Démarche éducative Sur Patient Alcoolique

Education Thérapeutique du Patient aux Autosondages (ETP-AS) Guide méthodologique Version Finale du 10/10/2009 Fiche descriptive TITRE Méthode de Travail Objectifs Education Thérapeutique du Patient aux Autosondages (ETP-AS) Guide méthodologique • Définir lʼETP-AS, ses finalités, son organisation • Décrire la démarche dʼETP-AS, le contenu de ses étapes • Proposer une structuration de programme dʼETP-AS • Proposer une évaluation du processus dʼETP-AS • Proposer une réflexion pour

2.2 Contexte géographique 2.3 La structure d'hébergement 2.4 Les activités de la structure 2.5 Les profils des publics accueillis : leurs caractéristiques p.25 Deuxième Partie : Enquête p.26 Ch.1 Présentation de la démarche méthodologique 1.1 Le terrain 1.2 Le public 1.3 Les thèmes p.31 Ch.2 Etude de cas : 4 histoires de vie 1ère histoire : A. 2ème histoire : B. 3ème histoire : C. 4ème histoire : D. p.42 Ch.3 Organisation des données

à l’écart du mode de vie dominant. C’est cette mise à l’écart qu’il convient de traiter et non plus la pauvreté. Le troisième plan est une prise en compte juridique. En effet, à partir de là, plusieurs lois sont votées : la définition des zones éducatives prioritaires en 1982, la loi du 1er décembre 1988 instituant le RMI, la loi dit Besson en décembre 1990 sur le droit au logement qui crée le Fond de Solidarité au Logement et bien d’autres nombreuses lois et réformes notamment sur les contrats aidés

connaître l’étendue de ce phénomène dans mon département ; cette étape s’est poursuivit par une phase exploratoire au cours de laquelle j’ai pu rencontrer de professionnels, effectuer de la recherche documentaire, enquêter sur le problème. Cette démarche m’a permis d’évaluer l’ampleur du phénomène (807 cas en 2010 en Guadeloupe), et de m’interroger sur le rôle possible du Conseiller en Economie Sociale et Familiale dans le cadre de cette problématique. De plus, il m’a été intéressant de savoir

également consister en une « injonction thérapeutique » telle que prévue par les articles L. 3413-1 à L. 3413-4 du code de la santé publique pour les condamnés faisant usage de stupéfiants ou ayant une consommation habituelle et excessive de boissons alcooliques. La mise en œuvre de l’injonction thérapeutique fait appel à l’intervention d’un médecin habilité en qualité de médecin relais qui fait connaître à l’autorité judiciaire son avis motivé sur l’opportunité médicale de la mesure. L’injonction de

Crédit des tableaux, Manuel sur le sida pédiatrique en Afrique © 2006 Réseau Africain pour les soins aux enfants affectés par le sida (ANECCA) Page 230 : Lavage des mains, « WHO – Patient Safety » (Patient Safety tools and resources) Page 231 : Préparation d’une solution hydroalcoolique : « WHO – Patient Safety » (Patient Safety tools and resources) 4 Coordination scientifique et éditoriale 5 Table des matières PRÉFACE Dr Gilles Raguin, directeur du GIP ESTHER Page 9 MODULE 5 :

s’élève à 15 % chez les joueurs jouant presque tous les jours. Le groupe d’experts recommande de promouvoir une enquête de prévalence nationale s’appuyant sur les expériences accumulées dans les autres pays. Il souligne l’intérêt d’articuler une telle démarche avec une approche abordant plus globalement les addictions et la santé mentale. Cette étude de prévalence devrait permettre de préciser les caractéristiques sociodémographiques et économiques des personnes les plus touchées. Concernant les jeux vidéo

constats établis à partir de notre pratique professionnelle. 1) L’exigence législative actuelle Longtemps, les méthodes éducatives et de rééducation mises en place dans les établissements ont privilégié la dimension collective à la prise en charge individuelle. Aujourd’hui, la loi réformant l’action sociale et médico-sociale du 02 janvier 2002 recentre les pratiques éducatives institutionnelles autour de la prise en compte de l’usager. En imposant aux structures et services la mise en place de

20h50) et l’équipe de nuit travail en 10h (20h30-6h30). Le service travail en interdisciplinarité, ainsi d’autres professionnels peuvent intervenir dans la prise en charge de certains patients : kinésithérapeute, diététicien, psychologue, unité mobile d’alcoologie, unité mobile de la douleur. Le service accueil des patients pour une chirurgie : digestive, endocrinienne, thoracique et veineuse périphérique. Pour des interventions programmées et en urgences. Les pathologies prévalentes du service sont :

hospitalier7. Ce n’est pas étonnant, car la techno-médecine, on le sait, suspend la réalité du corps pour mieux maîtriser ses organes — ce qui est d’autant plus légitime que ce pragmatisme sauve parfois la vie. Mais c’est loin d’épuiser la question. Or, la démarche scientifique ne peut se permettre d’esquiver la moitié d’une question. Dans l’histoire de la philosophie, au moins depuis Aristote, tout un courant – qui trouve son accomplissement chez Spinoza8 - ne cesse de soutenir que Nihil in intellectu, nisi