Effet De Nuit Paul Verlaine

aux doigts osseux sortaient des noirs grabats; Un vent froid bruissait dans les linceuls sans nombre; Les peuples éperdus semblaient sous la faulx sombre Un troupeau frissonnant qui dans l'ombre s'enfuit; Tout était sous ses pieds deuil, épouvante et nuit. Derrière elle, le front baigné de douces flammes, Un ange souriant portait la gerbe d'âmes. Biographie de l'auteur : Victor Hugo est né a Besançon le 26 février 1802 et mort a Paris le 22 mai 1885.C’est le dernier enfant d’une famille de trois

la mort qui donne un sens à la vie ? Autant de questions que se sont toujours posés les hommes, car la mort est l'un des cycles les plus mystérieux de la vie, puisqu’elle est le dernier qui soit connu. L’Homme, victime de la mort depuis la nuit des temps, cherche à l’expliquer, à lui donner un sens, une raison, et ainsi recherche l’espoir d’une vie éternelle. Mais il y a autant d’avis sur celle-ci que de penseurs, c’est ce qui fait la richesse de ce sujet, et c’est pourquoi l’homme s’en est

des trahisons, Des gens de plume aux mains crochues(2), Maint(3) poudré(4) qui n'a pas d'argent, Maint homme qui craint le Sergent, Maint Fanfaron qui toujours tremble, Pages, Laquais, Voleurs de nuit, Carrosses, chevaux et grand bruit : C'est là Paris ; que vous en semble ? Paul Scarron, Sonnet, Poésies diverses, 1654. Texte 2 Que j'aime le premier frisson d'hiver ! le chaume Sous le pied du chasseur, refusant de ployer ! Quand vient la pie aux champs que le foin vert embaume

voyant par un long immense et raisonné dérèglement de tous les sens […]. » Aussi pour cette quête des sens il lui faut partir : il multiplie les fugues, il partit du foyer familial dès ses 16 ans pour Paris où il y rencontrera ses ainés et son pareil Verlaine qui le surnommera « L’homme aux semelles de vent ». Puis enfin, ne fut t’il pas également ce négociant aventureux jonglant tour à tour avec la vie, tantôt trafiquant d’armes, exportateur, photographe, et tantôt militaire mais pour un temps seulement

plates comme les couplets. En effet, ce refrain est d’un rythme impair (7 syllabes - heptasyllabes). On note ici l’influence de Verlaine et le désir de souligner l’instabilité que lui procure la mélancolie éprouvée sur le pont Mirabeau, par l’usage du rythme impair (« De la musique avant toute chose / Et pour cela préfère l’impair » (« Art Poétique », Jadis et Naguère, Paul Verlaine, 1884).
 Ce thème du « vers brisé » apparaît en paronomase dans la chute du poème « Nuit 1 Rhénane » : « Mon verre

proclame surtout sa dette à l'égard de Baudelaire et de Wagner. Rimbaud, « passant considérable » dit Mallarmé, oriente à sa manière la poésie, dans sa Lettre à Paul Demeny (1871), vers la recherche d'une langue qui soit « de l'âme pour l'âme, résumant tout, parfums, sons, couleurs, de la pensée accrochant la pensée et tirant ». Mais c'est en Verlaine que les Symbolistes salueront leur chef de file, en raison d'une écriture dont l'Art poétique (1874) prescrit les règles : « Car nous voulons la Nuance encore

justification Au commencement de ce module, J’avais des doutes parce que la poésie n’a jamais été mon point fort et en plus je suis pas trop poétique. Dans ce dossier, j’ai fait un commentaire comparé entre les poèmes : A une femme de Verlaine, Femme Noire de Senghor et le serpent qui danse de Baudelaire. J’ai essayé `a travers ce commentaire de faire découvrir que bien qu’ils aient la femme comme commun, leurs approches de la femme sont différentes mais qu’à la fin leurs conceptions

émotion chez le lecteur, et aussi chez le poète , mais la question que nous nous posons est si la poésie a comme unique but l’expression des sentiments personnels, ou si elle a des autres fonctions. Nous étudierons d’abord comment la poésie est, en effet, une expression des sentiments personnels du poète. Nous discuterons ensuite comment la poésie peut prendre d’autres formes, celle de la poésie engagée faite pour éduquer et informer, et celle qui cherche à expérimenter le langage. La poésie

et bien moins qaue demain!... Nous nous regarderons, assis sous notre treille, Avec des yeux remplis des pleurs de nos vingt ans... Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs ! Paul VERLAINE (1844-1896): Chanson d'automne: Les sanglots long Des violons De l'automne Blessent mon coeur D'une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure; Et je m'en vais

Qu'est-ce de l'homme orgueilleux...  », Jean Auvray, 1623 « A mes amis », Evariste de Parny, 1778 « Le Lac », Méditations poétiques, Alphonse de Lamartine, 1820 « Chanson d'automne », Poèmes Saturniens, Paul Verlaine, 1844 « Le ballet des heures », Poésies diverses, Gérard de Nerval, 1851 « L'ennemi », Les Fleurs du Mal, Charles Baudelaire, 1861 « Le Pont Mirabeau », Alcools, Guillaume Apollinaire, 1912