Dénouement Le Misanthrope

Médecin volant L’Étourdi Dépit amoureux Précieuses ridicules Sganarelle L’École des maris Les Fâcheux L’École des femmes L’Impromptu de Versailles Le Mariage forcé La Princesse d’Élide Tartuffe Dom Juan L’Amour médecin Le Misanthrope Le Médecin malgré lui Pastorale comique Le Sicilien Amphitryon Georges Dandin L’Avare Les Amants magnifiques Le Bourgeois Gentilhomme Psyché Les Fourberies de Scapin Les Femmes savantes Le Malade imaginaire b) L’école

fonction et de son évolution. Supports : - texte ouvroir : Le Cid, (III,4) - Œdipe-Roi de Sophocle / La Machine infernale de Cocteau - un monologue délibératif / l’exposition : Cinna, Corneille (I,1) - un monologue récitatif / le dénouement : Phèdre, Racine (V,6) - comique et tragédie : La guerre de Troie n’aura pas lieu, (I,4) Textes complémentaires : - J. de Romilly, La tragédie grecque - Boileau, Art poétique Lecture buissonnière :

galanterie mondaine…). Mais sa peinture dépasse toujours le cadre de son temps grâce à son invention dramaturgique qui lui permet de créer de nouveaux types, dont les travers peuvent résonner de façon universelle : le libertin, la précieuse, le misanthrope. © Éditions Belin/Éditions Gallimard, 2009. 4 Dom Ju a n Arrêt sur lecture 2 p. 48-52 Pour comprendre l’essentiel p. 48-49 Dom Juan, un aristocrate à la campagne L’acte II s’ouvre sur un lieu différent et de nouveaux personnages

............... 43 »Dom Juan ou le Festin de Pierre«: Libertinage als Surrogat des funktionslos gewordenen Feudaladels............................................................... 58 Das Problem des »dénouement« bei Molière .................................................... 74 »Le Misanthrope« und die Doppeltradition tragischer und komischer Interpretation...................................................................................................... 79 » Amphitryon « und das Labyrinth

Lago de Shakespeare, empoisonneuses comme la Lucrèce Borgia de Hugo, tyrans comme le Caligula de Camus… On s’attendait bien à trouver dans la tragédie ces monstres. Mais la comédie aussi offre ses personnages noirs, dont au fond parfois seul le dénouement – heureux – de la pièce ou le traitement burlesque et bouffon allège l’influence maléfique et angoissante : ce sont Dom Juan l’infidèle, Le Comte du Mariage, l’Ubu de Jarry… b. La peinture de la noirceur comme révélateur : un repoussoir… Dans la

bienséance devaient être aussi respectées afin de ne pas choquer le public. La vraisemblance était également de rigueur. Les thèmes tragiques sont souvent l’héroïsme, l’honneur et la vengeance, l’amour, la fatalité, l’homme face à son destin, etc. Le dénouement d’une tragédie est souvent malheureux (par exemple : la mort). « La principale règle est de plaire et de toucher. Toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première. » Racine, Bérénice, préface. Quelques grandes tragédies classiques :

permet la production de messages et la communication. 52. Comédie - Genre théâtral qui présente des personnages de la vie ordinaire, et qui provoque le rire. Elle dépeint les travers et le ridicule des caractères et des mœurs d'une société. Son dénouement est, le plus souvent, heureux. Le niveau de langue est souvent familier, ou courant.  53. Comique - Très fréquent au théâtre, il utilise des procédés comme l'incohérence des propos, les quiproquos, les répétitions pour mettre en évidence une absence

bienséance devaient être aussi respectées afin de ne pas choquer le public. La vraisemblance était également de rigueur. Les thèmes tragiques sont souvent l’héroïsme, l’honneur et la vengeance, l’amour, la fatalité, l’homme face à son destin, etc. Le dénouement d’une tragédie est souvent malheureux (par exemple : la mort). « La principale règle est de plaire et de toucher. Toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première. » Racine, Bérénice, préface. Quelques grandes tragédies classiques

basse. Style familier (imitation langage ordinaire), dénouement toujours heureux, univers toujours actuel et proche du spectateur. Elle veut plaire en instruisant. Met en place morale pragmatique, voire cynique. Audace que la comédie bienséante du siècle suivant s’empressera d’oublier. 5. La tragédie : du lyrisme à l’action Elle représente des personnes de condition élevée et de caractère historique. Style haut. Dénouement le plus souvent malheureux (heureux : tragi-comédie)

| | |Sujet d’oral : Ionesco, Le Roi se meurt, fin de la pièce | | |Peut-on parler de dénouement pour caractériser la fin de cette pièce ? | |Un « théâtre de la parole » ? (L – juin 2005) |Question : Après avoir identifié la forme commune des trois textes du corpus, | |- Musset, Lorenzaccio, IV,9