Déterminisme Hasard Finalité

féminine (des aisselles) et on la fait respirer par une autre femme, le cycle de la femme se synchronise sur la base des phéromones. C'est un phénomène inconscient. WEDEKIND (1995) travaille sur les souris, qui ne choisirait pas leur partenaire au hasard, elles prendraient ceux qui auraient un bagage génétique très différent du leur car plus ils sont différents plus leur défense immunitaire sont efficaces et donc plus de chances de vivre pour leurs descendances. Autre expérience, sur une cinquantaine

l’exacte mesure où l’homme est un animal raisonnable qu’il est également un animal politique. C’est dans la cité, où il vit sous la règle de la raison, qu’il réalise la perfection de sa nature. Certes, la genèse de la cité a été commandée par une finalité biologique, une nécessité matérielle et économique (famille, village) mais son essence réside dans une fin morale. En dehors de la cité (c'est-à-dire de la vie politique), l’homme privé de lois, dépourvu d’éducation et de moralité, devient un monstre

de mettre en équation et de prédire les comportements humains et cela dans la mesure, en effet, où l’homme est un être libre, voire imprévisible par excellence. Autrement dit, la liberté de l’homme ne peut-être, ne saurait être enfermée dans un déterminisme quelconque. La notion de loi sociologique par conséquent est une notion absurde, puisque incompatible avec cette liberté même. Tout au plus pourra-t-on exprimer des comportements d’ensemble en termes de probabilité, et tenant compte de la liberté

la relation originelle entre Dieu et sa créature et qui a été perdue depuis la désobéissance d’Adam et d’Eve. Dans cette perspective, la chute devient un accident qui a multiplié les périls et compliqué la mise en oeuvre de la réalisation de la finalité de ce monde à partir duquel Dieu guide son humanité. Si Adam, au moment de sa création, avait déjà en lui la ressemblance de Dieu, il faut admettre, selon ce Père de l’Eglise, une certaine présence de l’Esprit en Adam, présence hélas perdue par

Ils ne cherchent pas à déterminer ce qui est, mais ce qui devrait être. On dit que la perspective est finaliste et normative. Elle est finaliste parce que ils se demandent ce qu’il serait la société idéale, ils cherchent quelle finalité poursuivre. La finalité est normative parce qu’ils se demandent comment il faut agir pour avoir l’idéal, quelles normes suivre. Ces deux caractéristiques se retrouvent dans toute la pensée sociale. On peut distinguer deux courants distincts : Le courant

stratégique + régulation culturelle) ⇨ = ce qui crée l’unité du système social ⇨ = les « grandes » règles du jeu du système global • Logique d’action (d’une coalition qui fait prévaloir ses intérêts) ⇨ regroupement de tâche en fonction d’une finalité commune (rassemble tous ceux qui concourent à sa réalisation, par delà leur appartenance à des sous-systèmes précis) ⇨ se situe au niveau du système global et traverse tous les sous-systèmes ⇨ exemple dans le monopole : logique de fabrication

se rapprochaient de la philosophie d’autant qu’elles tendent à unifier leurs lois sous formes de principes et de théories. b) La philosophie embrasse la réalité dans sa totalité, elle s’attache à l’étude des grands problèmes de l’origine et de la finalité en s’appuyant sur les résultats des sciences. c) La connaissance philosophique va plus en profondeur que la connaissance scientifique. Elle va au-delà des phénomènes et plonge dans les profondeurs de l’être pour savoir ce qu’est la matière, l’énergie

est soumis à un changement perpétuel. Ce que nous croyons être le mieux assuré, qu’il s’agisse de nos amis, de notre pouvoir, des choses que nous possédons ou des êtres qui nous sont les plus chers peuvent en un instant disparaître sous l’effet du hasard ,des contretemps, de l’imprévu qui contrarie ou ruine les actions que nous prétendons inscrire solidement dans le cours des choses. Si par conséquent la plupart de nos actions sont hasardeuses et menacées par l’échec c’est qu’elles portent sur des

être vu comme un échange de liberté contre de la sécurité (la paix). S’il y a une manière technique qui permet d’exprimer du consentement au pouvoir, c’est bel et bien le vote. A Athènes on ne choisit pas ses gouvernants. Le pouvoir obtenu par le hasard est le seul pouvoir légitime. Ici, dans la période moderne, il va se produire une dichotomie, un clivage, entre gouvernant et gouverné. On aura donc un changement de la question démocratique : le choix de l’électeur. En 1848, le CENS est abolit

du fait collectif. Leurs théories donnent lieu à l’exposé des développements criminologiques. Dans une conception anthropologique C. Lombroso tentait essentiellement de dégager un type morphologique de l’homme criminel et de l’expliquer par le déterminisme individuel. Il a eu des précurseurs phrénologistes (ex : Déporta) qui avaient étudiés les aspects du visage, la morphologie du corps d’une côté et les caractères moraux et sociaux de l’autre. La conception anthropologiste de Lombroso reposait