Effet multiplicateur du crédit

La monnaie est tout d’abord un moyen d’échanger, et elle ne se limite pas à ce simple rôle d’outil : elle permet de se livrer à une activité marchande, et donc à une activité sociale. De plus, la définir par sa fonction ne suffit pas : elle a en effet une dimension symbolique, par exemple dans le pays où elle est utilisée. Ce livre nous explique les liens entre la Banque Centrale, qui détient le monopole de l’émission monétaire, et les autres banques ; il tente de nous expliquer d’où l’argent tient-il

d’épargne (S) 3.3. Les propensions moyenne et marginale 3.4. La fonction d’investissement (I) 3.5. L’équilibre global en économie fermée sans intervention de l’Etat 3.5.1. 3.5.2. Résolution mathématique Application 3.6. Remarques finales 4. L’effet multiplicateur 5. Synthèse 6. Exercice Méthodologie Bibliographie -5- PREMIERE PARTIE : LA CONSOMMATION Chapitre 1 : La consommation et l’épargne Chapitre 2 : Le marketing -6- Chapitre 1 : La consommation et l’épargne -7- Dans ce chapitre

plusieurs quantités pourront être achetées au même prix. Les conséquences L’effet de substitution ou « effet Marshal » Outre le bien qu’on examine, il y a tous les autres biens. Si le prix d’un bien baisse et que tous les autres restent constants, il va y avoir de la part du consommateur une préférence pour le bien dont le prix baisse. L’effet de revenu ou « effet Hicks » Si le prix d’un bien baisse cela influence le revenu du consommateur car la baisse du prix joue indirectement

CONJONCTURELLE) • La politique budgétaire est un instrument de régulation de la conjoncture économique fondé sur l'analyse keynésienne qui préconise de compenser la baisse de la demande privée par un accroissement de la demande publique. • Le « multiplicateur keynésien » rend compte du mécanisme par lequel une hausse des dépenses publiques agit sur la demande globale : — toute dépense conduit à la formation d'un revenu, — une dépense publique d'un milliard implique la distribution de revenus pour

accorde, elle résulte et est aussi à l’origine d’un contrat, d’un accord tacite entre les individus pour que sa valeur reste la même et donc que les titulaires de revenus fixes, comme les épargnants, n’aient pas de baisse de leur pouvoir d’achat. En effet, si la monnaie perd de sa valeur, la confiance s’en trouve mise à mal. 3. La monnaie permet la mise en place d’un contrat social, car elle résulte de la confiance accordée et donc d’un accord passé par les membres de la société ; de plus, elle signifie

billets de trésorerie ; les dépôts auprès de la caisse d’épargne nationale ; les dépôts  auprès des établissements de crédits spécialisés).    La création monétaire    La  création  monétaire  est  l’un  des  aspects  les  plus  importants  de  l’analyse  monétaire.  On  trouve derrière cette  opération trois catégories d’agents : les banques,  la banque centrale et le  trésor public.  Les banques  Les  opérations  de  crédits  réalisées  par  les  banques  représentent  donc une  source majeure de  création monétaire.  

compose : 1. les personnes qui travaillent; 2. les chômeurs; 3. les inactifs Le taux d’emploi : gens qui travaillent / population en âge de travailler REMARQUE : Répercussions sociales du chômage :  Le chômage a des effets directs sur le bien-être des chômeurs  Ces effets dépendent de la nature du chômage : les chômeurs ne constituent pas un groupe stagnant composé de gens qui restent chômeurs longtemps. En France, le nombre de travailleurs qui perdent un emploi et le nombre de ceux qui en

1997 Encadré par : Mr. AZIRAR Travail réalisé par : BENBOUZID Lamia Résumé : Le Système Monétaire et Financier International est constitué d’un ensemble de marchés sur lesquels s'effectuent les échanges monétaires internationaux. En effet, le développement des échanges internationaux suppose l'existence d'un système monétaire international assurant la convertibilité des monnaies nationales les unes par rapport aux autres selon un régime de change permettant de fixer la parité des monnaies

L’équation qui en ressort est : C = cY + Co Avec C = consommation, Y = revenu, Co = consommation qui ne dépend pas du revenu. Pour Keynes, l’épargne c’est un gaspillage de ressources présentes. Tout accroissement de l’épargne exerce un effet déprimant sur la consommation et sur l’investissement. L’acte d’épargne peut appauvrir la communauté. Effectivement, s’il n’y a pas de consommation, la demande effective est falsifiée et donc le niveau de production future anticipé ne correspond pas

du TM. Au début des années 1990, la décomposition du syst soviétique révèle un désastre économique insoupçonné. 1. Après un quart de siècle, la croissance rencontre ses limites dès la fin des années 1960 • La contestation met en cause les effets de la croissance productiviste Dans les entr, le personnel supporte de plus en plus mal les contraintes tayloriennes : le « malaise de l’os » entraine une plus grde combativité, la fuite devant le travail (absentéisme, revendication de la réduction