Démesure De La Piece Phedre

Corneille presque puritain. Ms ac Brunetière, distinction subtile entre le devoir souvent malmené dans le théâtre de C et la volonté. « Le théâtre de C est la glorification ou l’apothéose de la volonté. » Lemaître y découvre une ambition et un orgueil démesurés. Ms C reste un grand professeur d’énergie. -le sublime cornélien n’est pas propre à Corneille : tt le théâtre tragique de son temps. ‡même forme glorieuse et ostentatoire du sublime, même grandissement moral de l’orgueil et de l’amour. ID de féodalité

(1840-1902) – Le surréalisme  : André Breton (1896-1966) avec Louis Aragon, Paul Éluard, Philippe Soupault. b. La Préface de Cromwell (1827) de V. Hugo est considérée comme le manifeste du drame romantique mais on pourrait en dire autant d’Hernani, pièce autour de laquelle se sont affrontés, en 1830, partisans et adversaires de la nouvelle école romantique (livre de l’élève, pp. 24-25). Plusieurs textes de Zola sont considérés comme des manifestes du naturalisme : Le Roman expérimental (1880), la Préface

du mensonge, de l’hypocrisie : Renart trompe les puissants comme Noble et Ysengrin mais il est lui-même berné par plus faibles que lui comme Chantecler le coq ou Tiécelin le corbeau. 3) Les Ysopets : recueil de fables imitées d’Ésope[18] et de Phèdre[19]. 4) Le théâtre médiéval et religieux avec - Les Miracles : comme le miracle de Théophile, de Rutebeuf au XIIIe siècle. - Les Mystères : au XVe siècle, ce sont des pièces très longues[20] et à grand spectacle qui se jouent

paroles qui ne redoublent pas la réalité mais qui la transforme : ce ne sont pas un reflet de l’événement mais des éléments de réalisation de cet événement. Cette parole oraculaire se retrouve chez ce maitre de vérité qu’est Œdipe au début de la pièce. Comment la poser comme vérité ? Foucault appelle une connaissance par symbole : Sumbolon en grec : une plaque d’argile que l’on cassée en deux : … La vérité c’est le résultat de deux éléments qui s’emboitent. Si l’on emboite deux discours on

difficile 1 - 5 - - Phèdre est amoureuse de son beau-fils, Hippolyte. Rongée par cet amour incestueux, elle l’avoue à sa nourrice, Œnone. PHÈDRE Quand tu sauras mon crime, et le sort qui m’accable, Je n’en mourrai pas moins, j’en mourrai moins coupable. ŒNONE Madame, au nom des pleurs que pour vous j’ai versés, Par vos faibles genoux que je tiens embrassés, Délivrez mon esprit de ce funeste doute. PHÈDRE Tu le veux. Lève-toi. ŒNONE Parlez : je vous écoute. Jean Racine, Phèdre, I, 3, 1677. 1. Repérez

des fameuses « fables ». Il s'agit donc de s'arrêter sur quelques problèmes définitionnels. Il est particulièrement difficile de déterminer un terme qui sonne comme une évidence pour recouvrir le concept de l' « histoire » racontée par une pièce ; difficile aussi, d'ailleurs, de définir ce qu'est une « histoire » au théâtre. Par là, nous entendons une structure narrative principalement composée de dialogues et de monologues, qui met en place un ensemble de relations entre différents personnages

présente-t-elle ? Problématique : comment l’histoire d’amour passionné entre Roméo et Juliette va-t-elle régénérer et réunifier une cité en plein chaos? Comment Shakespeare évoque-t-il la puissance de l’amour dans sa pièce ? Réflexions : Amour dès le début de la pièce , non réciproque liée à la mélancolie et à la tristesse : Roméo apparaît en scène en exprimant ses craintes : oxymores; sentiment d’impuissance, il n’est que l’ombre de lui-même Révélation amoureuse : coup de foudre

maison de passe vanta à Marcel et qu’il surnomma « Rachel quand du Seigneur» par référence à l’opéra d’Halévy, “La juive” (I, page 577), qu’il retrouva en la compagne passionnément aimée de Saint-Loup qui était alors une actrice qui joua alors dans une pièce, et qui ne réapparut qu’à la fin où, appréciée de la duchesse de Guermantes, une comédienne en vogue, elle donna une récitation. Au sommet de la hiérarchie établie par Proust se trouvait Swann dont la judéité (que son nom serait peut-être censer

souci de la vraisemblance participent également du code de l'écriture théâtrale. Rien de choquant ne doit être représenté sur la scène : ainsi, la mort de Cléopâtre dans Rodogune deCorneille, se déroule dans les coulisses ; le récit de Théramène, dans Phèdre, relate l'épisode de la fin violente d'Hippolyte. Le XVIIe siècle voit aussi la résurgence, après une longue éclipse, de genres littéraires hérités de l'Antiquité :la fable, la satire, les lettres, les maximes et les portraits. La Fontaine illustre

chez Echille, et trois chez Sophocle. Structure de l’œuvre : Alternance entre le chant et la parole. Prologue parlé (trimètre iambique). Puis l’entrée du chœur qui chante, c’est le parodos. L’exodos c’est quand le chœur s’en va, à la fin de la pièce. Entre ces deux moments, on a des épisodes (parlés) séparés par des stasima, moment où le chœur ponctue de son chant l’émotion tragique. Eschyle est le créateur de la tragédie de la justice divine. L’origine de la tragédie est très controversée