Déséquilibre Macroéconomique

privés § 2 : L’aide au développement § 3 : Les apporteurs multilatéraux : FMI & BM Chapitre VI : Le système monétaire international § 1 : L’étalon-or § 2 : Le régime de Bretton Woods § 3 : Le flottement des monnaies § 4 : Le SMI actuel et ses déséquilibres § 5 : Quels ajustements ? § 6 : Vers un nouveau SMI ? Conclusion 3 Chapitre 1 : LES ECHANGES INTERNATIONAUX § 1 : Les trois phases de l’ouverture. 11) 1850-1914. 1° Mondialisation. Intégration aux économies s’industrialisant d’Europe de l’Amérique

Economie internationale, 9e édition Bourguinat H, Teiletch et Dupuy, Finance internationale, Dalloz Chapitre 1. Histoire des systèmes monétaires internationaux. Question macroéconomique pour se sortir de la crise : politiques monétaire Question micro : les comportements individuels vont accentuer ou absorber les désequilibres Angles historiens : des exemples de l’histoire L’histoire éco nous montre qu’il y a un tas de problèmes qu’on a connus dans le passé (1756-1763, la guerre de 7 ans, l’Etat

maximiser ses choix au regard des contraintes de revenus qui s'imposent à lui. La démarche classique est donc une démarche microéconomique : -- ce sont les lois du marché (loi de l'offre et de la demande) qui doivent conduire à un équilibre macroéconomique général dans le cadre d'une concurrence pure et parfaite. C'est la poursuite des intérêts particuliers qui aboutit à la satisfaction générale, au bien-être de la société sans que cette recherche des intérêts particuliers ne soit considérée comme

classiques, les marxistes des keynésiens * Savoir caractériser les modes de fonctionnement du système économique : le libéralisme économique et l’économie planifiée * Présenter les méthodes d’analyse et savoir distinguer les analyses macroéconomiques des analyses microéconomiques * Présenter les différents secteurs institutionnels et mettre en évidence leurs fonctions, leurs relations et leurs ressources * Etudier le travail, c’est-à-dire caractériser ses aspects qualitatifs et quantitatifs

les FMN investissent dans les pays émergents (IDE, investissement de portefeuille) -> globalisation financière. Les BRICS eux-mêmes sont à l’origine de certains investissements : • Les facteurs macroéconomiques internes : Chine : l’invention d’un capitalisme chinois (Deng Xiaoping). Déséquilibre entre la consommation et l’épargne : La Chine a une épargne très élevée. Selon Solow, l’épargne est une des réponses possibles au problème de l’Etat Stationnaire. Règle d’or d’accumulation du K de

organisations de consommateurs en 2001, « inquiets des conditions de travail des salariés faces aux pratiques de certains grands groupes1 ». Les groupes de travail ont été néanmoins caractérisés par une faible présence des pays en développement et par un déséquilibre de représentation en faveur des représentants des entreprises et en défaveur des représentants des ouvriers et employés. La responsabilité sociétale repose principalement sur deux principes ; 1. vouloir assumer la responsabilité des impacts de

au centre de la croissance. Pour Say, « l’offre crée sa propre demande » (interprétation de Keynes) : un investissement engendre forcément de la croissance. De fait, le taux d’investissement (FBCF / VA) est souvent utilisé comme indicateur macroéconomique pour mesurer la santé d’une économie nationale (ou d’une entreprise) et anticiper le taux de croissance. P. Villieu : « la seule variable reliée de manière robuste à la croissance est le taux d’investissement, quel que soit le pays, la période

une hausse de p est pour lui possibleN 1. Cela conduira le courant de la synthèse néo-classique à utiliser la courbe de Phillips dans le cadre d'arbitrages entre inflation et chômage. Le keynésianisme est l'une des plus importantes théories macroéconomiques. Il désigne la doctrine développée par John Maynard Keynes, notamment dans la "Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie". Keynes y défend l'hypothèse que la demande est le facteur déterminant qui permet d'expliquer le niveau

Les néo-keynésiens[modifier] Article détaillé : Néo-keynésien. [pic] [pic] Paul Samuelson Le courant néo-keynésien (appelé aussi « équilibres à prix fixes » ou « école du déséquilibre ») est une synthèse des théories keynésiennes et néoclassiques. Les économistes de cette école s'intéressent aux fondements microéconomiques de la macroéconomie. Sur certains points, tel la rationalité, les néokeynésiens sont plus proches des conceptions de Friedman que de celles de Keynes. Mais ils conservent

équilibre économique. C’est ce que l’on peut observer actuellement aux Etats-Unis puisque l’Etat réinjecte de l’argent pour dans les banques ou des compagnies d’assurance en déficit, c’est le cas Merill Lynch par exemple). Ses objectifs sont macroéconomiques : la croissance du PIB, le plein emploi, la stabilité des prix et l’équilibre des échanges extérieurs. Le carré magique en est la représentation. Il est toutefois un idéal à atteindre qui reste difficile du fait de conflits d’objectifs. Il