École néo-classique

le seul système de libre concurrence. I. Certains prônent la concurrence A. L’école classique et les néo-classiques Selon A. Smith, la libre concurrence fais s’ajuster les prix aux coûts de production et les autres facteurs de l’entreprise de sorte à donner une meilleure maîtrise des ressources, et leurs bonne répartition, mais uniquement dans le cadre d’une concurrence parfaite. Selon les néo-classiques, la concurrence est un groupement de marchés appliquant la concurrence parfaite et qui grâce

fondalisme vers le capitalisme, c’est 18 siècle, Ricardo c’est le 19 eme siècle Marx 1 / 10 minute I. Base du raisonnement classique Adam Smith, le père fondateur de l’économie moderne et tête de file du courant des classiques. Il publie en 1776 un célèbre ouvrage intitulé «  recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations » II. Fondement sur lesquelles les classiques vont construire leurs pensées éco: 1) L’homme est rationnel est celui utilise les ressources rares afin d’atteindre une

individuels -Les institutions Individus Institutions Il n’y a jamais d’équilibre économique. Deux niveaux d’institutions : Institutions formelles : Code pénal Code de la route Etat Institutions informelles Habitudes Usages Optique 3. Optique néo-classique En général, la coordination des agents aboutit à une situation optimale : -Seul le recours au marché est efficace. -La coordination hors marché est du gaspillage de ressources. -Il existe des exceptions : « market failures ». Politique économique

LES ECOLES DE PENSEE [pic] [pic] Ecole classique: Au début du XIX ème siècle, des ingénieurs comme TAYLOR, des administrateurs comme FAYOL ou encore des sociologues comme WEBER ébauchent des principes et des formes de travail propices à la réussite des entreprises. L’instabilité et la précarité de l’emploi sont le lot de la majorité des ouvriers de la période « post révolution » industrielle. Le travail journalier à la tâche est monnaie courante. Leur subsistance tient donc essentiellement

d’attractions-répulsions de ses plaisirs => Homo- économicus. Montée du rationalisme : Une série de savants veulent quitter les superstitions de la religion au profit des savoirs rationnels. Hobbes, Newton, Spinoza, Grotius, Descartes, Pascal… Une école se créé : les Mercantilistes. Smythe, Bacon. Ils posent plusieurs hypothèses : 1) le grain est une marchandise comme les autres, même si elle est essentielle à la nourriture des hommes. Ex: Convention de Rio : selon les économistes, l’eau est une

Libéralisme néo-classique et guerre              Comme en réaction aux analyses marxistes qui placent les travailleurs-salariés comme véritables acteurs de la vie économique, une succession d'économistes poursuivent la réflexion du libéralisme en poussant encore plus loin l'élaboration d'un modèle d'équilibre fondé sur la rencontre entre une demande et une offre de biens et de services. Loin de tenter de contrer le marxisme sur le terrain socio-économique, les premières générations de ces économistes

sa jeunesse par rapport au d’autre science_ a fait des progrès considérable. Ces progrès peuvent être observés à travers un bref aperçu sur l’ordre des pensées économiques. Le savoir économique est un processus cumulatif et dialectique ; chaque école reprenne les acquis des écoles qui les précédés. Les grands courants de pensée sont : * La Pensée antique et médiévale : La pensée économique durant cette période caractérisée par leur dépendance à la religion et la philosophie générale de l’existence

est une école de pensée économique fondée par l'économiste britannique John Maynard Keynes. Pour les keynésiens, les marchés laissés à eux-mêmes ne conduisent pas forcément à l'optimum économique. En outre, l'Etat a un rôle à jouer dans le domaine économique notamment dans le cadre de politique de relance. Toutefois l'importance de ce rôle varie avec les courants keynésiens et avec les traditions étatiques des différents pays. Les courants dominants actuels sont la synthèse néo-classique nommée aussi

et d'allocation qui vont répondre au besoin des individus B : Les grands courants de la pensée économiqueEcole classique ; 18em siècle, Smith, Ricardo, Malthus, Say Marx ; 18em/19em sicèleEcole néo-classique ; Walras, Pareto,Mengel, Marshall J.M. KeynesLibéraux - Comptemporain ; Laffer, Friedman, Hayek 1 : La pensée libéral classique et néo-classiqueLes écoles classiques et néo-classique ont en commun un certains nombres de principe de base :°L'individualisme et rationalité des individusSensible

Répartition des ressources rares…qui imposent des choix économiques II- Les courants de la pensée économique 1. le courant libéral classique et néo-classique Conception de l'économie basée sur l'offre : - primauté de l'individu rationnel - supériorité de l'économie de marché – limitation du rôle de l'Etat (justice, défense, sécurité) Les auteurs classiques (18ième siècle) - Adam SMITH : théorie de la main invisible (+ avantage absolu) - Jean-Baptiste SAY : l'offre crée sa propre demande