Earnings before interest, taxes, depreciation, and amortization

s’appuyant sur la qualité intrinsèque d’un dossier, indépendamment de l’identité du vendeur. D’autre part, elles développent des stratégies et des compétences propres, conduisant à une segmentation du marché : telles firmes se spécialisent dans le “ buy-and-build ” alors que telles autres optimisent la rentabilité d’une cible avant de la céder ; - les valorisations de plus en plus proches des investisseurs financiers et des industriels. Cette convergence s’explique tant par la concurrence entre fonds

capital risque: • pour ce qui est des entreprises existantes, ces dernières doivent avoir un effectif permanent ne dépassant pas 200 personnes et doivent avoir réalisé, au cours des deux derniers exercices, soit un chiffre d'affaires annuel hors taxes qui ne dépasse pas 75 millions de dirhams, soit un total de bilan annuel n'excédant pas 50 millions de dirhams • concernant les entreprises nouvellement créées, elles doivent engager un programme d'investissement initial global n'excédant pas 25

de publiphonie 6.000 points de vente de la recharge Réseau Méditel : 96 % de la population couverte 99, 51% de disponibilité Evolution du chiffre d’affaires net (en millions de MAD) + 23 % entre 2003 et 2004 * earning before interest taxes depreciation and amortization (EBE) R A P P O R T A N N U E L M É D I T E L 2 0 0 4 RÉSUMÉ DE GESTION Evolution des résultats de Médi Telecom L’année 2004 a marqué une évolution

type de produit : C.A. EN MM € BOISSONS SPIRITUEUSES EAUX ET JUS DE FRUITS IBERIQUES VINS 61,6 55,3 78,3 31,1 EBITDA1 EN MM€ 21,1 6 20 0,8 1 En finance, EBITDA est un acronyme anglais qui signifie Earnings before Interest, Taxes, Depreciation, and Amortization (revenus avant intérêts, impôts (taxes), dotations aux amortissements et provisions). Tentative d’optimisation de la GCL du Groupe Osborne 11 PRESENTATION DE L’ENTREPRISE Organigrammes de l’entreprise Direction de l’entreprise

L’annexe La loi sur la sécurité financière (LSF) Le périmètre de la LSF Le champ d’application de la loi Les mesures spécifiques aux SA Les mesures spécifiques aux associations La clause de conscience Le cadre fiscal L’impôt sur les sociétés Les principales taxes Bibliographie VI 37 38 38 38 40 40 42 46 46 46 47 48 50 51 51 51 53 55 Chapitre 4 Un environnement légal européen Les obligations des comptes consolidés Le cadre conceptuel Une nouvelle approche des états financiers Documents de synthèse

la fusion 5/44 opposé à ThyssenKrupp, autre sidérurgiste puissant, allié de longue date de Mittal-Steel. Celui-ci a pour sa part effectué une acquisition clé4 en Chine (2004), en prenant une participation de 37,17% de Hunan Valin Steel Tube and Wire5. Il est clair que début 2006, l'Asie est le marché de l'avenir, et la Chine en particulier. Géographiquement parlant, la répartition des marchés est décisive. En effet, nous voulons savoir dans quels domaines Arcelor et Mittal sont complémentaires

L’annexe La loi sur la sécurité financière (LSF) Le périmètre de la LSF Le champ d’application de la loi Les mesures spécifiques aux SA Les mesures spécifiques aux associations La clause de conscience Le cadre fiscal L’impôt sur les sociétés Les principales taxes Bibliographie VI 37 38 38 38 40 40 42 46 46 46 47 48 50 51 51 51 53 55 Chapitre 4 Un environnement légal européen Les obligations des comptes consolidés Le cadre conceptuel Une nouvelle approche des états financiers Documents de synthèse

des chèques en banque ; - Contrôle des virements bancaires ; - Enregistrement et paiement des demandes RH (solde de tout compte, acompte charge,…). 36 o Comptabilité générale : - Calcul et déclaration de l’ensemble des taxes (TVA, CET, DES, DEB, IS, taxes sur droits d’auteurs (SACEM, SACD…)…) ; - Détermination du résultat fiscal (social et d’intégration fiscale) ; - Etablissement des liasses fiscales ; - Etablissement des comptes annuels sociaux et des annexes aux comptes sociaux

ans, la règle du jeu ne soulevait guère d’états d’âme : les sociétés devaient rendre compte de leurs résultats tels qu’ils étaient et non inventer à chaque campagne de comptes un nouvel indicateur comme le célèbre EBITDA (Earnings Before Interest, Taxes, Depreciation and Amortization) ; les investisseurs accordaient leur confiance à des analystes dont les recommandations consistaient, suivant les cas, à acheter ou à vendre ; les analystes de toutes sortes – plus humbles et moins payés que les vedettes

1. 2. 3. 4. Primauté du bilan sur le compte de résultat Introduction de la juste valeur La dépréciation des actifs De nouvelles zones de risque dans l’information financière 99 99 100 102 102 104 105 108 114 119 9 L’ÉVALUATION DES ACTIFS (HORS INSTRUMENTS FINANCIERS) 1. 2. 3. 4. Les immobilisations incorporelles Les immobilisations corporelles Dépréciation d’actifs (ou pertes de valeur) Dépréciation des écarts d’acquisition 10 L’ÉVALUATION DES PASSIFS (HORS INSTRUMENTS FINANCIERS) 121