Édouard-Léon Scott de Martinville

le son est gravé dans la matière (comme de l'encre par exemple) par gravure mécanique( cylindres et disques «noir») ou par gravure optique ( lasers). 1.Histoire a) Le Commencement:Le Phonautographe Le phaunotographe de Martinville Les premières expériences de l'enregistrement d'un son ont été nombreuses. Plusieurs scientifiques ont ainsi inventé des machines pouvant inscrire les vibrations d'un son. L'enregistrement mécanique est la première forme d'enregistrement

sans même la possibilité de jouer les enregistrements ; on a récemment réussi à lire, par des moyens informatiques, un enregistrement au noir de fumée de Édouard-Léon Scott de Martinville réalisé le 9 avril 1860 grâce à son invention, le phono-autographe : on peut ainsi entendre une voix de l’époque chanter Au clair de la lune ! Scott de Martinville n’envisageait pas de relire ses enregistrements, il espérait seulement pouvoir remplacer la notation musicale par une notation acoustique. Cependant, depuis

quantitativement les retombées économiques, les emplois directs et induits. Le groupe des entreprises privées soutient pleinement la création du « Comité de pilotage foires, salons et congrès » installé en décembre 2006 par les ministres Christine Lagarde et Léon Bertrand. Il s’agit d’une instance de gouvernance nationale pour laquelle est prévu un premier rapport d’étape cet été. Cette instance doit devenir pérenne afin de permettre à la France d’améliorer son attractivité dans les domaines du tourisme d’affaires

quantitativement les retombées économiques, les emplois directs et induits. Le groupe des entreprises privées soutient pleinement la création du « Comité de pilotage foires, salons et congrès » installé en décembre 2006 par les ministres Christine Lagarde et Léon Bertrand. Il s’agit d’une instance de gouvernance nationale pour laquelle est prévu un premier rapport d’étape cet été. Cette instance doit devenir pérenne afin de permettre à la France d’améliorer son attractivité dans les domaines du tourisme d’affaires

situation particulière de deux rois, dont l’un se déclare « l’homme » de l’autre : les deux personnages sont pairs comme l’indique l’identité de leurs vêtements (manteaux imprimés de l’emblème royal du lys et couronnes). En tant que roi d’Angleterre, Édouard Ier ne dépendait que de lui-même, mais, en tant que duc de Guyenne, il dépendait du roi de France. La position agenouillée en signe de soumission témoigne d’une acceptation de cette situation hiérarchique, comme semblent le confirmer les deux sceptres