Déterminisme Individualisme

« L'altruisme n'est pas destiné à devenir [...] une sorte d'ornement agréable de notre vie sociale ; mais il en sera toujours la base fondamentale. Comment, en effet, pourrions-nous jamais nous en passer ? Les hommes ne peuvent vivre ensemble sans s'entendre et, par conséquent, sans se faire des sacrifices mutuels, sans se lier les uns aux autres d'une manière forte et durable. Toute société est une société morale. À certains égards, ce caractère est même plus prononcé dans les sociétés organisées

premier temps à développer l'idée que la recherche du bonheur est un idéal égoïste. Nous verrons ensuite de quelle manière notre bonheur peut dépendre de celui des autres. On remarque de plus en plus dans nos sociétés modernes l’émergence d'un individualisme poussé à l’extrême. Il est facile de constater par exemple que dans de grandes agglomérations, comme Paris, une agression violente peu avoir lieu en plein jour sans que personne de réagisse. Une chose inimaginable il y a encore une cinquantaine

LES TYPOLOGIES DE L’ORGANISATION SOCIALE I) Louis Dumont : « Société holiste/société individualiste » in « Homo hierarchicus » (1966) et « Essai sur l’individualisme » (1983) II) Ferdinand Tönnies : « Communauté et société » in « Communauté et société (1877) III) Emile Durkheim : « Solidarité mécanique/solidarité organique » in «  De la division du travail social », Livre I. (1893) « Deux configurations s’opposent immédiatement, qui caractérisent respectivement les sociétés traditionnelles

libertés. —› La distinction de ces deux approches : la première, on a une conception individualiste, on retient l’individu et seul celui ci est concerné. La référence à la morale est symptomatique, la contrainte qu’on s’impose à soi même. Donc individualisme à l’opposition de la société. Si on parle de moralité, c’est que la société peut fixer des normes à la moralité, et ainsi l’encadrer. On parle alors de moralité publique. Cette absence de contrainte sociale inscrit l’individu dans la

nous recherchons des influences culturelles sur l’entrepreneuriat et sur des comportements managériaux. Niveau individuel Niveau collectif Niveau universel Niveau d’analyse Universalisme ou particularisme, esprit analytique ou intégrant, individualisme ou communautarisme/collectivisme, conservatisme ou ouverture, le rapport au temps (synchronisé ou linéaire), égalitarisme ou hiérarchie. 5ème congrès de l’Académie de l’Entrepreneuriat - Sherbrooke - Canada - Octobre 2007 3 2 Influences

condition, quelque chose qui n'existe pas obligatoirement, pour montrer encore une fois le caractère individualisme de ces sociétés, et qui montre ici que même la famille n'est plus une valeur sûre et toujours présente dans la vie et la tête de chaque homme. L'auteur finit par dire que l'homme "n'a plus de patrie", donc plus rien à quoi se raccrocher. C'est entre autres à cause de cet individualisme de la part des hommes que le despotisme et donc la mise en place d'un nouveau pouvoir dans les sociétés

Chapitre n°2 Bis: La mobilité sociale. Définitions: Mobilités sociale: c'est quand tu ou un groupe d'individu change de position sociale par rapport à sa génération précédente ou bien juste dans sa vie. Quand la mobilité sociale est "immobile" ont dit qu'il y a "reproduction" sociale ou bien hérédité sociale. Rigidité sociale: Quand y a un faible pourcentage de MS dans une société. Les enjeux pour un individu: Il se veut de s'élever dans la hiérarchie sociale. Les enjeux d'un

« les droits minoritaires ne st pas d « privilèges » ms d remèdes ou moyens de faire face à d injustices que les minorités subissent du fait d processus d’institution nationale. » Chap 3 : Multiculturalisme et individualisme Y a-t-il contradiction entre mltcisme et individualisme ? L’individualisme : contours d’un phénomène social moderne Conditions historiques de l’émergence d’une société individualiste L’individualisme est manifeste surtt dps les 1960s ms ses origines st bcp + lointaines

d’individus semblables partageant une dynamique probable similaire (Max Weber parle de Lebenschancen ou « chances de vie »), sans qu’ils en soient nécessairement conscients. La classe sociale n’est pas autre chose, a priori , que la somme des individus (individualisme contre holisme) que le chercheur décide d’assembler selon ses critères propres ; ainsi, les classes sont des noms plus que des choses (nominalisme contre réalisme). Karl Marx attendait donc beaucoup de la classe sociale, alors que Max Weber y

est de multiples points dans l’œuvre de « la petite tailleuse chinoise » sur lesquels nous pouvons longuement nous attardez. Cependant, la lecture d’un passage particulier suscita en moi beaucoup d’attention. « Mais Jean-Christophe, avec son individualisme acharné, sans aucune mesquinerie, fut pour moi une révélation salutaire. Sans lui je ne serais pas parvenu à comprendre la splendeur et l'ampleur de l'individualisme (...) Ma pauvre tête éduquée ignorait qu'on puisse lutter seul contre le monde