Effet multiplicateur du crédit

la revue économie et management d’octobre 2009 n° 133 de Frédéric Larchevèque La politique économique de la France face à une conjoncture qui se dégrade. Sujet 0 accessible sur le site du Crcom. Il n’y a pas de corrigé « officiel » disponible. Les effets de la variation du prix du pétrole sur les décisions des agents économiques SUJET ELEMENTS DE CORRECTION L’ouverture d’une économie aux investissements directs étrangers, l’exemple de la Contexte : Roumanie Le premier janvier 2007, la Roumanie

Comparées Croissance et crises Cours de MM. Ramaux et Assous Travaux Dirigés J. Beuve et M. Koning 1 Avant Propos Ce cours fait suite à l’enseignement de première année. Il constitue son prolongement mais change d’angle d’analyse. En effet, lors du premier séminaire de théories économiques, les élèves ont appris quelles étaient les sources de la création de la valeur (échange et usage) chez les auteurs classiques et quelles étaient les routes à suivre afin de jouir de la « Richesse des

de l’Etat ....................................................................... 28 2. a) b) Le principe du multiplicateur ..................................................................................... 28 Le multiplicateur statique ................................................................................................................... 29 Le multiplicateur dynamique .........................................................................................................

nécessaire. Ils ont pris le risque d’émettre plus de billets qu’ils n’ont d’or et d’argent d’où l’instauration du mécanisme de crédit basé sur la confiance. Le billet va devenir une vraie monnaie, des billets distincts de la monnaie métallique. En même temps on a une autre initiative, celle de Palmstruck : émettre des billets non sans contrepartie mais contre des effets de commerce. Le commerçant qui a des créances sur un autre commerçant remettait ses créances au banquier qui délivrait en échange

comparées de lutte- contre l’inflation 8- L’emploi et le chômage - Politiques comparées de lutte contre le chômage 9- La politique économique - Fiscalité - Dette publique - Investissement public 10- La politique économique - Politique monétaire et du crédit Examen final (3h) Travaux préparatoires - Compte rendu sur l’actualité (CRA*) - Analyser Tableau de bord de l’économie nationale (Carré magique de N.Kaldor) - CRA - Analyser Enquêtes HCP sur les dépenses et sur le niveau de vie. 2 Cours

d’un logiciel …). Cependant, la comptabilité nationale retient très peu les investissement immatériels : en effet, par exemple les dépenses en formation, en recherche et développement, en marketing sont considérés comme des consommations intermédiaires. Ces dépenses pourraient néanmoins être apparentées à un investissement. De plus, il existe différente sortes d’investissements, selon les effets attendus. En premier lieu, l’investissement peut viser à augmenter les capacité de production de l’entreprise :

sans condition, et que chacun utilise en quantité égale (comme, par exemple, l’éclairage public ou la défense nationale). Ces biens (qui sont plutôt des services, en réalité) ne peuvent, par définition, être produits par des entreprises privées. En effet, celles-ci ont pour objectif premier la réalisation d’un bénéfice. Or, la production d’un bien collectif implique des coûts fixes tels qu’une entreprise privée n’aura pas intérêt à s’y engager (le risque de perte étant élevé). Certains de ces biens

Capital Variable)/placement à court terme ( 1 720 Milliards € L’IMPACT DE LA QUANTITE DE MONNAIE SUR L’ECONOMIE › EFFETS POSITIFS (on parle d’offre de monnaie) : avec des taux d’intérêts faibles ( crédit facile (plus d’emprunt) qui renforce l’offre de la monnaie. Moyen de relance par la consommation et l’investissement. Aboutissement sur le développement de l’économie. › EFFETS NEGATIFS : demande de l’offre trop importante => risque d’inflation. Théorie quantitative de la monnaie (Irvin FISCHER) :

budgétaire expansionniste » qui a pour fonction une réduction du déficit public obtenue par réduction des dépenses, cela accroît la demande intérieure et s’accompagne généralement d’une hausse de l’activité économique. Les économistes parlent d’effet multiplicateur de la dépense publique. Mais les conditions d’avant ne sont pas les mêmes qu’aujourd’hui, et donc elle n’assure pas la réussite comme le Canda dans les années 80 ou la Suède au début des années 90. La commission Européenne (qui a pour rôle de

118 000 milliards de dollars, soit 326% du PIB mondial. Très fort développement du marché des changes. En 20 ans, le volume journalier des opérations a été multiplié par 10 : en 86, 200 Mds de dollars contre 1900 milliards en 2004. La part des crédits à la clientèle dans l’actif des banques commerciales a régressé de 84 % à 38 %. Les banques se sont orientées vers des activités de marché : à l’actif, la part des titres est passé de 5 % en 80 à 47 % en 2002 Les administrations publiques ont augmenté