Démocratie Pensée Rationnelle

eu autant doutils de com et pourtant on se comprend de moins en moins ». Il met en scène l’effondrement des grandes valeurs démocratiques, culturelles, religieuses, qui ont été au fondement de toute notre société. La démocratie athénienne est un peu le paradigme de toute démocratie (vision fantasmatique car c’est une société extremement inégalitaire mais il y a une vraie reflexion démocratique sur la volonté de s’entendre sur les differents problemes de la société, et la valeur fondamentale = l’amitié

qui n'évolue pas b) Des Souverains déconnectées des masses c) La realpolitik l'emporte sur les principes Conclusion Introduction Lors d'un entretien avec un certain M.Huet, (1) entre 1762 et 1768, lorsqu'on demande à Voltaire ce qu'il pense de Montesquieu dit « je cherchais un guide dans un chemin difficile ; j'ai trouvé un compagnon de voyage qui n'était guère mieux instruit que moi ; j'ai trouvé l'esprit de l'auteur, qui en a beaucoup, et rarement l'esprit des lois ; il sautille plus

dans la réalité mais cela montre l’aspect négatif qui résulte de la désobéissance de ces esclaves. Ils n’ont ainsi pas le choix : ils sont obligés d’obéir, renonçant alors à leur propre liberté. Ils ne sont libres ni de leurs gestes, ni de leurs pensées ou tout du moins ne peuvent s’exprimer librement. Ils doivent se donner corps et âme afin de satisfaire les requêtes de leur maître, délaissant leurs propres rêves, leurs propres désirs, faisant donc abstraction de leurs propres sentiments, de leurs

«  une communauté humaine qui dans les limites d’un territoire déterminé revendique avec succès le monopole de la violence de la violence physique légitime » Le caractère rationnel de l’autorité légale est ce qui fait la force de l’Etat moderne. Etat moderne pour Webber est un Etat qui exerce une domination rationnelle et légale par opposition aux autres sociétés qui exercent une autorité traditionnelle ou charismatique. L’Etat moderne suppose un monopole, car si au sein du même territoire

théories de l’analyse sociologique : * Mieux connaître le monde dans lequel on vit. Faire parti d’une société ne suffit pas à la connaître, il faut donc passer d’une connaissance empirique, spontanée liée à l’expérience à une approche globale rationnelle et scientifique permettant de rompre avec le sens commun et certaines évidences trompeuses. La sociologie avec d’autres sciences sociales comme l’économie, la psychologie, l’histoire, la philosophie, permet de rendre intelligible la société donc

française de 1789 La conception humaniste et universaliste de l’individu Le but des Révolutionnaires est d’arracher l’homme à son enracinement régional, religieux, culturel, social, afin de le constituer en « individu » libre. Un individu est un sujet rationnel autonome. Cette conception de l’individu s’oppose à l’ordre ancien des sociétés holistes et à a concetion postmoderne de l’individu La Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen est le texte fondateur de l’individulime classique (ou…moderne)

Aristote (384-322 av J.C.) Disciple de Platon, il s’en écarte pour fonder son propre système : le Lycée (école concurrente). Et contrairement à Platon qui aime expliciter sa pensée par des mythes, Aristote est un philosophe méthodique qui est toujours dans le domaine de l’argumentation. Il est le 1er à formuler clairement les axiomes fondamentaux de la logique (propositions primitives non démontrables et sur lesquelles sont fondées une essence) par son principe de non-contradiction :

pas des actes de raisons, comme les émotions ou les fantasmes). Ces actes de raison se caractérisent par le fait que la pensée construit des jugements = opération complexe qui établit une relation entre 2 éléments, associe des propriétés à un objet (l’objet peut éventuellement être abstrait, comme l’Etat par exemple : la démocratie a telle ou telle propriété.) Dès que l’on pense, on effectue un jugement : on établit une relation entre deux concepts= base de la rationalité. 1. Les jugements descriptifs

émotion ( colère, vengeance, amitié, amour... ). Il y a les actions rationnelles en valeur → lorsqu'on agit conformément à nos valeurs, à notre morale même si les conséquences de cette action nous paraissent extrêmement désagréable. J'agis par devoir sans tenir compte des conséquences. ( ex : les duels, j'estime que mon honneur a été bafoué je provoque l'autre en duel même si je ne veux pas mourir ). Il y a les actions rationnelles en finalité → cela à 2 conditions : je me choisis un objectif conforme

un lieu (cimetière, ascenseur) indépendamment de la réalité de la menace. Une peur n’est pas forcément rationnelle. Elle peut aussi être liée à des éléments tangibles (guerre) ou des éléments non tangibles (Dieu). La peur peut être rationnelle (tremblement de terre) et irrationnelle (peur des fantômes). Elle peut être liée à