Démocratie De Compromis

peuvent pas voter. - Argument pour : Les étrangers contribuent à la vie de la communauté. - Argument contre : porte atteinte à la souveraineté française. * MEFAIT DU DROIT DE VOTE PR TOUS : * 1° méfait : les médias contre la démocratie. * 2° méfait : la corruption électorale est super présente => le soc municipale. * 3° méfait : le populisme (c’est promettre au peuple se qu’il ne pourra jamais avoir). II) ESSENTIEL A RETENIR : * Différence entre suffrage

souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum ». Inscrit dans le titre I : de la souveraineté, l’article 3 se veut une reprise du même article de la constitution de 1946 qui résulte d’un compromis entre les deux concepts de souveraineté que sont la souveraineté populaire définie dans la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789 et la souveraineté nationale. Force est de constater que cet article présente des contradictions dans

(II). I- L’opposition de la souveraineté nationale et de la souveraineté populaire Il y a effectivement une hésitation d’une proclamation d’une souveraineté nationale (1755) ou d’une souveraineté populaire (1762). D’une part pour éviter une démocratie absolue Sieyès développe l’idée de souveraineté nationale. D’autre part Rousseau défend la thèse d’une souveraineté populaire. A- Souveraineté nationale C'est Emmanuel Sieyès qui doit être considéré comme l’auteur de cette théorie, même si après

Article écrit le 02 mai 2005 C’est autour du droit que s’est reconstruit l‘Etat. Expérience unique de synthèse entre plusieurs influences juridiques, internes et extérieures. Le succès de la transition sud-africaine du régime d’apartheid vers la démocratie s’est répercuté à travers des images emblématiques dont la figure du président Nelson Mandela est la plus forte. Un tel « miracle » ne s’est pas produit sans transformation des structures et des règles juridiques. Nombre de personnes ont travaillé

d’aborder les principes et les valeurs de la « muraille de fer ». I- La stratégie de la droite sioniste révisionniste : la « muraille de fer ». A) Deux peuples pour une même terre : un compromis impossible entre la cause juive et arabe. « (…) Il est inutile d’espérer en aucune façon, un accord entre nous et les Arabes qu’ils accepteraient de leur plein gré, ni actuellement ni dans un avenir prévisible. J’exprime

restauration d’un pouvoir exécutif fort. Tout le monde est d’accord sur le fait qu’il faut changer les institutions. Le seul débat qui existe, est de savoir à qu doit bénéficier un pouvoir exécutif fort ? Au gouvernement ou au chef de l’Etat ? Un compromis est trouvé en 1958, un président qui sera vu comme un arbitre, mais cette vision va disparaître dès 1959. Le Général obtient les pleins pouvoirs et la loi du 3 juin 1958 lui confère le pouvoir constituant. Les choses pouvaient à l’époque faire

étendu aux femmes. Rompant avec Vichy, la IVème République se veut également être novatrice par rapport à la IIIème République, jugée responsable de la défaite de la France par son incapacité à réagir. Il a été très difficile de trouver un juste compromis entre ces différentes aspirations. La crainte du pouvoir d’un seul l’a emporté puisque le choix s’est tourné vers un régime parlementaire avec un gouvernement d’assemblée qui est prépondérant sur l’exécutif, se rapprochant là d’avantage de la IIIème

III - La place des réponses religieuses dans la vie démocratique d’un état A – Point de vue politique : Dans une démocratie, le rôle d’un politique n’est pas de modeler le citoyen pour l’adapter à la société mais d’adapter la société à la diversité des citoyens. C’est pourquoi, même si le réalisme politique ne permet à aucune religion d’imposer ses règles au niveau universel, chaque état possède la faculté de déterminer selon ses propres convictions et celles de ses citoyens de la place à accorder

sinon la société tomberait dans le désordre puis nous étudierons dans une seconde partie, que cette nécessité peut être remis en question cela n’est pas excessivement nécessaire et enfin nous verrons dans une troisième et dernière partie, le parfait compromis entre ces deux positions opposées. I. La nécessité pour les hommes d'être gouvernés, sinon on tombe dans le désordre. L’homme a besoin d’être gouvernés du fait que sans gouvernement, sans institutions politiques, la société dans lequel vit

hiérarchiser les bonheurs, par ordre de priorité, par exemple, les plaisirs corporels viennent après ceux de l’esprit. 2. Liberté : Il s’agit de sa première préoccupation morale et politique. Il partage avec le penseur Tocqueville l’idée qu’une démocratie sans liberté de parole et de pensée devient vite une tyrannie. En bon utilitariste, il va mettre en avant les avantages de la liberté dans une société démocratique, comme par exemple l’amélioration des connaissances (car la liberté de parole favorise