Dénouement Tragique Madame Bovary

permettant d'évoquer les comportements des hommes. - la fable comporte une leçon de morale -L’écriture dramatique: Dialogue, didascalies, découpage en actes et en scènes. -L’action dramatique: l’exposition, le déroulement de l’action et le dénouement - Le théâtre : un art de l’illusion, la mimésis, c'est- à-dire l’imitation de la réalité. Fascicule de français première Page10 d- Etude de texte JE LIS ET JE M’EXERCE EXERCICE 1 Texte On raconte qu’il y avait à New York, sur le pont de

sont les fonctions de la poésie ? », « Quelles sont, selon vous, les fonctions du comique ? », etc.  Les sujets invitant à construire un plan thématique portent bien souvent sur les fonctions d’un genre littéraire. Exemple de sujet : Madame Bovary de Flaubert : Un donné à voir ; un donné à penser. En parcourant l’œuvre de bout en bout, vous organiserez à l’aide d’arguments tirés de ce roman, un plan détaillé. Définition des concepts *Un donné à voir : - mettre à la disposition du

roman sentimental n’est quelque chose de nouveau (Balzac et Brontë). Le motif amoureux est mis en parallèle au roman pastoral (comme : L’Astrée, d’Honoré d’Urfé) et au roman galant. Intertextualité entre Anna Karénine et La Princesse de Clèves (de Madame de La Fayette) ; ou entre Anna Karénine et La Femme de trente ans. Si le 19ème siècle se détache de l’érotisme libertin du siècle précédent (modèle aristocratique) en se consacrant à la passion bourgeoise (modèle dégradant), malgré tout, le 18ème

compliquent parfois la tâche du lecteur. Ainsi, le Matamore est également nommé Tranche-montagne, le Pédant est parfois désigné par son prénom Blazius, tout comme le Tyran tragique est nommé Hérode. Quelques repères nous sont donnés, comme c’est le cas page 26 : « Le personnel mâle se composait du Pédant, du Léandre, du Scapin, du Tyran tragique et du Tranchemontagne. » On fera observer que les personnages ne sont désignés que par leur « nom de théâtre », qui identifie leur emploi, comme le signale l’emploi

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 140 4 LE THÉÂTRE ¢ ¢ ¢ ¢ 24. Étudier la comédie et le comique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25. Étudier la tragédie et le tragique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26. Étudier le renouvellement des formes théâtrales du xviie siècle à nos jours . . . 27. Étudier les formes et les enjeux de la représentation

comme cette signature de Gilberte que Marcel prendra pour celle d'Albertine, comme ce visage d'Odette de Forcheville qui contient en suspension le souvenir de la Dame en Rose, le portrait par Elstir de Miss Sacripant, les photographies triomphantes de Madame Swann, le « petit daguerréotype ancien et tout simple » conservé par son mari, et bien d'autres « épreuves » successives, plus une obscure resseinblance avec la Zéphora de Botticelli. Ce palimpseste du temps et de l'espace, ces vues discordantes sans

émancipation de l’intelligence, une avancée de l’esprit de libre examen. Une même métaphore […]« lumières » évoque cette aventure collective. Le triomphe de la philosophie aurait mis fin au règne de l’obscurantisme et de la superstition. « Philosopher, écrit Madame de Lambert en 1715, c’est rendre à la raison toute sa dignité, c’est secouer le joug de la tradition, de l’autorité »; et Diderot de confirmer, dans une lettre à la princesse Dashkoff en 1771 : « l’esprit de notre siècle est l’esprit de liberté »

émancipation de l’intelligence, une avancée de l’esprit de libre examen. Une même métaphore […]« lumières » évoque cette aventure collective. Le triomphe de la philosophie aurait mis fin au règne de l’obscurantisme et de la superstition. « Philosopher, écrit Madame de Lambert en 1715, c’est rendre à la raison toute sa dignité, c’est secouer le joug de la tradition, de l’autorité »; et Diderot de confirmer, dans une lettre à la princesse Dashkoff en 1771 : « l’esprit de notre siècle est l’esprit de liberté »

On peut alors admettre que la nouvelle se différencie du roman par sa structure particulière : un nombre de pages limité, un cadre plus étroit, peu de personnages et peu d’éléments. Ces derniers, comme indiqué plus haut, sont agencés en vue d’un dénouement souvent inattendu qui doit produire un grand effet sur le lecteur : indignation, effroi, émotion, etc. Retenons que la nouvelle existe en France depuis le Moyen Age et qu’elle s’est développée particulièrement au XIXème siècle. En Afrique, par contre

peut alors admettre que la nouvelle se différencie du roman par sa structure particulière : un nombre de pages limité, un cadre plus étroit, peu de personnages et peu d’éléments. Ces derniers, comme indiqué plus haut, sont agencés en vue d’un dénouement souvent inattendu qui doit produire un grand effet sur le lecteur : indignation, effroi, émotion, etc. Retenons que la nouvelle existe en France depuis le Moyen Age et qu’elle s’est développée particulièrement au XIXème siècle. En Afrique, par