Dénouement Tragique Madame Bovary

la religion, la politique, les mœurs, … Montesquieu, écrit J. Roger, “donnait le ton, savait dire légèrement des vérités graves, haïssait le pédantisme autant que l’inutilité, prenait au sérieux les choses sérieuses sans se prendre lui-même au tragique, et enseignait à toute une génération d’écrivains que la seule faute impardonnable aux philosophes qui pensent juste, c’est d’être ennuyeux.” 16 Mme de Graffigny, Lettres d’une Péruvienne (1747) c- La Vie de Marianne (Marivaux, 1731-1742)

début du duel est particulièrement effrayante : aucune identité ne lui est attribuée, comme le prouve l’emploi de l’article indéfini : « une voix résonna dans le grand silence de l’espace » (l. 474-475, p. 169). Ici le texte prend des allures tragiques : les adversaires sont comme seul à seul, face à leur destin. La voix crée un contraste avec le « grand silence » (l. 475, p. 169) et se substitue au bruit de la détonation. Le récit semble ralentir et l’instant se figer au moment du coup de feu

une garde vigilante auprès de Camille. Sa nièce, avec ses airs tranquilles, ses dévouements muets, lui inspirait une confiance sans bornes. Elle l’avait vue à l’œuvre, elle voulait la donner à son fils comme un ange gardien. Ce mariage était un dénouement prévu, arrêté. Les enfants savaient depuis longtemps qu’ils devaient s’épouser un jour. Ils avaient grandi dans cette pensée qui leur était devenue ainsi familière et naturelle. On parlait de cette union, dans la famille, comme d’une chose

une garde vigilante auprès de Camille. Sa nièce, avec ses airs tranquilles, ses dévouements muets, lui inspirait une confiance sans bornes. Elle l’avait vue à l’œuvre, elle voulait la donner à son fils comme un ange gardien. Ce mariage était un dénouement prévu, arrêté. Les enfants savaient depuis longtemps qu’ils devaient s’épouser un jour. Ils avaient grandi dans cette pensée qui leur était devenue ainsi familière et naturelle. On parlait de cette union, dans la famille, comme d’une chose nécessaire

une garde vigilante auprès de Camille. Sa nièce, avec ses airs tranquilles, ses dévouements muets, lui inspirait une confiance sans bornes. Elle l’avait vue à l’œuvre, elle voulait la donner à son fils comme un ange gardien. Ce mariage était un dénouement prévu, arrêté. Les enfants savaient depuis longtemps qu’ils devaient s’épouser un jour. Ils avaient grandi dans cette pensée qui leur était devenue ainsi familière et naturelle. On parlait de cette union, dans la famille, comme d’une chose nécessaire

264-265). Texte E : Poème Enivrez-vous, extrait des Petits Poèmes en prose de Charles Baudelaire (p. 265). Document : L’Ivresse de Polichinelle de Joseph Faverot (p. 266). Objet(s) d’étude et niveau(x) Le théâtre : genres et registres (le comique et le tragique) (Seconde). Le théâtre : texte et représentation (Première). Compléments aux travaux d’écriture destinés aux séries technologiques Question préliminaire De quelle manière (avec quelles ressources ou armes) Cyrano joue-t-il ici les différents personnages

jusqu’à la lie l’aventure tragique ». Ici résonne le sens du mot « tragédie » en allemand : Trauer-spiel = le jeu du deuil. Quel lien y a-t-il entre l’aventure tragique et la mort inéluctable ? Emmanuel Lévinas, Dieu, la Mort et le Temps. Editions Grasset et Fasquelle, 1993 Emmanuel Lévinas, Op. cit. 6 Jean Zacklad, Pour une Ethique. Livre III. L’Alliance. Textes et Travaux, 1985 4 5 47 Jean Beaufret, dans un très beau texte Hölderlin et Sophocle7, explore ce sens du tragique ou du deuil : « L'événement

philosophie à la Sorbonne. Sa tragédie en vers, Cromwell, parue en 1820, est un échec et il décide alors de s’essayer au genre romanesque. Il utilise des pseudonymes jusqu’à la parution du roman Les Chouans, en 1829. En 1822, il devient l’amant de madame de Berny qui est beaucoup plus âgée que lui. Son aide financière lui permet d’acheter une petite imprimerie  : il exerce ainsi les métiers d’éditeur, d’imprimeur et de fondeur de caractères entre 1825 et 1827. Toutefois, il n’a pas le sens des

philosophie à la Sorbonne. Sa tragédie en vers, Cromwell, parue en 1820, est un échec et il décide alors de s’essayer au genre romanesque. Il utilise des pseudonymes jusqu’à la parution du roman Les Chouans, en 1829. En 1822, il devient l’amant de madame de Berny qui est beaucoup plus âgée que lui. Son aide financière lui permet d’acheter une petite imprimerie  : il exerce ainsi les métiers d’éditeur, d’imprimeur et de fondeur de caractères entre 1825 et 1827. Toutefois, il n’a pas le sens des

le “Bulletin de la société des gens de lettres”, qui la publia en janvier 1847 sous le pseudonyme de Charles Defaÿs : _________________________________________________________________________________ “La Fanfarlo” (1847) Nouvelle Madame de Cosmelly, en promenade dans le jardin du Luxembourg, croise un ami d’enfance, Samuel Cramer. Elle lui confie ses déboires matrimoniaux : M. de Cosmelly la délaisse pour une autre femme, une danseuse qu’on appelle «la Fanfarlo». Samuel Cramer s’engage