Désobéir Peut Il Etre Un Droit

Apprend-on à être libre ?Qui nous apprend à être libre ?Il semble assez évident à première vue que nous apprenons à être libre, en effet nous avons appris durant notre enfance certaines règles de vie en commun, nous avons aussi appris par nous même que notre liberté s’acquière par notre indépendance et notre autonomie au sein de la société.Pourtant, il semble aussi que l’idée de liberté ne se réduise pas à un pur apprentissage qui finalement se confond avec le fait de devenir totalement raisonnable

telles que la famille ou le village, ont une fonction évidente: assurer la survie des individus, rendre plus efficace la gestion des besoins, se défendre contre une nature hostile et d'autres groupes humains ... C'est donc bien l'intérêt qui semble être à la base de toutes les communautés. Pourtant, lorsqu'on parle de communauté politique, n'y a-t-il pas une nouvelle dimension qui entre en jeu? Dans une cité ou dans un Etat, lorsque les relations entre les individus sont médiatisées par des institutions

se prétend juste à sa place. Après la lecture de ce texte de Pascal, on s'interroge. Peut-on mettre la force au service de la justice sans que le processus ne s'inverse? Les hommes ne respectent-ils la justice que parce qu'ils y sont contraints? La justice peut-elle annihiler la force et se maintenir indépendamment d'elle? Le droit, qui est supposé être l'expression de la justice, n'est-il en fait que le droit du plus fort? ________________________________________ [2. Explication détaillée] [Première

elle-même, la réflexion sur la justice occupe une place prépondérante dans la pensée contemporaine depuis une vingtaine d'armées. Ce regain d'intérêt s'explique par la renaissance et le renouvellement des interrogations concernant les droits de l'homme en général et l'État de droit en particulier. La question de la justice tendrait à se confondre aujourd'hui avec celle du bien commun, conçu comme respect mutuel des personnes, équilibra des libertés et solidarité sociale. Mais l'élucidation de l'idée de justice

à l’accoutumé, on lui demande ce qu’il mérite. Il déclare devoir être nourri aux pritanés. Il ajoute que s’il est condamné à mort, il ne souffrira pas, on ne souffre pas de faire le bien. L’exil lui est proposé, mais il refuse de désobéir aux lois. A cette époque, la philosphie est vue comme une activité subversive. A/ Un régime aux fondements délétères: 1.Athènes est une démocratie directe L’isonomia et l’isegoria. Être né de père Athènien puis avec Périclès, de père et de mère. L’esclavage

NB: Pour être bénéfique, la lecture de ce travail doit s'accompagner de la lecture des documents associés. [1. Introduction] Justice, force. À chaque élection en Tunisie, depuis deux décennies, le président Ben Ali est réélu à 99 % des voix. Il légitime ainsi le règne de sa force et lui donne une apparence de pouvoir juste. Selon Pascal, dans le texte que nous allons commenter, la justice a besoin de la force pour s'appliquer, la force, de la justice pour se légitimer. Il faut donc les

semble un peu éffacé. Elle est tout de même très lucide, par ses revendications de liberté et par la façon dont elle réclame le droit de choisir son amour. Pridamant : Il est le père de Clindor. Il appartient à la petite noblesse. Pridamant souffre de ne plus voir son fils qui représente pour lui l'homme qu'il a était, et il veut donc retrouver le fils qu'il a chassé. On peut penser que Pridament a sois peur de finir ses jours seul ou qu'il regrette d'avoir rejeter Clindor. Il souffre de l'évocation

qu’elle perdrait une valeur, et on va voir, si ce manque créé pourrait-être comblé par autre chose ou voir même être pacifié. On se demande alors si une société pourrait se priver de la Religion. Nous verrons dans un premier temps que la religion est un élément de base pour une société comme pour l’histoire, et ensuite nous constaterons qu’elle est une source de conflits permanent, puis nous verrons dans quels moyens elle pourrait être (in)dispensable. La religion est à la base de la création d’une

et des jugements. L'idée de raison appelle aussi celle de cause, d'explication, mais aussi d'argument destiné à légitimer un jugement ou un acte, pour se donner raison, c'est-à-dire se donner l'avantage moral sur son adversaire. Seul un être doué de raison, peut avancer des raisons pour se justifier. Quant au terme « fort », il insiste sur la notion de puissance, de force, d’assurance et de manifestation d’autorité, d’ascendant sur autrui, de rigueur et de violence. La meilleure raison (soulignée

La politique Légitimité : de droit, juste, conforme à la loi, justifié... Est-il préférable que l’Etat existe ? Etat est une instance de commandement. Raison d’Etat = prendre une décision même si les lois l’interdisent pour la survie de l’Etat. Le citoyen obéit à l’Etat, on est forcé de se plier à ses décisions (démos=peuple, kratès=le pouvoir). Il y a le commandement et l’obéissance. Etat indique tjrs 2 choses : qlqn pour commander et qlqn pour obéir et des individus associés à l’intérieur