Effet multiplicateur du crédit

susceptibles d’influencer la décision d’octroi d’un crédit à un promoteur ? Généralement, le financement d’un projet d’investissement d’un entrepreneur provient des fonds extérieurs, c’est-à-dire le recours à l’emprunt. Force est de constater que les établissements financières ne financent pas tous les projets que les agents investisseurs leur présentent. Dès lors, nous nous demandons dans quelle mesure on octroi du crédit à un promoteur. Ce sujet peut

quant à cette politique. Trois questions au-moins se posent : ➢ Les relances budgétaires sont-elles efficaces ? Notamment lorsque la dette publique atteint un niveau élevé ➢ À l’inverse, une contraction budgétaire a-t-elle toujours un effet dépressif sur la demande ? ➢ Est-il possible et souhaitable de définir des principes budgétaires et de s’y tenir ? Ces questions se posent avec une attention particulière dans le cadre de l’UEM, où les gouvernements se sont donné des

approche empirique. I - Les moyens de la relance et les mécanismes mis en évidence par Keynes. Pour Keynes, un excès d'épargne peut entraîner la crise. Donc, seul l'état est en mesure de stimuler la demande lorsque celle-ci est insuffisante. En effet, en période de crise les agents économiques ne dépensent pas et les entreprises n'investissent pas. L'investissement ne peut donc « repartir » que si les anticipations des entreprises sont positives. Keynes préconise donc des mesures de relance. Il

épargne R=revenu C= consommation P= I + C R= C + E I= E Schéma keynésien macro économique qui représente l’équilibre entre la sphère réelle et la sphère financière, l’équilibre étant réalisé par le taux d’intérêt sur les marchés fi. C’est le crédit qui crée l’épargne, et c’est donc la politique monétaire et accessoirement budgétaire qui va permettre de réguler l’économie. * Compte courant : * Balance commerciale= X – M * Balance des invisibles (dividendes…) * Compte Kaux

tensions sur le financement de l'investissement retombent grâce à la possibilité de financer l'investissement en recourant à l'épargne étrangère. La problématique principale redevient les anticipations des entreprises sur la demande effective. En effet, certaines tendances à l’œuvre dans les entreprises notamment multinationales comme la compression des salaires nominaux dans le partage de la valeur ajoutée, la substitution du capital au travail à l'œuvre ou les choix d’investissement à l’étranger

* la complexité des structures de ces prêts subprimes * L’effet multiplicateur du crédit * Les stratégies d’investissement à fort effet de levier Contagion au marché du crédit : * Augmentation du risque de contrepartie * Défiance au niveau mondial envers les créances titrisées et les actifs à risque: mouvement de réévaluation du risque * Diminution de liquidité sur le marché du crédit et difficultés d’accès au moyens de financement: les banques sont donc obligées

car ils sont convertibles, car remboursables à vue à la banque Y. Au départ, c’est une monnaie de substitution, afin éviter les aléas inhérents aux trajets insécurisés à l’époque. Le développement des billets a été De pair avec le développement des effets de commerce. Ces billets devenus anonymes se passaient de marchands à marchands. L’habitude a été prise d’utiliser les billets à la place de l’or ou de l’argent. En 1856, Palmstruck est le fondateur de la Banque de Suède, et va développer ces billets

n'anticipe pas parfaitement la demande, et risque, si elle est importante et qu'il a ralenti sa production, de perdre des marchés) 2. Le lissage de la production (le stock joue comme un tampon entre l'offre et la demande -CF théorie des stocks-tampons: en effet, s'il suit la demande et qu'elle augmente, le coût marginal de la production va croître) Nota: ce motif ne joue que si le choc est temporaire (ou perçu comme tel) Nota: en 1996, en Tunisie, la consommation des ménages augmente de 2,5 % (épargne:

Baisse de l’Investissement Maintien de l’Investissement I = Sm + Se Baisse de la Demande Globale (C+I) Bénéfices Non Distribués Le réinvestissement de l’épargne est contrarié par un effet d’éviction, l’épargne est évincée au profit des dividendes. OPA : une entreprise rachète les actions à des prix plus hauts d’une autre entreprise. Il n’est pas contradictoire d’observer que l’économie est dans une relative de stagnation (plus de

sans condition, et que chacun utilise en quantité égale (comme, par exemple, l’éclairage public ou la défense nationale). Ces biens (qui sont plutôt des services, en réalité) ne peuvent, par définition, être produits par des entreprises privées. En effet, celles-ci ont pour objectif premier la réalisation d’un bénéfice. Or, la production d’un bien collectif implique des coûts fixes tels qu’une entreprise privée n’aura pas intérêt à s’y engager (le risque de perte étant élevé). Certains de ces biens