Désobéissance Civile Thoreau

devant le Lincoln Memorial à Washington durant la marche pour l'emploi et la liberté : « I have a dream ». Il est soutenu par John F. Kennedy dans la lutte contre la ségrégation raciale aux États-Unis ; la plupart de ces droits seront promus par le « Civil Rights Act » et le « Voting Rights Act » sous la présidence de Lyndon B. Johnson. Martin Luther King devient le plus jeune lauréat du prix Nobel de la paix en 1964 pour sa lutte non violente contre la ségrégation raciale et pour la paix. Il commence

COMPAREE : Henry MILLER et sa trilogie Sujet de la dissertation : Dans Les Livres de ma vie, Henry Miller dresse la liste des personnalités qui l'ont influencé le plus. Parmi elles figure en bonne place Henry David Thoreau, chantre de la Désobéissance Civile, qui a écrit : "Il n'est pas d'individu plus fatalement mal avisé que celui qui consume la plus grande partie de sa vie à la gagner." Friedrich Nietzsche, philosophe de la Volonté de Puissance, a quant à lui déclaré que : "le travail

devant le Lincoln Memorial à Washington durant la marche pour l'emploi et la liberté : « I have a dream ». Il est soutenu par John F. Kennedy dans la lutte contre la ségrégation raciale aux États-Unis ; la plupart de ces droits seront promus par le « Civil Rights Act » et le « Voting Rights Act » sous la présidence de Lyndon B. Johnson. Martin Luther King devient le plus jeune lauréat du prix Nobel de la paix en 1964 pour sa lutte non violente contre la ségrégation raciale et pour la paix. Il commence

parti au pouvoir, en prison ils sont coupés du monde, ils ne peuvent donc pas exprimer leurs idées, mais cela a un avantage, les lois tyranniques ne leurs parviennent pas ils sont moins influencés par l’extérieur. Henry David Thoreau disait dans son essai La désobéissance civile « Sous un gouvernement qui emprisonne injustement, la place de l’homme juste est aussi en prison ». Si les tyrans cherchent à influencer ces hommes, à leur faire changer d’avis, certains préfèrent encore souffrir, voir mourir

Lincoln Memorial à Washington durant la marche pour l'emploi et la liberté : « I have a dream » (Je fais un rêve). Il est soutenu par John F. Kennedy dans la lutte contre la discrimination raciale ; la plupart de ces droits seront promus par le « Civil Rights Act » et le « Voting Rights Act » sous la présidence de Lyndon B. Johnson. Martin Luther King devient le plus jeune lauréat du prix Nobel de la paix en 1964 pour sa lutte non violente contre la ségrégation raciale et pour la paix. Il commence

organisation pacifique qui participe activement au Mouvement pour les Droits Civiques en organisant les églises afro-américaines pour conduire des protestations non violentes[8]. Martin Luther adhère à la philosophie de désobéissance civile non-violente comme décrite par Henry David Thoreau[9] et utilisée avec succès en Inde par Gandhi[10]. Conseillé par le militant des droits civiques Bayard Rustin, il décide de l'utiliser lors des manifestations de la SCLC. Il expose en 1958 son point de vue sur la

commerciale Dada Abdullah &Co à une autre firme. Il accepte immédiatement et part pour Durban en Afrique du Sud. Ce voyage est certainement un des plus riches pour Gandhi, car c’est à cette période qu’il devient un véritable défenseur de la désobéissance civile. La bas, en Afrique du sud, il se rend pleinement compte des inégalités sociales entre les coloniaux et les hommes de couleurs car il en est victime lui-même. Il est expulsé du tribunal car il porte un simple turban. Il se voit aussi refuser

Satyagraha («la force née de la vérité et de l'amour ou non-violence ») est l'aboutissement de cette vérité contre des lois ou des systèmes injustes au travers d'une lutte non violente. Gandhi considère même le satyagraha supérieur à la désobéissance civile ou à la résistance civile car le terme 2 wikipédia.com/gandhi Page 6/33 La non-violence à travers Gandhi 11.03.2011 implique de servir une cause juste et devenait de ce fait l'arme des forts et non plus l'arme des faibles.3 Gandhi : « Je

les gestes, les exclamations... ont même signification et valeur chez les adversaires, de sorte qu'il est impossible de se combattre sans cette entente minimale. Il se peut très bien même (comme le montre l'exemple donné par Thoreau dans son texte sur la Désobéissance civile) que l'on refuse de « faire société » avec des gens dont on entend que trop bien ce qu'ils ont l'intention de faire (en l'occurrence restituer les esclaves fugitifs à leur maître) et auxquels on veut alors faire entendre qu'on

théorisé ce que l’abolitionniste américain Henry David Thoreau appellera la désobéissance civile. En France c’est Lamennais, ancien prêtre devenu député socialisant à la fin de sa vie, qui remit l’œuvre au goût du jour dès 1835. A partir de cette époque elle est régulièrement réimprimée, devenant une référence littéraire pour tous ceux qui luttent contre un pouvoir politique injuste et illustrant à merveille ce principe de la désobéissance civile, notamment chez le grand écrivain Léon Tolstoï qui traduira