Délinquance Juvénile à La Réunion

« VIOLENCES URBAINES » « La force de ces émeutes (novembre 2005), leur mérite « objectif », par delà toutes les critiques légitimes que l’on peut adresser à leurs auteurs au noms de ceux qui en furent victimes, tient en ceci : elles ont démontré qu’un problème que l’on avait cru sinon résolu, du moins remisé au second plan grâce à un traitement voulu plus vigoureux, n’avait fait que s’accroître. Pour le coup on peut dire que la nature du diagnostic autant que l’efficacité de la politique conduite

Nations Unies A/CONF.213/18 Distr. générale 18 mai 2010 Français Original: anglais Douzième Congrès des Nations Unies pour la prevention du crime et la justice pénale Salvador, Brésil, 12-19 avril 2010 Rapport du douzième Congrès des Nations Unies pour la prévention du crime et la justice pénale* Salvador, Brésil, 12-19 avril 2010 Table des matières Paragraphes Page I. Résolutions adoptées par le Congrès . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

- 1 - N° 340 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2001-2002 Rapport remis à Monsieur le Président du Sénat le 26 juin 2002 Dépôt publié au Journal officiel du 27 juin 2002 Annexe au procès-verbal de la séance du 27 juin 2002 RAPPORT de la commission d’enquête (1) sur la délinquance des mineurs, créée en vertu d’une résolution adoptée par le Sénat le 12 février 2002, PRÉSIDENT M. Jean-Pierre SCHOSTECK, RAPPORTEUR M. JEAN-CLAUDE CARLE, Sénateurs. Tome I : Rapport (1) Cette commission est composée

..................................... 1 Le phénomène marocain « Tcharmil », coup de frime ou vrai gang criminel ? ............ 2 « L’insécurité n’a pas attendu les adeptes du Tcharmil pour exister » ......................... 4 « À Casablanca, le terme 'agression' a été remplacé par 'Tcharmil' » .......................... 5 Le Maroc en lutte contre le phénomène du «Tcharmil» sur Internet ........................... 6 Phénomène Tcharmil : Comprendre pour mieux agir ...........................

mixte qui a une capacité d’accueil de vingt quatre places, plus précisément au départ sur le groupe des filles appelé « Hibiscus ». Il s’agissait lors de ce stage de découvrir le fonctionnement de la structure à travers la connaissance du projet institutionnel, de l’équipe pluridisciplinaire, du public accueilli, des temps forts et des partenaires en matière de prise en charge éducative spécialisée. Pour moi, arriver à instaurer une relation de confiance avec les adolescents et commencer à acquérir

PRINCIPES ET DES TEXTES Il a fallu une longue évolution historique de plusieurs siècles avant d’en arriver à l’idée qu’il fallait distinguer les mesures des mineurs de celles prises à l’égard des majeurs. Pendant longtemps, l’histoire de l’action pénale les confondait : - Du droit romain à l’ancien régime, l’enfant est considéré comme un adulte en miniature, ayant un régime marqué par l’atténuation du droit strict et non par l’application d’une règle de droit particulière. - À la fin du XVIIIe apparaît

demande quotidiennement aux éducateurs, un investissement en temps et en énergie. A partir de ces observations, j’ai été amené à me poser des questions : * Quelles sont les incidences sur le suivi de ces enfants ? * Qu’en est-il des parents de ces enfants ? Ont-ils un regard sur l’accompagnement de leurs enfants, sont-ils amenés à rencontrer les éducateurs ? Dans la perspective d’apporter des réponses à ces questions en vue de ma pratique professionnelle, j’ai choisi d’essayer de faire

dix ans les plans gouvernementaux de lutte contre la violence urbaine, en général, et contre la violence scolaire, en particulier, sont régulièrement lancés à grands fracas médiatiques. Bien souvent, ces lancements font suite à des faits divers dramatiques. En 1991 et 1992, les gouvernements de Michel ROCARD, puis d’Edith CRESSON, partaient à la reconquête des quartiers (sous-entendu des quartiers difficiles). C’était d’ailleurs le titre de la revue « Service public1 ». Ce numéro consacré aux quartiers

Moniteur-Educateur dans une Maison d'Enfants à Caractère Social, auprès d'enfants et adolescents en difficultés sociale sur l'aire Toulonnaise. 1° Approche de l'institution Historique L'institution Jean Joseph BARTHELON est un établissement créé en 1892. Au commencement, des débats concernant la délinquance sur l'aire Toulonnaise avaient lieu. Un avocat Toulonnais, Maitre POILEROUX, préoccupé par les marges de progressions de la délinquance juvénile, par la maltraitance et les abandons, se

7 QUESTIONS MAJEURES SUR LA DELINQUANCE DES MINEURS Remerciements : Le Forum Français pour la Sécurité Urbaine remercie chaleureusement, L'ensemble des intervenants, experts et élus, pour la richesse de leur réflexion qui a grandement contribué à la qualité des débats, Les villes de Bordeaux et Lyon, pour l'accueil offert aux participants, et pour la disponibilité et la compétence des équipes municipales déléguées à l'organisation, Le ministère de la Justice, pour son soutien financier