Effet multiplicateur du crédit

aussi des traces de la monnaie scripturale au 9ème siècle. Il faut attendre le 18ème siècle pour son véritable développement. Au 14ème siècle, apparaît un instrument important : la lettre de change qui a joué un rôle important. C’est un instrument de crédit qui va être rapidement utilisé à l’échelle internationale pour des opérations qui impliquent des échanges avec 2 monnaies qui sont différentes. C’est l’ancêtre du chèque bancaire. Avec la lettre de change on va voir apparaître des systèmes de compensations

recommandations du G20 et du FMI. M. Chafiki, quant à lui a entamé cette première partie du débat en soulignant que les deux parties, la DEPF et la DGT, partagent les mêmes interrogations quant à l’évolution de la situation internationale et les effets sur les deux pays, avec des préoccupations sur la réactivité immédiate du circuit de décision, en cette période de cadrage macroéconomique en préparation du projet de loi de finances 2011. Il a précisé également qu’il y’a des cadrages de fond à soumettre

des rôles primordiaux dans l’entré et la sortie de crise, on se rappellera du président américain Roosevelt et de l’anglaise Margaret Thatcher, ainsi que les effets de leur politiques économiques. Cependant malgré les enseignements que peut nous fournir l’histoire, les crises semblent se répéter et notre ère n’en est pas exempt. En effet, en cette période de crise économique mondiale, les gouvernements du monde entier ne se contentent plus d'être des autorités de réglementation passives. Ils sont

comprend : - Les monnaies divisionnaires (les pièces, métaux, etc …), émise par la bque centrale - Monnaie fiduciaire (billets), émise par la banque centrale et détenue - monnaie scripturale (compte) : les dépôts à vue auprès des établissements de crédit, - des centres de chèques postaux et du trésor. Cette définition comptable est internationalement admise et regroupe donc les moyens de paiement. Il faut signaler que les dépôt à vue en devises sont exclus de . Leur conversion en dhs comportant

que l’Allemagne peinant à rembourser ses dettes, les USA connurent une période euphorique. Cette période est du au fait que pour aider les européens, les USA ont baissé leur taux d’intérêt, favorisant les crédits et les emprunts et créant un boom de la bourse de New-York. Et cela à eu pour effet que tous les Américains, riche comme moins riche, ce sont mis à spéculer. Le problème étant que tout cela ne reposait que sur des spéculation et le jours où les Américains inquiet de la crise de production

chocs d’offre et de demande ; - établir les enchaînements logiques qui relient « choc » d’offre ou de demande et évolution de l’activité ; - présenter les étapes du cycle de crédit et expliquer pourquoi il renforce les fluctuations économiques ; - établir un enchaînement logique entre choc d’offre/choc de demande et cycle de crédit pour expliquer le basculement dans une économie de dépression ; Bulletin officiel : L’observation des fluctuations économiques permettra de mettre l’accent sur la variabilité

productivité du capital) est supérieur au taux monétaire (taux du crédit observé). Les entreprises s'endettent pour investir et les ménages consomment. On a alors à la fois expansion et inflation, le taux monétaire augmente. Lorsqu'il rejoint le taux naturel, l'expansion s'arrête, c'est le retournement de la conjoncture, i.e. la crise économique. Idée reprise et développée par Friedrich Hayek (1931)3, c'est la théorie de la sur-capitalisation. Le modèle d'Irving Fisher (1933)4 tente de donner les

années, que la corrélation entre l’évolution de M3 et l’inflation n’est pas du tout automatique. En effet, entre 2005-07 l’inflation en France est passée de 1.8% à 1.5% ; or à la même période la croissance de M3 est passée d’environ 7% à presque 12%. Soit une croissance nettement supérieure à la référence des 4.5%. En effet, la progression du marché immobilier a été accompagnée d’un octroi massif de crédit immobilier qui a augmenté la masse monétaire en circulation sans incidence sur l’IPC. La BCE a donc

internationaux va enrichir les nations qui y participent. Il a finit par démontrer que ce commerce avait un effet d’entrainement sur la richesse des nations ce qui conduit à promouvoir le « libre échange » Ex : de l’échange en Angleterre et Portugal avec le Vin et le Textile Conclusion ⋄ Augmentation de la richesse mondiale (effet quantitatif) ⋄ Déformation de la richesse (effet qualitatif) plus de textile et moins de vin Ricardo en tire en enseignement favorable aux échanges : même

Aujourd’hui, la situation des finances publiques invite à s’interroger sur les effets de la fiscalité sur l’économie, c’est-à-dire sur la croissance économique. En principe, la croissance économique de la France peut se définir comme étant l’évolution de la richesse produite sur le territoire français entre deux années ou entre deux trimestres. Cette richesse est appelée produit intérieur brut (PIB). En effet, avec un taux de prélèvements obligatoires, comprenant l’ensemble des impôts et cotisations