Démocratie Directe Pouvoir Constituant France

Séance 3. La constituante et la législative Commentaire de la Constitution de 1791 « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ». Cette citation de Lavoisier est bien adapté à la cette constitution de 1791. Cette constitution ne perd rien de l'Ancien-Régime, ne crée rien de neuf pour aller vers une République, mais transforme plutôt les pouvoirs tout en gardant une forme monarchique, avec un roi à la tête. Ce texte a été rédigé par l'Assemblée constituante en 1791. Cette Assemblée

p1gqoikpjoi3g7vp1otvrvoia54La démocratie est-elle le pire des systèmes à l'exclusion de tous les autres? Le 11 novembre 1947, Winston Churchill explique que « La démocratie est le pire des régimes, à l’exclusion de tous les autres » devant les députés de la Chambre des communes. Au regard de l’histoire, Churchill fait en effet une apologie paradoxale et pessimiste du régime démocratique pourtant déjà bien ancré dans les traditions politiques occidentales. Il mentionne « les autres (régimes)

politique actuelle. Par exemple, la Révolution française a beaucoup marqué, imprégnée la vie politique et l’a conduit à développer de nombreuses spécificités (constitution, religion, institutions et leurs rôles, laïcité de la France, clivage gauche-droite, séparation des pouvoirs […]). La Révolution française correspond à la disparition absolue d’une société, de l’ancien régime et à la construction d’un nouveau régime et d’une nouvelle société moderne en 10 ans (modifications des institutions sociales

vie politique et régissant l’exercice du pouvoir ». Trésor de la Langue Française (TLF) : « Loi fondamentale qui définit les droits essentiels des citoyens d’un État, détermine son mode de gouvernement, et règle les attributions et le fonctionnement des pouvoirs publics ». Définition matérielle de la Constitution : Contenu : * Statut de l’État : Constitution politique : ensemble des règles relatives à l’organisation et au fonctionnement des pouvoirs publics * Statut de l’Individu : Constitution

CONSTITUTIONNEL 1er semestre Cours de Karine FOUCHER INTRODUCTION ÉLÉMENTS DE DÉFINITION DU DROIT CONSTITUTIONNEL PREMIÈRE PARTIE THÉORIE GÉNÉRALE DU DROIT CONSTITUTIONNEL CHAPITRE I – LE CADRE DE L’EXERCICE DU POUVOIR SECTION 1 – L’ÉTAT §1. Les éléments constitutifs de l’État A. Un pouvoir de contrainte B. Une population C. Un territoire §2. Les caractères de l’État A. L’État est une personne morale de Droit public B. L’État est souverain SECTION 2 – LA CONSTITUTION §1. L’avènement et le développement

Introduction : Le véritable fonctionnement de la Rép. n'est pas véritablement déterminé par le texte de la Constitution. Au regard de la théorie constitutionnalisme car nous savons que dans un système de constitution écrite théoriquement le pouvoir des organes d'état, leur compétences doivent être déterminés par la Constitution. Certaines dispositions fondamentales de la constitution sont mises à l'écart parce-qu'elles sont en quelque sorte incompatibles avec les décisions fondamentales. La

BAGUENARD Page 2 CHAPITRE I : L’ ETAT, UNE FORME D’ORGANISATION SOCIALE UNIVERSALISEE. 1- RECHERCHES RENOUVELEES SUR UNE ORIGINE PROBLEMATIQUE. 1°) DES INTERROGATIONS PERSISTANTES. 1- Un sous – produit d’une conception évolutive du pouvoir ? 2- La naissance de l’Etat: état de fait ou état de droit ? 2°) UNE LABORIEUSE GESTATION. 1 - Polémiques sur la date de naissance de l’Etat : Rupture ou enracinement ? 2- La genèse exemplaire du prototype : illustration française. 2- FICHE

continue de la distribution des pouvoirs Titre II : L’évolution continue des pratiques constitutionnelles Titre I : L’évolution continue de la distribution des pouvoirs La C est un acte organisateur. La question est donc comment la C de 1958 organise-t-elle les pouvoirs ? Quels sont les pouvoirs ? Qui fait quoi ? 1. Qui est le peuple ? Quelles sont ses compétences ? 2. L’exécutif 3. Le législatif Chapitre 1 : Une évolution continue de la distribution des pouvoirs au peuple Le peuple est souverain

conception de ce que doit être la constitution, je mettrai les constituants en face de leurs responsabilités et ils feront ce que je dirai » voici ce que le Général De Gaulle confiait peu de temps avant la date butoir à Pierre Mauriac. Le 16 juin 1946 est prononcé le discours de Bayeux par le Général de Gaulle alors que celui-ci n’est plus au pouvoir depuis sa démission du 20 Janvier 1946 suite à un désaccord avec l’Assemblée Constituante sur le statut de l’Etat. Le lieu dans lequel ce discours prend

théorie générale de l’État : « La souveraineté, c’est le caractère suprême d’un pouvoir suprême, en ce que pouvoir n’en admette aucun autre au-dessus de lui-même, en concurrence avec lui. Quand on dit que l’État est souverain, il faut donc entendre par là que, dans la sphère où son autorité est appelée à s’exercer, il détient une puissance qui ne relève d’aucun autre pouvoir et qui ne peut être égalée par aucun autre pouvoir. Ainsi entendue, la souveraineté de l’État est habituellement présentée comme