Effet de souffle

pays en crise. Cependant les créditeurs n’étaient pas rassurés et afin de les satisfaire, le gouvernement grec a été forcé de réduire ses dépenses par des plans d’austérités drastiques. Malheureusement, ces changements ont eu un effet dramatique sur la population. En effet, ce système a fâché le peuple de part ses nombreuses restrictions budgétaires : salaires réduits, fonctionnaires mis au chômage, nouvelles taxes, impôts sur les cadastres… Cette nation et plus précisément les jeunes, ne voyant aucune

vivacité. 1. b) Des personnages réalistes. Ensuite, les personnages féminins, présents autour du cadavre, présentent un caractère réaliste. Elles sont identifiables socialement : il s’agit de cinq courtisanes, représentatives de leur époque. En effet, il n’est pas de personnage important, sous le Second Empire qui n’entretienne une courtisane. Elles sont désignées ici par leur surnom, qui est aussi un pseudonyme : Gaga, Lucy, Caroline, Blanche et Rose Mignon. L’utilisation du discours direct permet

qui nous renseigne : "Alors, brigand, je vins" (v.32). Hugo s'applique ironiquement à lui-même le qualificatif injurieux que ses adversaires lui auraient attribué. Quel est donc son forfait ? : "Et sur les bataillons d'alexandrins carrés / Je fis souffler un vent révolutionnaire / Je mis un bonnet rouge au vieux dictionnaire". Donc, si l'on en croit Hugo, ses adversaires littéraires l'ont chargé d'un double crime : avoir révolutionné l'alexandrin, plus généralement les règles classiques de la poésie

fonction de la profondeur du fond et du fetch. En eau peu profonde (lorsque la vague se rapproche des côtes par exemple), l'amplitude sera plus grande que si une vague se situe en pleine mer (en mètres). ➢ Le fetch : c'est la distance sur laquelle souffle le vent durant une certaine durée sans rencontrer d'obstacle. Ainsi, plus la distance sera grande, plus l'amplitude sera importante, c'est pour cela que sur les petites étendues d'eau (lacs de petite superficie) il n'y a aucune vague assez grande

le luxe… Mais, mon destin a très mal tourné… En effet, maintenant je ne suis plus qu’une âme. Tout a commencé un dimanche après-midi d’été… Je m’étais muni d’une casquette, d’une paire de lunette et d’un foulard afin de pouvoir sortir en toute tranquillité sans que des fans hystériques me sautent dessus. Cet après-midi là, avait lieu une brocante, j’avais décidé d’y faire un petit tour afin d’y trouver quelques meubles anciens. En effet, pour changer, je ne voulais plus de meubles qui

et funeste, il annonce ainsi le drame qui va suivre : « douloureusement calme », « des souffles plaintifs de désespérance », le paysage « sent la mort » arriver. C’est donc cette atmosphère silencieuse et menaçante, qui les poussera en partie à agir. En outre, dans cet extrait plus particulièrement, la description du cadre prend une place aussi importante que l’action du meurtre dans le texte. Zola étant en effet un auteur réaliste-naturaliste, il se devait de décrire au mieux le paysage pour que le

séparés : aab / ccb. On peut dire que la structure choisie est déjà génératrice d'une certaine tension : elle met en attente le lecteur jusqu'au vers 6 avant d'obtenir une unité strophique achevée. Sur le plan du rythme, ce dispositif crée un effet particulier, fondé sur la syncope. La longueur réduite des vers (8-8-4) a pour conséquence un rythme bien marqué, proche des rythmes de la poésie populaire et de la chanson. En outre on remarque que les octosyllabes présentent des rimes féminines tandis

ASPIRER 0° SOUFFLER 0° ASPIRER 180° SOUFFLER 180° BRIDER PILE AVERTIR Fin T30 Fonction Déplacement vertical bras Prendre, déposer 0° Prendre, déposer 180° Bloquer avant dernier couvercle Appeler opérateur ACTIONNEUR PREACTIONNEUR Vérin linéaire double effet Distributeur 5/2 bistable Générateur de vide1 Générateur de vide2 Vérin linéaire double effet Distributeur 5/2 monostable Gyrophare + klaxon Relais monostable SYMBOLE MONTER BRAS DESCENDRE BRAS ASPIRER 0° SOUFFLER 0° ASPIRER 180°

une phrase nominale formée de trois termes qui renvoient tous au champ lexical de la mort. De par sa composition trilogique, ce début exprime un statisme qu’explicite l’absence du verbe d’une part et le sémantismes de ce triptyque d’autre part : en effet, le noir renvoie aux ténèbres des tombes, le froid caractérise tout cadavre enterré et l’absence de l’âme ne peut que dénoter le sommeil éternel. Cependant, et en contextualisant ce fragment, on pourrait postuler qu’il s’agit certes de l’attitude d’un

avec « cheveux » « cœur » « ventre » « jambes » et « bras » venant s’opposer à la noirceur morbide présente dans le texte. En effet, ces quelques membres traduisent encore une infime étincelle de pulsion de vie chez ces femmes. A contrario, la pulsion de mort est omniprésente. Un champ lexical inanimé tels que « immobiles, raidies, glacé » cherche à étouffer le peu de souffle de vie présent dans le texte. Zola nous plante ici la caricature d’un décor d’agonie. Une palette de couleurs sombres, nous