Déterminisme Hasard Finalité

profession ? ........................................77 Nadine Bednarz, Colette Baribeau, Pascale Blouin, Linda Gattuso, Monique Lebrun, Pierre Lebuis 1. Notre conception de la professionnalisation ...................................79 1.1. Les finalités de l’école québécoise qui délimitent l’acte professionnel du futur enseignant ................................79 1.2. Le caractère professionnel de l’acte d’enseigner .....................82 1.3. Groupes sociaux de référence : différents niveaux

doivent être obligatoires, impératives, avoir une force contraignante avec toutefois une limite. Celle-ci est que ces règles, qui sont impérieuses, ne peuvent pas intervenir dans n’importe quel domaine. Elles assujettissent l’individu car elles ont une finalité qui est de régler les rapports sociaux. Les règles s’arrêtent là où cessent les rapports sociaux. Par exemple, la religion génère ses règles. Les règles religieuses expriment la volonté de Dieu, elles ne peuvent pas avoir de limites. Les règles juridiques

le contexte de la modernité c'est une exigence qui trouve à s'exercer à l'égard de l'empire Romain germanique et évidemment de l'Eglise (pouvoir concurrent aux Etats naissants). L'existence d'une société politique organisée en vue d'une finalité purement politique. on retrouve par delà le Moyen Age cette exige trouvée dans la parabole des deniers: il faut que soit distinguer un gouvernement d'Etat et un gouvernement d'Eglise. Cela suppose une mise à l'écart de la religion dans ses rapports

différentes étapes du conditionnement: Dans un premier temps, nous avons la situation suivante: SN + SI –> RI Le stimulus neutre (SN), qui ne déclenche aucune réponse ou une réponse neutre (RN), est associé au stimulus inconditionnel (SI) -survenu au hasard, sans apprentissage - qui Théories des Organisations : Le Béhaviorisme déclenche une réponse inconditionnelle (RI). Elle se manifeste de façon automatique sous forme d’émotion (par exemple, pleurer quand on nous tape sur le pied) ou de réflexe

et serait ressorti. Or, comme avait lieu le rassemblement habituel aux bergers, destiné à rapporter chaque mois au roi l’état des troupeaux, lui aussi y serait venu, portant la bague en question. S’étant assis avec les autres, il aurait tourné par hasard le chaton de la bague vers lui-même, vers l’intérieur de sa main, et dès lors serait devenu invisible pour ceux qui siégeaient à côté de lui, et qui dialoguaient à son sujet comme s’il avait été parti. Il s’en serait émerveillé, et manipulant la bague

approximation, un objet fabriqué dans le but de gérer, d’organiser, de diriger et d’administrer une activité de manière performante et efficace. 1.1.1. Une diversité de rôles Comme tous les outils, on aura premièrement tendance à les définir par leur finalité, et donc à les classer selon leurs fonctions ou leurs rôles. Une première conception consiste donc à les classer par fonctions: instruments de gestion des ressources humaines, de comptabilité, de stratégie, etc. Ce classement par fonction consiste

ne pouvons affirmer aucune valeur, tout est possible et rien n’a d’importance. Point de pour ni de contre, l’assassin n’a ni tort ni raison. On peut tisonner les crématoires comme on peut aussi se dévouer à soigner les lépreux. Malice et vertu sont hasard ou caprice. On décidera alors de ne pas agir, ce qui revient au moins à accepter le meurtre d’autrui, sauf à déplorer harmonieusement l’imperfection des hommes. On imaginera encore de remplacer l’action par le dilettantisme tragique et, dans ce

tel-00687906, version 1 - 16 Apr 2012 2- L’individuation ….……………….…….……………….………….……………….………….………….….… IILe dispositif virtuel, entre médiation et savoir ………………….…… 1- Le dispositif : concept polysémique dès son origine …………………………….………… 2- Contre le déterminisme ………….………….……………….………….………….…….………………. 3- La notion d’usage : pour un autre regard .………….……… .……………………….……… IIILe virtuel : une notion de « passerelle » .………….…………………… 1- La réalité virtuelle et la virtualité réelle .………….…………...………………...… 2-

des singularités spatio-temporelles : le perso. est soumis au hasard et non plus au destin. La notion de prédestination disparaît. Bakhtine : idée qu’il y a bien un lien entre le motif spatial et le motif temporel : pour avancer dans le temps il faut avancer dans l’espace. a partir du moment où le roman abandonne la temporalité mythique qui fait sens, on se retrouve dans le temps court du quotidien. Le perso. de roman n’a plus de finalité, de destin. D’un perso. à valeur collective on passe à un perso

comme pour partie aléatoire et donnée plus ou moins par les dieux, la nature…, mais au contraire, elle « apparaît dorénavant comme une activité réellement intentionnelle et relativement autonome. Elle n'est plus l'effet plus ou moins aléatoire d'un déterminisme de reproduction sociale, mais d'abord une visée individuelle sinon nécessairement et parfaitement programmée du moins réfléchie et rationnelle par laquelle un être humain assure et imprime son pouvoir sur un autre ou un groupe restreint (ou large)