant, l’enfermant et la rendant contrôlable et utile à une autre forme de criminalité. D’abord cette délinquance sera maintenue par le pouvoir à un certain niveau de criminalité car, accablée par la pression constante des contrôles policiers et réduite

Travaux pratiques de Délinquance Juvénile EVOLUTION HISTORIQUE DE LA DELINQUANCE JUVENILE EN BELGIQUE 2ème année de Master FACULTE DE DROIT Année académique 2010-2011 Introduction En ce qui concerne le fonctionnement du système de justice des mineurs mis en place, il est regrettable de constater que depuis toujours, la Belgique est incapable de fournir un aperçu chiffré (statistiques) qui permette de rendre compte de manière cohérente comment un tel système marche en pratique. La

La montée de la déviance est-elle révélatrice d’un défaut d’intégration sociale ? L’idée d’une montée de la déviance (Définir ce qu’on appelle « déviance» et ses différents degrés, en particulier la délinquance) semble communément admise : on serait dans une société de plus en plus dangereuse, idée martelée par les médias, et reprise par les hommes politiques. Question principale : la montée de la déviance s’explique-t-elle par une moindre insertion de l’individu dans la société, c’est-à-dire

ANALYSE DE L’INSECURITE Jeudi 4 mars 2010. Intervention de M. SOULLEZ. LES STATISTIQUES DE LA DELINQUANCE ET DE LA CRIMINALITE Les statistiques de la délinquance et de la criminalité sont au cœur du débat politique. Elles ont une place singulière dans les statistiques sociales du fait de la nature des enjeux auxquels elles sont liées. Elles sont aussi un enjeu pour l’action des 3 pouvoirs. Ce qu’enregistrent la police et la gendarmerie n’est pas l’ensemble des crimes et délits sur

« quartier » où ils restent ensemble, parfois en bandes. Dans les quartiers les plus défavorisés tels que les banlieues Est des grandes villes française, ils auraient comme exemple les personnes plus âgés du quartier qui peuvent tendre vers la délinquance (drogue, vol…) mais ce n’est pas représentatif de ces banlieues. Photo ci-dessus : deux jeunes dans une cité. Les jeunes qui passent à l’acte envers les institutions publiques (en dehors des établissements scolaires) n’ont pas de raisons