Démarche De Soins Alzheimer

FORMATION EN SOINS INFIRMIERS MEAUX Mémoire de fin d’études UE 5.6. S6 - Analyse de la qualité et traitement des données scientifiques et professionnelles Le refus de soin de la personne âgée Travail présenté par Laura TEETZ Etudiant en Soins Infirmiers Date de remise du mémoire 11 Octobre 2013 Sous la direction de Madame Isabelle CARTIER 2 Note aux lecteurs : « Il s’agit d’un travail personnel rédigé dans le cadre d’une scolarité à l’Institut de Formation en Soins Infirmiers

L’INRA SONT MANQUANTES) ................................................................................................................ 36 ANNEXE 2 : ETUDES MEDICO-ECONOMIQUES EN NEUROSCIENCES, NEUROLOGIE, PSYCHIATRIE ............ 42 ANNEXE 3 : PLAN ALZHEIMER ............................................................................................................ 44 ANNEXE 4 : LA RECHERCHE EN PSYCHIATRIE ..................................................................................... 47 ANNEXE

mal d’ouvrages. De nombreuses questions sur les soins sont posées : Comment les soignants peuvent-ils améliorer le vécu de la toilette de la personne âgée démente et que représente-t-elle pour eux ? N’est-elle pas un temps d ‘échanges, un moyen de rentrer en communication quand celle-ci est difficile ? Comment gérer ces refus de soins et continuer à donner des soins de qualité dans ces conditions ? Comment apprécier ces moments de soins et comment les rendre plus agréables quand la tâche

psychiques et sociaux. Les conséquences de la dépendance intéressent la personne âgée, son entourage ou les acteurs médico-sociaux. L’évaluation de la dépendance exige une méthode et des outils fiables. Elle repose en France sur la détermination des soins requis pour une personne mais aussi pour un groupe de personnes âgées. Elle conduit à la mise en oeuvre d’un projet gérontologique ou d’un plan d’aides sanitaires et / ou sociales pour un individu donné ou une collectivité. Il nécessite une étroite

l'éducation, Université de Montréal, l'estime de soi serait "un passeport pour la santé*". Renforcer l'estime de soi des jeunes serait donc bien une démarche d'éducation pour la santé à investir … * Source : Coup de pouce. Assoc. canadienne pour la santé mentale Nov. 1997. Site internet: www.acsm-ca.qc.ca 2 Le Rhône n'a pas attendu pour expérimenter cette démarche de différentes manières Des actions diverses et concrètes de promotion de l'ES ont été menées depuis plusieurs années dans le Rhône auprès

personnes âgées dépendantes) qui se développent de plus en plus. Des neuropsychologues sont aussi présents dans des associations telles que « Brain up », qui regroupe des psychologues et autres professionnels de la santé dans le but de « valoriser la démarche de prévention santé pour limiter les effets de l’âge et améliorer le bien-être quotidien »1. Enfin l’exercice en libéral est aussi une possibilité. B. Ses collègues Quel que soit son milieu de travail, le neuropsychologue exerce au sein

conceptuelle, la verticalité, l’habit, la socialisation » 3. Oui, c’est bien ce que j’avance : le terme d’humanité me paraît amplement suffisant, nous qui avons ici et là refusé cette humanité à tant d’autres. 2. DVD Alzheimer. L’accompagnement en actions, FNG, séquence « Faciliter les soins à domicile ». 3. IMG. Gérontologie et Société - n° 126 - septembre 2008 page 179 Document téléchargé depuis www.cairn.info - - akaro waniece - 82.121.92.118 - 06/06/2011 16h41. © Fond. Nationale de Gérontologie

ASSOCIATIF • ADAPEI DE LA LOIRE • AGPL • APAJH • ARSLA • A. SEP LS . • A.T.M.P . • AUTISME DANS LA CITÉ • AUTISME LOIRE • AUXILIA • AVENIR DYSPHASIE LOIRE • ECH • I.M.C. LOIRE • LA VOIX DU COEUR • MAHVU • VIVRE LA VIE • « VOIR ENSEMBLE » • LOIRE ALZHEIMER • TRISOMIE 21 LOIRE • UNAFAM LOIRE • APF • FNATH • SAFEP-SSEFIS p4-7 p 8 -9 p 10 - 11 p 12 - 13 p 14 - 15 p 16 - 17 p 18 - 19 p 20 - 21 p 22 - 23 p 24 - 25 p 26 - 27 p 28 - 29 p 30 - 31 p 32 - 33 p 34 - 35 p 36 - 37 p 38 - 39 p 40 - 41 p 42 - 43

de ce fait elle est tenue à une démarche qualité à une garantie de soins et de confort. D’ou un conseil administratif, pour assurer la prise en charge administrative d’une clientèle âgée de 60 ans et davantage. Un Conseil de Vie Social pour associer résidents, familles et amis au fonctionnement de l’établissement.  Ce qui permet aux résident(e)s de bénéficier d’une prise en charge administrative, d’un accueil, d’une écoute de qualité ;  des prestations de soins ;  de vie,  de distractions

GESTION DES RISQUES DE MALTRAITANCE EN ETABLISSEMENT Méthode Repères Outils Comité national de vigilance contre la maltraitance des personnes âgées et adultes handicapés Décembre 2008 SOMMAIRE 1/ Présentation du guide : contexte démarche et contenu...................................................................................................................................... 4 1.1 L’amélioration de la sécurité dans le secteur sanitaire ............................................