Effet De L Epargne

microéconomie fondée sur la théorie de la 2 concurrence imparfaite. C’est, dans ce cadre, que Kaldor développa une théorie « keynésienne » de la répartition : le taux d’investissement, qui est une variable exogène, détermine, pour des propensions à épargner données, la répartition du revenu entre salaires et profits. Parler d’une théorie keynésienne de la répartition peut apparaître paradoxal. Keynes ne s’est pas intéressé, en tant que telle, à cette question et, dans la Théorie Générale, il reprend

 OCÉOR, Nexity, Banque BCP | Effectif | 52 000 (en 2007) | Site web | www.caisse-epargne.fr | | La Caisse d'Epargne est aujourd'hui une entreprise reconnue de tous, et, à ce titre, elle désire se situer comme leader sur le marché des jeunes. En effet, c'est un secteur intéressant, il constitue le « fonds de commerce de demain » et c'est pour cette raison que la concurrence est très accrue. La priorité est donc aujourd'hui de fidéliser ces jeunes clients afin de les conserver au sein de notre enseigne

économique (EBE/K) et la rentabilité financière (EBE-Frais financier/Capitaux propres). Lorsqu’une entreprise dispose d’une épargne elle a le choix entre consacrer celle-ci au financement de ses investissements et réaliser des placements financiers. Dans ce cas le taux d’intérêt va déterminer la rémunération de ce placement. Lorsque les entreprises ne disposent pas d’une épargne et doivent financer leurs investissements par des emprunts, le taux d’intérêt constitue alors le cout de cet emprunt. Dans

Banque centrale, la BC p. 53 D16, 17, 18 C’est la Banque centrale, la BC, qui joue le rôle de garant du système bancaire en approvisionnant le système en monnaie « Banque centrale »(la monnaie fiduciaire). Les banques commerciales ont en effet besoin de détenir de la monnaie fiduciaire dans leurs agences pour leurs clients. Elles doivent donc s’en procurer auprès de la Banque centrale. En échange de ce service, la Banque centrale leur demande un taux d’intérêt qui va servir de base au taux

l'emprunt c/ credit-bail ou leasing d/ l'augmentation du capital Pour une entreprise qui a un besoins de financement pour ses investissements plusieurs possibilités sont ouvertes: - Elle peut tout d'abord faire appel à sa propre épargne (autofinancement). - Elle peut également trouver des capitaux au prés des associé ou actionnaires. - Elle peut aussi recourir à des emprunts à moyen et long terme. - Le crédit-bail (LEASING) constitue une autre possibilité il s'agit

la Création monétaire (EU = BCE) Le financement de la dette : La dette publique (totalité des emprunts non remboursés) est refinancée chaque année Les émissions d’emprunts vont puiser sur l’épargne publiques = moins de commission sur epargne Effet d’éviction : Non concerné après 1990 – Les banques sont acteurs sur le marché financiers B-INDIRECT La fiscalité : * augmentation = moins de consommation – Découragement des entreprises à investir = Moins de crédits pro = (emplois des

l’élasticité de la demande par rapport au prix (effet Giffen + effet Veblen). Nous avons vu que dans la norme, la demande et le prix évoluent en sens inverse mais il existe des cas pour lesquels ça ne se passe pas de cette manière. • Effet Giffen (ƐD/P > 0) Robert Giffen a observé que lorsque le prix du pain augmentait, il est possible que sa demande augmente aussi. Ce phénomène s’explique par le fait que la capacité d’acheter d’autres produits diminue. En effet, les consommateurs à plus faible revenu

d′intérêt taux d′intérêt i2 i1 0 I2 I1 IS Invt 0 Y2 Y1 Y S 45° S1 S2 0 I2 I1 S S1 S2 0 Y2 Y1 I Y La courbe IS est fixée dans le plan pour les valeurs des paramètres qui commandent tant la fontion d′investissement que la fonction d′épargne : si l′on change au minimum l′un ou l′autre des ces paramètres, la position d′IS bouge en conséquence. Une dépense publique positive va avoir pour conséquence de décaler vers la droite la courbe IS. La sensibilité de l′investissement au taux d′intérêt

précises qui justifient la lutte contre l'inflation : - Inégalité sociale : L'inflation ne va pas toucher les ménages de la même façon. Les classes aisées dirigent généralement leur épargne vers des placements plutôt risqués donc ... rémunérateurs. Les classes moyennes quant à elles, quand elles pourront placer leur épargne, elles le feront sur des placements peu risqués (exemple : Livret A) donc, peu rémunérateurs. De plus, les pouvoirs en terme de négociation de salaire sont plus importants chez

l'épargne Revenu = Consommation + Epargne | R = C + S Déterminants économiques: rationalité + budget du consommateur, utilité + caractéristique du bien, loi de la demande en fonction du prix (sauf prix psychologique ou anticipation) Déterminants sociologiques: Consommateur de signes (acheter pour être vu), filière inversée (offre détermine la demande, ex: mode, pub) Épargne: financière (liquidité, placement), non financière (immobilier) Pourquoi épargner? Liquidité, sécurité, patrimoine (thésaurisation)