Désengagement Moral

 « L’éthique regroupe un ensemble de principes, de valeurs et de croyances qui dirigent la conduite des individus » (Mercier, 1999). La définition proposé par « The American Heritage » est comme suit « l’éthique est la philosophie qui traite de la morale. Ethique se préoccupe de distinguer entre le bien et le mal dans le monde, entre le bien et le mal des actions humaines, et entre les caractéristiques vertueux et non vertueux des personnes ». Elle se définit comme «la recherche des fondements rationnels

au centre du pouvoir. C’est un procédé d’échange entre deux parties, l’une accepte de contribuer à l’effort de défense des intérêts communs et l’autre lui assure en contrepartie la protection de ses biens et la garantie de l'intégrité physique et morale de ses membres. Cette explication de l’origine de l’État ne fait pas l’unanimité. Ainsi, les marxistes croient plutôt que l’État est né lorsque la société s’est divisée en classes antagonistes. Cette division elle-même s’appuie sur la division sociale

extrême = paranoïa. Importance des processus d’interprétations des conséquences des CA. Après un CA bien svt l’individu ressent un conflit interne entre ce qu’il vient de faire et ses valeurs morales. Pr le résoudre certains individus vont se persuader qu la personne A l’a mérité (désengagement morale). D’autres vont dévaloriser la victime ou minimiser les conséquences de l’A sur la victime. IV - Pistes pr résoudre les CA. 1) La Catharsis. Définition : réduction de la frustration et

toujours si on examine par exemple le droit et la morale. Il y a des liens certes ( débats contemporains sur l’éthique comme euthanasie) mais il y a des règles juridiques qui n'ont aucun lien avec la morale. Si le code de la route nous oblige a conduire a droite c'est pas plus morale ou plus immorale que de conduire à gauche. A l'inverse il y a des règles morales qui ne sont pas sanctionnées par le droit , comme par exemple le devoir moral d'aider autrui qui est dans le besoin. Si en sortant

sens) John 10 % associé minoritaire et gérant Immatriculation au RCS en janvier 2008 Question 1 La formation d’une société, implique un laps de temps entre les premières démarches des fondateurs et l’acquisition de la personnalité morale par la société. Bien que n’ayant pas le droit de passer des contrats pendant cette période (absence de personne juridique) des contrats sont bel et bien passés pour les besoins de la société en formation, tel que l’achat de mobilier de bureau.

bonnes mœurs et pratiques sociales et économiques, c’est-à-dire qu’il doit savoir quels comportements, quelles volontés traduites en actes sont conformes aux bonnes mœurs. Les bonnes mœurs sont des habitudes de bonne vie, des usages ou des règles morales dont la société ne permet pas qu’il puisse être dérogé par la volonté des parties. Si un certain nombre de lois civiles et pénales françaises ont transposés des bonnes mœurs et sanctionnées certaines pratiques, telle la révocation des donations pour

charge ses enfants. | 1.7 La délinquance semble etre un phénomène de « grande ville » , le nombre d’enfant vagabonds est favorisé par les « grands ensemble » | 1.9 Ces enfants versent dans le vice et perdent tout repère, ils n’ont plus de valeur morale (honnêteté, conscience) car personne n’est la pour leur transmettre | 1.8 Autant d’enfant abandonné à eux même révèlent un double échec au disfonctionnement ; la défaillance de la famille incapable de les prendre en charge et celle de la société

prend également un sens moral, et cette citation de rousseau nous montre qu'elle apparaît comme un sentiment qui permet de distinguer le bien du mal. Ainsi la conscience serait aussi ce sentiment moral inné chez tous les hommes. Il suffirait alors d'écouter sa conscience pour différencier le bien du mal, me vient a l'esprit un exemple particulièrement collant, «  juger en son âme et conscience ». Donc si l'Homme est définissable par sa conscience, il l'est aussi par sa moral. Mais pourtant faire concorder

Ethique La morale c’est agir parce qu’on doit faire comme ca, c’est une loi universelle. C’est le vivre ensemble. Faire ce qui est juste. Comportement qui ne nuis pas aux autres. Dans tous les secteurs de notre vie sociale et notamment dans le secteur de la communication, il y a un retour depuis quelque temps à des questionnements nouveaux dans lequel on voit apparaitre des notions : responsabilité, éthique. On parle de retour car depuis le 18ème la notion de moral avait disparu des discours

passion extravagante. Contrairement aux sociétés aristocratiques, les sociétés démocratiques accordent le goût du bien-être matériel avec l'ordre et même avec l'ordre religieux. Le matérialisme qui est en train de naître sera donc en accord avec la morale il sera donc honnête, il ne corromprait pas les individus mais les rendrais « mous ». Une autre conséquence de la démocratie est l'individualisme. Nous verrons cette notion plus en détail dans la deuxième partie. La démocratie pour Lipovetsky