Échelle

à gémir dans le dos de son maître ( cf. aparté final ) ACTE II Lieu (extérieur)= le premier acte se situe dans un palais quelque part en Sicile , le second dans une campagne dont le patois rappelle celui de l’Ile de France . (aucun respect de la règle des unités ; le théâtre est un univers de convention) Temps = on ne peut concilier le temps de l’acte I et celui de l’acte II : impossible que la barque ait été renversé par le coup de vent du matin (l.5), le jour même ou la promenade a été annoncé

La sueur créée par la douce chaleur lui trempait le dos, les aisselles et les racines de ses longs cheveux bruns attachés. Heureusement, elle avait pris soin de choisir ses vêtements Nike Pro préférés, conçus pour la course. Elle entendait les battements de son cœur jusque dans ses oreilles. En levant ses yeux verts comme des émeraudes, elle s'aperçut qu'elle était rendue au pied de l'immense Empire State Building. Elle était déterminée à battre son record, qui était d'environ 37 minutes pour 5 km

INTRODUCTION Tout artiste musicien qui se trouve en relation avec la question de l’enseignement entre dans une démarche de réflexion et de recherche, c’est à moi aujourd’hui future enseignante de m’investir dans ce projet. Sous la forme d’un guide pédagogique, le résultat de mes recherches permet de clarifier ce qui est important dans ce que je veux transmettre. J’ai donc réfléchi, me suis questionnée sur mon rôle en tant qu’enseignante, sur ma mission, ma responsabilité ; et j’ai défini

LE HUITIEME CONTINENT Titre :le huitième continent Auteur : Florian Ferrier Édition : Plon Pages : 236 Date de parution : 07/06/2012 Résumé ( officiel) : Quelque part dans le Pacifique, une violente tempête s'abat sur le Cyrano, le voilier de la famille Becker. Au matin

D’où vient le vent ? L'énergie éolienne est une forme indirecte de l'énergie solaire. L’absorption du rayonnement solaire dans l’atmosphère engendre des différences de température et de pression qui mettent les masses d’air en mouvement, et créent le vent. L’énergie éolienne : une énergie utilisée depuis longtemps Avec l’eau et le bois, le vent a été une des premières ressources naturelles à avoir été utilisée pour faciliter la vie de l’homme. En maîtrisant la force du vent, l’homme

INTRODUCTION : Tout préjudice subi doit, en principe, donner lieu à réparation. En vertu de la responsabilité du fait des choses, un individu est responsable des dommages causés par la chose ou la personne qu’il a sous sa garde selon l’article 1384 alinéa 1 du Code Civil. En effet, le propriétaire d’un bien corporel est nécessairement présenté comme le responsable du fait dommageable causé par sa chose. Cependant, comme toute responsabilité, celle du fait des choses est La

Omphale En me déshabillant, il me sembla que les yeux d’Omphale avaient remué ; je regardai plus attentivement, non sans un léger sentiment de frayeur, car la chambre était grande, et la faible pénombre lumineuse qui flottait autour de la bougie ne servait qu’à rendre les ténèbres plus visibles. Je crus voir qu’elle avait la tête tournée en sens inverse. La peur commençait à me travailler sérieusement ; je soufflai la lumière. Je me tournai du côté du mur, je mis mon drap par-dessus ma tête, je

 , cela montre une forte unité des juifs enfermer et dans leurs derniers moment de vie. Cette pièce expressionniste (exagérer les émotions) est d’un seul tenant c’est-à-dire sans structure classique joue sur le côté émotionnel de l’interprétation avec la musique qui suit l’intonation du récitant.

Projet de soin de Madame A. IDENTIFICATION DE LA PERSONNE Nom : Maria A. Âge : 85 ans née le 16/04/1930 Nationalité : Française Situation familiale : Veuve, 3 filles HOSPITALISATION Service : Long séjour Spécialité : Soins de suite et réadaptation pour personnes âgées à risque de dépendance. Date d'hospitalisation : Le 31 mars 2015 Motif d’entrée : AVC ischémique droit avec hémiplégie gauche Histoire succincte de la maladie : Convalescence à Saint Don suite à un traumatisme crânien le 19/02/15

Lise s’amusait d’un rien, en l’occurrence demoi. Ce vendredi-là, une imposante voiture noire nous attendait en bas de chez elle. C’étaitlafindejournée.Lecield’automne lentement s’assombrissait. Le chauffeur, en nousvoyantapprocher,étaitsortidelaMercedes pour nous ouvrir les portes. Assis à l’arrière de la grosse berline, nous avions longé les quais de la rive gauche jusqu’au pont d’Iéna pour atteindre quinze minutes plus tard la rue Bois-le-vent où résidait Moune,lagrand-mèredeLise.Lechauffeur était