Edmond Wells

(p.69). Il est vrai que la plupart des succès de la société des fourmis est venu par le courage construit en chacun. Ceci permet alors plus de victoires durant les temps de guerre. Par la suite, la tendance est vue dans les sociétés des fourmis. Edmond Wells a incorporé son opinion de la pensée des fourmis en parallèle avec les pensées humaines : « L’homme croit qu’en offrant à tous ce qu’il estime le meilleur, il débouchera un jour sur une humanité parfaite. Ce n’est pas le sens des choses. [...]

Le Livre de Poche, 1993, 312 pages RESUME : Jonathan Wells est serrurier et hérite d’un appartement qui appartenait à son oncle Edmond. Ce grand appartement se situe au sous-sol mais la situation financière de Jonathan ne lui permet pas de refuser cet héritage. Il décide de s’informer sur cet oncle qu’il connaît très peu et se rend chez sa grand-mère, la mère d’Edmond. Il tombe sur un message de son oncle qui lui est destiné car Edmond avait prévu que son neveu hérite de son appartement. Ce message

narratives se rejoignant à sa fin. D’un côté, nous est racontée la vie dans une fourmilière et de l’autre celle de l’héritier d’un scientifique ayant découvert un procédé technique révolutionnaire. Jonathan Wells est serrurier et hérite d’un appartement autrefois propriété de son oncle nommé Edmond. Cet appartement d’une surface importante est situé en sous-sol et ne laisse entrevoir la lumière de l’extérieur que par de rares soupiraux mais la situation financière de Jonathan ne lui laisse pas vraiment

villes, sa hiérarchie, ses colonies, son langage, sa production industrielle, ses esclaves, ses mercenaires... Ses armes aussi. Terriblement destructrices. Lorsqu'il entre dans la cave de la maison léguée par un viel oncle entomologiste, Jonathan Wells est loin de se douter qu'il va à leur rencontre. A sa suite, nous allons découvrir le monde fabuleusement riche, monstrueux et fascinant de ces "infra-terrestre", au fil d'un thriller unique en son genre, où le suspense et l'horreur reposent à chaque

Vigny, Musset, Hugo, Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé… * Dans le domaine du roman : Stendhal, Balzac, Dumas, Hugo, Flaubert, Zola, Maupassant, Verne… * Et dans une moindre mesure au théâtre avec le drame romantique : Musset, Hugo, Edmond Rostand… * Les événements culturels, littéraires et artistiques : Que cela soit dans l’architecture, la sculpture, la musique, le cinéma ou encore le théâtre et la littérature, les mouvements artistiques ont fortement influencé les auteurs

extraordinaires Ray Bradbury, Fahrenheit 451 * Aldous Huxley, Le Meilleur des mondes * Georges Orwell, 1984, La Ferme des animaux * H.G. Wells, La Guerre des mondes *, L’Homme invisible * René Barjavel, Ravage *, La Nuit des temps * Daniel Keyes, Des fleurs pour Algernon * Théâtre Pierre Corneille, Le Cid Jean Racine, Iphigénie, Andromaque Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac * Jean Giraudoux, La Guerre de Troie n’aura pas lieu Jean Anouilh, Antigone, Le bal des voleurs Alfred Jarry,

galaxies; Le Temps des grandes classes Asimov Les Robots; Le Voyage fantastique Barjavel Ravage; La Nuit des temps ; Ravage Pierre Boule La Planète des singes Ray Bradbury Chroniques Martiennes; Farenheit 451; Un Coup de tonnerre Herbert George Wells La Guerre des mondes ; La Machine à explorer le temps; L'Ile du docteur Moreau J. R. R. Tolkien Le Seigneur des anneaux; Bilboo le Hobbit Georges Orwell La ferme des animaux; 1984 Aldous Huxley le Meilleur des mondes VII. THEATRE : XVIIème siècle :

pourrait être ici incarnée par les maîtres de l'espace et du temps que furent les premiers auteurs de « proto-science-fiction », selon le terme consacré. Tous, ou presque, sont européens : Jules Verne, bien sûr, Joseph Henri Rosny Aîné, Herbert George Wells, Sir Arthur Conan Doyle et Rudyard Kipling, pour ne citer que les plus connus d'entre eux, auxquels il faudrait ajouter les américains Edgar Allan Poe et Howard Philips Lovecraft. Tous firent de l'univers en lui-même, avec une belle générosité, le

une maison-refuge. Le refuge insulaire est alors à double tranchant : Plutôt protecteur chez Hugo, l'espace insulaire devient au contraire chez Dumas dans le comte de Monte Cristo, (1846) l'enfermement des bagnards (le Château d'If où est prisonnier Edmond Dantès). La III° République, porteuse d'un projet colonial, témoigne de l'ambivalence insulaire, prise dans une sorte d'utopie pénitentiaire, entre colonisation salvatrice et déportation pénale : La Nouvelle Calédonie ou les îles du Salut au large

EN TANT QUE GROUPES DISTINCTS: COMPARAISON DE LA CONVENTION EUROPEENNE DE SAUVEGARDE DES DROITS DE L'HOMME ET DES LIBERTÉS FONDAMENTALES ET LE LÉGISLATION DE LA FÉDÉRATION DE RUSSIE  «Notre vraie nationalité est l'humanité». Herbert George Wells. Malgré que l’article 1 de la Convention de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales (Convention européenne des droits de l’homme) «reconnaisse à toute personne relevant de leur juridiction les droits et libertés définis au