Démocratie Athénienne Démocratie Moderne Comparaison

| |Introduction | |à l’économie moderne | | | |

Première partie : La théorie générale du droit constitutionnel Le droit constitutionnel est étroitement à deux notions fondamentales, celle de pouvoir et celle de démocratie. Parce qu'il est avant tout destiné à définir les règles relatives à l'organisation et au fonctionnement d'un État et des ses institutions politiques, le droit constitutionnel se présente comme le fondement ou le support juridique du pouvoir politique. Cela étant, cette vision traditionnel du DC est aujourd'hui dépassé car

modernité philosophique. Pour Spinoza le désir humain est intimement lié à ce qu’il appelle le conatus, c’est-à-dire la volonté de perséverer dans son être, ce qu’on appelle aujourd’hui l’instinct de conservation. En outre Spinoza est aussi très moderne dans sa façon de rattacher le désir à l’énergie vitale. Pour lui le désir est une recherche permanente d’accroissement de la capacité d’agir du sujet. Et le sentiment d’acquérir une puissance d’action plus grande se traduit par la joie, tandis que

l'Athéna Parthénos au musée du Louvre à Paris 11 3-Euclide Euclide (Voir Annexes) est un mathématicien qui vécut au III° siècle avant J-C. Il est l’auteur des Éléments qui sont aujourd’hui considérés comme l’un des piliers des mathématiques modernes. Il a retranscrit dans son ouvrage tous ce que les Grecs avaient découvert sur les mathématiques. Il présente notamment des théorèmes qui permettent de progresser méthodiquement sur des problèmes. Dans le livre II, il ne mentionne pas le terme «

systèmes de législation CHAPITRE XII Division des lois LIVRE III CHAPITRE I Du gouvernement en général CHAPITRE II Du principe qui constitue les diverses formes de gouvernement CHAPITRE III Division des gouvernements CHAPITRE IV De la démocratie CHAPITRE V De l'aristocratie CHAPITRE VI De la monarchie CHAPITRE VII Des gouvernements mixtes CHAPITRE VIII Que toute forme de gouvernement n'est pas propre à tout CHAPITRE IX Des signes d'un bon gouvernement CHAPITRE X De l'abus du gouvernement

Chapitre II : Du principe qui constitue les diverses formes de gouvernement .............................................................................63 Chapitre III : Division des gouvernements................................66 Chapitre IV : De la démocratie...................................................67 Chapitre V : De l’aristocratie ......................................................70 Chapitre VI : De la monarchie.................................................... 72 Chapitre VII : Des

législation Chapitre 2.12 : Division des lois LIVRE III Chapitre 3.1 : Du gouvernement en général Chapitre 3.2 : Du principe qui constitue les diverses formes de gouvernement Chapitre 3.3 : Division des gouvernements Chapitre 3.4 : De la démocratie Chapitre 3.5 : De l'aristocratie Chapitre 3.6 : De la monarchie Chapitre 3.7 : Des gouvernements mixtes Chapitre 3.8 : Que toute forme de gouvernement n'est pas propre à tout pays Chapitre 3.9 : Des signes d'un bon gouvernement Chapitre 3

n’altérassent la sainteté de son ouvrage. Quand Lycurgue donna des lois à sa patrie, il commença par abdiquer la royauté. C’était la coutume de la plupart des villes grecques de confier à des étrangers l’établissement des leurs. Les républiques modernes de l’Italie imitèrent souvent cet usage ; celle de Genève en fit autant et s’en trouva bien.(a) Rome, dans son plus bel âge, vit renaître en son sein tous les crimes de la tyrannie, et se vit prête à périr, pour avoir réuni sur les mêmes têtes l’autorité

législation o Chapitre 2.12 Division des lois • Livre III o Chapitre 3.1 Du gouvernement en général o Chapitre 3.2 Du principe qui constitue les diverses formes de gouvernement o Chapitre 3.3 Division des gouvernements o Chapitre 3.4 De la démocratie o Chapitre 3.5 De l’aristocratie o Chapitre 3.6 De la monarchie o Chapitre 3.7 Des gouvernements mixtes o Chapitre 3.8 Que toute forme de gouvernement n’est pas propre à tout pays o Chapitre 3.9 Des signes d’un bon gouvernement o Chapitre

d’une démocratie. 2. Liberté négative et liberté positive La distinction entre liberté négative et liberté positive peut nous servir à évaluer cette différence. La liberté négative consiste à ne pas être entravé, à ne pas être empêché d’agir. La liberté positive désigne notre capacité à agir, à entreprendre une action. Ainsi, dans une dictature on ne jouit que d’une liberté négative, et souvent limitée : la liberté de faire tout ce qui n’est pas interdit par la loi. Dans une démocratie, en plus