Développement De La Finance Accroit Le Re Risque Dela Crise

INTERNATIONALES ET STRATEGIE D’ENTREPRISE LA CRISE DES SUBPRIMES : ETUDE HISTORIQUE D’UNE CRISE SYSTEMIQUE Mémoire de diplôme Matthieu MALRIC 30/08/2010 SOMMAIRE Introduction .............................................................................................................................. 4 Partie I : Une crise multiforme ............................................................................................... 8 A- La crise de surendettement ...........................

Face à la crise financière et bancaire il y a un an déjà éclatait la crise dite des subprimes, prêts immobiliers consentis outre-atlantique aux ménages les moins fortunés, transformés par les établissements bancaires en valeurs mobilières – « titrisés » – pour être placés sur les marchés financiers. Partie des Étatsunis, cette énième convulsion du « capitalisme financier », suite logique du krach de la « nouvelle économie » de 2000, s’est propagée à de nombreux pays (royaume-uni, france…) causant

économies nationales. La globalisation financière a été permise à la fin des années 1970 par un retour en force de la doctrine libérale. Pendant les Trente Glorieuses, l’économie et la finance sont organisées sur des bases nationales et elles sont marquées par un interventionnisme important des états. La crise économique qui frappe les pays industrialisés dans les années 1970 (stagflation) conduira au retour en force des thèses libérales. Les milieux financiers et industriels voient leurs richesses

instruments pour quelle performance ? Mardi 9 novembre 2010 de 9h30 à 17h30 au Centre d’analyse stratégique 18, rue de Martignac, 75007 Paris En présence de : Nathalie Kosciusko-Morizet, Secrétaire d’État chargée de la Prospective et du développement de l’Économie numérique www.strategie.gouv.fr Centre d’analyse stratégique - 18, rue de Martignac - 75700 Paris SP 07 - Tél. 01 42 75 60 00 - strategie@strategie.gouv.fr Centre d’analyse stratégique – www.strategie.gouv.fr efficacité

M. Baroin => ministre de l’éco, des finances et de l’industrie, harmonise la situation économique M. Barroso => président de la commission européenne assure la mise en place d’un marché unique, surveille les états, rôle externe : représente l’UE dans les conférences internationales M. Ben Bernanke => président de la fédéral réserve board (FED), définir la politique monétaire des usa et dirige Banque centre américaine M. David Cameron => premier ministre de la grande Bretagne, statut de décideur,

contrôle résiduel : ce sont les droits de prendre des décisions dans toutes les situations qui ne sont pas définies par les contrats (contrats incomplets). Le dirigeant possède les droits de contrôle résiduel. C’est une situation particulièrement risqué du point de vue de cette théorie (les actionnaires sont sans doutes les + fragiles de toutes les parties prenantes) : ils sont payé en dernier et ne contrôle pas totalement l’usage des capitaux apportés. Théorie de l’agence et théorie des contrats

national. PIB 2 000 miliards. Comment sauver une banque espagnole ? L’Etat Espagnol s’endette pour la sauver. Mais il ne va pas bien. L’idée de cet article : les Etats sont dans l’incapacité de sauver leur banque sans se mettre à genou. Qui va financer le régulateur européen pour ces banques ? Comment expliquer l’Allemagne qu’ils vont devoir participer alors que ce pays s’en sort plutôt bien. L’accord de Bâle porte les banques françaises Etre sur que les banques ne se trouveront pas comme

le cas ou on parle de coût, la liquidation de l’actif peut rencontrer deux types de coûts : * Coût de négociation (pour vendre l’actif) * Coût de risque réel ou financier lié à la variation de la valeur de l’actif sur le marché. La monnaie caractérisée par la liquidité presque parfaite. Les autres actifs peuvent courir un risque d’illiquidité à leurs détenteurs. Les innovations financières offrent des actifs L (titres) Elles présentent disponibilité voisine que la M (en proposant

 FINANCE D’ENTREPRISE PARTIE 1 – L'ENTREPRISE ET SON EXPLOITATION CHAPITRE 1 – L'ENTREPRISE CRÉATRICE DE RICHESSE Objectif : Établir le lien entre la valeur ajoutée (VA) des entreprises et le produit intérieur brut (PIB) de la nation (en différenciant VA et profit). 1. L’ENTREPRISE EN QUESTION 1.1. Définir l’entreprise : (c’est complexe :Aucune déf. indique son objectif : faire des profits)

face à la crise financière et économique mondiale Enjeux et orientations de politiques Publiques Mai 2009 RESUME La crise mondiale actuelle a surpris les gouvernements de la planète par son ampleur et sa brutalité. Malgré les plans de relance économique mis en place et l’injection massive de capitaux pour renflouer les systèmes financiers, la perte de confiance des acteurs économiques persiste et un climat d’incertitude domine la conjoncture mondiale. L’horizon de sortie de crise reste ainsi