Démocratie Exportable

l'affaire géorgienne » où Lénine les considère tous deux comme responsables de la brutalité de la politique de russification[7]. Il soutient Staline dans la lutte contre l'opposition quand celui-ci devient secrétaire général en 1922, persuadé que la démocratie ne peut exister à l'intérieur du Parti sans risque pour sa survie. La Tchéka et les organisations qui lui succèdent continuent à envoyer dans des camps de nombreux « ennemis du peuple », dont la définition était suffisamment vague pour concerner

de Président de la République mais la fonction pourrait être exercée par un Roi ; c'est seulement en 1884 qu'une loi constitutionnelle décide que "la forme républicaine de Gouvernement ne peut faire l'objet d'une proposition de révision", - la démocratie représentative résulte de l'existence d'une Chambre des députés, élue au suffrage universel direct, le mandat impératif étant interdit, mais le Sénat, qui est la chambre des notabilités élues au suffrage indirect, a les mêmes pouvoirs qu'elle,

è Élection d’une 2ème assemblée constituante élue en juin 46 ; le 1er parti du pays est le MRP. De plus la SFIO et le PCF n’ont plus la majorité absolue. * De Gaulle en juin 46 le discours de Bayeux. Il évoque sont rattachement à la démocratie, aussi un projet où un pouvoir exécutif qui ne serait pas l’émanation du pouvoir législatif (le chef d’Etat est placé au dessus des partis) il veut 2chambres c’est le bicamérisme. De Gaulle est jugé par la gauche comme un « bonapartisme » car il

------------------------------------------------- LES PRESIDENTIALISMES Présidentialisme = déformation du régime pdtiel am : régime ds lequel a prépondérance du Pdt étouffe l’autonomie du plt. Syst C°nel aux EU fondé sur le conflit entre les pvoirs + possibilités de blocage réciproque mais ne fonctionne qu’en raison d’un contexte particulier : - plan idéologique : consensus sur les idées libérales depuis le 18ème (dirigeants et formations pol ne divergent que sur les méthodes et moyens); - plan

PARLEMENTARISME ESPAGNOL ET ALLEMAND « Le Parlement ne doit pas gouverner. Une grande nation suppose un gouvernement qui ait sa responsabilité, c’est-à-dire dont la responsabilité ne soit pas chaque jour remise en cause, et qui ait sa durée, c’est-à-dire qui ne sacrifie pas les intérêts de la nation à de pseudo-succès publicitaires ». Cette citation de Michel Debré illustre à la perfection les enjeux des parlementarismes espagnols et allemands. L’importance de ces enjeux s’explique par

Méritocratie Définition de la méritocratie Etymologie : de mérite et kratos, pouvoir, autorité. La méritocratie est un système politique, social et économique où les privilèges et le pouvoir sont obtenus par le mérite. Celui-ci est basé sur la reconnaissance de la valeur par les diplômes, l'expérience, les qualités, les vertus... La méritocratie a pour fondement l'égalité des chances, la liberté individuelle et la reconnaissance de la "réussite". Le terme méritocratie est voisin

licteur dans la Rome antique1. Au sens strict, le terme désigne le mouvement politique fondé par Benito Mussolini, ainsi que le régime qui était en vigueur sous la monarchie italienne quand Mussolini était au pouvoir, de 1922 à 1945. Adversaire de la démocratie, du parlementarisme, de l'individualisme, de la société libérale héritée du xixe siècle, du capitalisme et de la liberté économique2,3, du socialisme4 et du marxisme[réf. souhaitée], le fascisme mussolinien est autoritaire, nationaliste, militariste

pour la défense de la République (UDR) | | 20 | Valéry Giscard d'Estaing | Valéry Giscard d’Estaing 1978(2).jpg | 27 mai 1974 | 21 mai 1981 | Fédération nationale des républicains et indépendants (FNRI)Union pour la démocratie française (UDF) | | 21 | François Mitterrand | Reagan Mitterand 1984 (cropped).jpg | 21 mai 1981 | 17 mai 1995 | Parti socialiste (PS) | | 22 | Jacques Chirac | Jacques Chirac.jpg | 17 mai 1995

son évolution. Il repense à l'idée de constitution pour qu'elle soit la plus plausible et acceptable pour les citoyens, c'est à dire qui assurerait le mieux possible la paix, le respect, la liberté et la justice, dans le sens où l'on vit dans une démocratie et que le but est le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. D. Rousseau revoit donc la définition de la constitution comme mode d''organisation de la séparation des pouvoirs par la doctrine pour en faire une nouvelle et proclamer

caractérisée, elle doit l'être aussi en fonction de la liberté d'autrui. En effet comme dit le proverbe, la liberté s'arrête là où commence celle des autres, dans un soucis de partage et de société égalitaire dans les faits. C’est l’idée même de la démocratie qui permet de concilier la vertu de l’obéissance et l’affirmation de la liberté. Obéir et être libre ne sont donc pas contradictoires ici dans le cadre étatique. Cependant respecter la liberté d'autrui n'est pas non plus une condition suffisante