Démocratie Populaire

de la mystification des masses, établissant un lien direct entre logique capitaliste des médias de masse et subordination idéologique des individus. En effet, en 1930 est apparue une culture populaire liée à la conjoncture et l’immigration. Les promoteurs de cette culture de masse parlent de culture populaire moderne au nom du pouvoir de prescription d’un public consommateur exprimant démocratiquement ses goûts. L’école de Francfort est alors contre ce concept et parle plutôt d’industrie culturelle

de démocratie : La démocratie relève d’un grand régime idéal, par lequel on imagine les hommes naturellement vertueux, et capables de s’autogouverner pour le bien de tous. Cette vision utopique de la démocratie ne fonctionne nulle part pourtant conformément aux modèles échafaudés par les théoriciens. Pour W. Churchill, il apprécie la démocratie étant « le pire des régimes, à l’exception de tous les autres ». Abraham Lincoln donne lui une vision sentimentale et peu claire : « la démocratie est

Le Front populaire La France est touchée par des crises en 1931, plus tardivement par a apport à l'Allemagne. Une crise morale : liée au traumatisme de la Première Guerre Mondiale les français ne veulent plus de « chair à canons » Ex: baisse des naissances Une crise économique : chômages, faillites, baisse d'exportation, soupe populaire, marche de la faim. Ex: + d'un million de chômeurs. Une crise antiparlementaire : On reproche aux hommes politiques de ne rien faire pour

démocratique le mettent sous pression. Son plan d'instaurer la démocratie en créant un parlement élu a comme conséquence de donner le pouvoir à des ennemies du système communiste dont Boris Eltsine. Les républiques réclament leur indépendance et rejettent le système communiste . Cette dislocation du bloc soviétique et la disparition de l'URSS ont des conséquences majeures pour l'Europe de l'Est qui découvre le chemin de la démocratie et des libertés retrouvées. Mais ce chemin n'est pas toujours facile:

Exemple de corrigé de la dissertation Souveraineté nationale et souveraineté populaire : une véritable opposition ? Paradoxalement, alors que les théories classiques de la souveraineté distinguaient au XVIIIe siècles les notions de souveraineté nationale et de souveraineté populaire, les textes constitutionnels contemporains semblent au contraire confondre ces deux conceptions. Ainsi, la Constitution française actuelle du 3 octobre 1958 énonce-t-elle à l’article 3 que : « la souveraineté nationale

internationales pendant plusieurs décennies s'effondre en moins de trois ans avec le bloc de l'Est. Cette dislocation du bloc soviétique et la disparition de l'URSS ont des conséquences majeures pour l'Europe de l'Est qui découvre le chemin de la démocratie et des libertés retrouvées. Mais ce chemin n'est pas toujours facile : le réveil des nationalismes déclenche de nouveaux conflits. Au final, c'est une nouvelle carte de l'Europe qui voit le jour, entre intégration régionale et éclatement de certains

préférer à l’expression de « forme de gouvernement ». Cela exprime une réalité beaucoup plus riche qu’auparavant. Le régime politique va intégrer des éléments de la vie politique du pays (autre partie/ syndicat..). La distinction entre autocratie et démocratie Cette distinction est élaborée au XXème siècle par un philosophe Autrichien, H. KELSEN. Cette classification repose sur la participation du citoyen à l’élaboration des lois. L’homme est libre du moment qu’il se soumet à sa propre volonté. Dans l’autocratie

A l’Ouest, la construction européenne s’amorce avec l’aide américaine et se réalise par étapes. Elle aboutit à une intégration économique capable de concurrencer les EU. A l’Est, huit Etats d’Europe centrale et orientale deviennent des démocraties populaires et sont mis sous tutelle par l’URSS et intégrés dans le bloc communiste. Les protestations sont etouffées par l’URSS y compris avec l’usage de la force militaire. Le camp socialiste s’effondre en 1989 rongé de l’intérieur. Après 40 ans de

nationale et souveraineté populaire » Introduction : Selon Rousseau, la souveraineté ne peut être représentée, par la même raison qu’elle ne peut être aliénée. La souveraineté nationale se définit comme la détention de l’autorité suprême, elle est le plus souvent détenue par un seul homme. Dans les démocraties, elle est détenue par le peuple en un corps politique. La souveraineté populaire trouve son origine chez Rousseau dans « le contrat social ». la souveraineté populaire appartient au peuple

nationale ” de Montesquieu et  la “ souveraineté populaire ” de Rousseau. Ainsi, l’article 3 qui règle le principe de souveraineté, c’est à dire le pouvoir suprême confié à l’Etat, témoigne de cette volonté d’équilibre. Cependant, dans la pratique, la cohabitation de ces deux idées politiques n’est-elle pas conflictuelle ? Aussi, après avoir montré en quoi l’article 3 résulte d’un équilibre entre “ souveraineté nationale ” et “ souveraineté populaire ” (I), nous pourrons expliquer en quoi cet équilibre