Désindustrialisation

La stratégie de la terre brûlée Avec la règle du jeu économique actuelle la désindustrialisation est notre destin. A la place d'une économie, un désert...Depuis une trentaine d'années, les états ont lâchés la bride aux entreprises et ont poussé comme des forcenés à l'ouverture des frontières, se ralliant au panache malsain de l'OMC, pendant que les coûts et les temps de transport baissaient massivement grâce au container et qu'Internet fluidifiait le transfert d'information. Les grandes entreprises

doivent être importés. Ce qui semble être le cas pour la France qui est rentrée dans une phase de désindustrialisation. Comment peut-on expliquer les faiblesses de l'industrie française ? Doit- on parler de la désindustrialisation de la France ? A - La globalisation entraîne des choix de stratégies industrielles. Tous les Pays européens sont pris dans le tourbillon de la désindustrialisation. Aucun Etat n'y échappe : même pas la France. La théorie des avantages absolus d'Adam Smith, puis celle

L’industrialisation et l’état providence, favorise l’émergence d’1 société de conso. & de loisirs B) Vers une société postindustrielle : la tertiarisation de l’économie. 1* désindustrialisation & tertiarisation de l’éco. Dans le milieu des années 70, la France entre dans un processus de désindustrialisation (ouvriers perdent leurs emplois…) Cette transformation est douloureuse car synonyme de chômage. 2* Elévation du niveau de qualification Elévation d’un niveau de vie qui s’accompagne

la délocalisation et la désindustrialisation de son économie. C’est pourquoi les politiques tentent de diversifier et de renforcer les pôles de compétitivité tout en favorisant la recherche. C'est justement la capacité d'innover et de rendre efficaces les interactions entre la recherche et la production qui va permettre à la France de rester parmi les moteurs de l’économie mondiale. I. Désindustrialisation ou mutations industrielles ? La désindustrialisation est devenue un thème récurrent

loin derrière les Etats-Unis, le Japon et l’Allemagne, devancée dorénavant par la Chine, le nouvel atelier du monde, et en concurrence avec l’Italie et le Royaume-Uni à ce niveau. Ainsi suite à ces évolutions, doit-on réellement parler d’une désindustrialisation française ou plutôt de mutation du système productif? Ces évolutions ont d’une part conduit à un bouleversement du système productif, entre crise et mutation (I), et d’autre part à une recomposition de l’espace industriel dont le bilan reste

montrer que ce débat peut être dépassé, notamment à travers l’idée de polyvalence stratégique. CHAPITRE 1 L’impacte de l’industrie sur l’entreprise La notion de la « désindustrialisation » est au cœur de l’actualité : pour certains, la mondialisation, comme les développements des techniques ou de la demande, seraient à l’origine d’un amoindrissement de la valeur ajoutée et de l’emploi industriels, alors que d’autres, sans nier

contribué à cette crise dans le marché du travail. Il y’a d’abord une désindustrialisation dans le système économique français. En effet, nous constatons que 335 000 emplois ont été détruits dans le domaine industriel de 2007 à 2011 (deuxième trimestre). En dix ans, de 1999 à 2008, la part du secteur industriel français rétrécit de 22% de la valeur ajoutée du PIB à 16%. Cela s’explique par un lien direct entre désindustrialisation et délocalisation. Les salaires proposés aux ouvriers en France ne font

cette époque, la justification était que les métiers du service étaient moins menacés par le chômage, et donc que se tourner vers les métiers du tertiaire était un choix plus judicieux pour préserver le niveau de l’emplois. Cependant cette désindustrialisation massive aura pour conséquence un manque de production locale et une dépendance de l’étranger encore visible de nos jours sur la balance commerciale. Une réindustrialisation semble donc nécessaire notamment sur le segment du haut de gamme

une machine à laver ou un sèche-linge. Le coefficient budgétaire des services des blanchisseries-teintureries était de 0,4 % en 1970 et seulement de 0,2 % en 1992. B) l’existence controversée d’un phénomène de désindustrialisation. Le phénomène de désindustrialisation s’analyse généralement comme le recul des matières premières et des biens matériels, au profit d’un essor de la «matière grise». D’après l’INSEE, de 1954 à 1994, en France, malgré l’augmentation lente de l’emploi

sociale grâce à l’école ; meilleure réussite professionnelle des enfants par rapport a celle de leurs parents car ils ont eu un meilleure enseignement. Puis il eut le Choc pétrolier en 1973 et brutale désindustrialisation ce qui provoque la fin des Trente Glorieuses.   II La désindustrialisation et la tertiairisation depuis le dernier quart du XXème siècle La France ne consomme plus que ses produits, elle a beaucoup de concurrence extérieure comme la Chine et surtout les Etats-Unis, sur lesquelles