Déterminisme Psychique

Denise. Le récit Au début du roman Jacques raconte comment un enchaînement fatal de circonstances l’a rendu amoureux et boiteux. Son récit est interrompu de nombreuses fois. Il disserte des femmes , des blessures au genou, de la liberté , du déterminisme, de galanteries impertinentes. l'homme est-il libre et peut-il infléchir son destin ?

liberté ne s’oppose pas à la nécessité (nécessité = ce qui doit absolument arriver telles que la faim, la vieillesse, la mort). Pour être libre, il faut accepter la nécessité. II] La liberté face aux déterminismes 1/ La liberté opposée au déterminisme psychologique : Le déterminisme psychologique est l’idée selon laquelle il y aurait en l’homme un ensemble de pulsions inconscientes, qui le feraient agir de manière involontaire et contraignante (donc de manière non- libre). Freud est le

observent Jacques et son maître dans leurs pérégrinations. 3) Une entrée en matière philosophique L’incipit présente deux conceptions contradictoires sur la question de la liberté individuelle : - Celle de Jacques : elle relève à la fois o Du déterminisme : tous les éléments du monde sont intimement liés les uns aux autres (chaque balle à son billet ; les événements sont liés comme les chaînons d’une gourmette). Pour Jacques, il existe un lien insécable entre sa blessure au genou et ses aventures

Analyse du film Zeitgeist 1- Selon les docteurs Sapolsky, Maté, Wilkinson et Gilligan, le déterminisme génétique (Principe selon lequel les caractéristiques d'un individu sont déja déterminés à la naissance par leur gênes.) est un concept qui influe très peu sur le développement des gens. En effet, selon eux, les caractéristiques psychologiques (et jusqu'à un certain point physiques) des individus dépendent beaucoup plus de l'environnement dans lequel ils se développent que de leurs gênes

la causalité 3.2.3.4. La théorie du chaos 3.2.3.5. Le principe d’incertitude de Heisenberg 3.4. Déterminisme universel 2.2.1. Déterminisme biologique 3.5.1.1. Henri Laborit : la motivation des êtres vivants semble être le maintien de leur structure organique 3.5.1.2. La théorie des automates 2.2.2. Déterminisme environnementaliste 3.5.1.3. Skinner : béhaviorisme 3. Argument I : l’homme peut passer par-dessus la détermination

peut-être plusieurs. 3. Le credo déterministe Le mot déterminisme n’apparaît qu’en 1827. Le fatalisme remonte au XVIème siècle, repris vers 1730. C’est un mot sujet à quiproquo, puisqu’il suggère au lecteur du XXIème siècle l’idée qui il faudrait se plier à volonté de Dieu ; ce mot a aujourd’hui un sens religieux et courant comme fatalisme musulman. Il faut donc bien voir que dans ce roman, le mot fatalisme a un tout autre sens, celui de déterminisme spinoziste. Le XVIIIème siècle français a une vision

qui s’inscrit parfaitement dans ce courant populaire du siècle dernier. À travers les conséquences d’une liberté pleinement assumée, l’auteur affirme le caractère optimiste de l’existentialisme qui se faufile malgré tout dans cette pensée. L’anti-déterminisme et la liberté tels que vus par Sartre sont principalement ce qui font de son raisonnement une référence en philosophie. La façon dont Sartre interprète l’existentialisme consiste d’abord à tenter de comprendre l’existence humaine d’une manière

d’un homme est en lui-même et seul lui peut le réaliser, le mettre à jour. C’est la seule théorie qui ne fait pas l’homme un objet. Ainsi, l’homme crée son essence, car l’essence vient avant l’existence, et donc, son existence n’est pas sujette au déterminisme, elle ne dépend pas d’événements antérieurs. An final, l’homme a une liberté totale sur lui-même, et vient donc de faire un choix énorme, le projet fondamental. Tous les êtres humains ont fait ce choix sans vraiment en prendre conscience, ils ne

absolument libre. De ce fait, si l’homme est absolument libre, alors seuls ses actes peuvent le définir, dans la mesure où il exprime, à travers chacun d’eux, un choix. Ainsi, l’homme n’est que ce qu’il fait de lui-même. Il n’est soumis à aucun déterminisme, aucune fatalité, aucun principe supérieur et décide lui-même du sens de sa vie. Sartre nous montre ici qu’il ne croit pas en l’existence d’un être supérieur, tel Dieu ou la Nature, qui influencerait et expliquerait les choix et les actes des hommes

qui lui est imposée par le biais de la lettre de Darcy. C’est donc à partir de cet épisode que le hasard va reprendre le dessus en faisant « triompher » la romance, bien que le roman s’achève sur une ambiguïté qui ne peut trancher en faveur du déterminisme social incarné par la comédie de mœurs et la conclusion logique de la romance. En premier lieu, le choix et le hasard sont utilisés au sein du roman comme indicateurs de la fiabilité des personnages. En effet, on peut tout d’abord s’intéresser