Efficience du marché financier

prospérité, ce dernier est devenu dans une courte période un secteur moderne et efficace. Il a connu un mouvement de concentration significatif aujourd'hui achevé. Plusieurs banques possèdent une licence d'exploitation mais sept banques contrôlent le marché. Le principal acteur est constitué par le réseau public des Banques Populaires. Viennent ensuite les autres banques et celles contrôlées majoritairement par des actionnaires étrangers, parmi lesquelles la BMCI, filiale de BNP-Paribas, et le Crédit

de la PS déterminent la logique de son financement 1.3. Une approche économique 1.2.1. Deux principales approches économiques 
1.2.2. Un fil directeur : comment concilier efficience et équité 1.2.3. Par rapport au cours de sociologie (M.Villac) 2. LA COUVERTURE DES RISQUES SOCIAUX : UNE QUESTION D’EFFICACITE/EFFICIENCE 2.1. La mutualisation des risques par l’assurance 2.1.1. Principe de fonctionnement 2.1.2. Problèmes fondamentaux 2.2. Assurances privées et assurances publiques 3. L’ENJEU

cohérence entre leurs projets personnels et le projet d’entreprise puisque les deux amis avaient déjà tenter l’aventure avec la création du guide des boulangeries et patisseries parisiennes. Ils ont ensuite élaboré un business plan ainsi qu’une étude de marché, ce qui leur a permis de mieux cerner les besoins de potentiels consommateurs. Ensuite, ils ont fait le choix du statut juridique de leur entreprise, c’était une société commerciale, il s’agit maintenant d’une société anonyme. Enfin, les deux entrepreneurs

rendement : Les principaux objectifs sont : bénéfice ou profit croissance part de marché Les autres objectifs secondaires sont : objectif financier augmentation du savoir-faire satisfaction des exigences des parties prenantes Objectif du résultat : - efficience : rapport entre règlement et ressource engagée. - efficacité : degré de réalisation des objectifs. - concilier : efficience et efficacité. Les buts : - productivité : Q outputs produits / Q facteurs utilisés

la direction générale mais il n'est qu'une partie du système d'information. Anthony et Dearden définissent le contrôle de gestion comme étant (un processus par lequel les dirigeants s'assurent que les ressources sont obtenues et utilisées avec efficience et efficacité pour réaliser les objectifs de l'organisation). Pour que le contrôle de gestion remplisse sa mission d'une manière efficace, il doit couvrir l'ensemble de l'activité de l'entreprise et s'intégrer dans le système d'information global

a une date donnée . il peut être d’ordre économique ( augmentation des part du marché ) sociale (satisfaire les stakeholdes) et institutionnel ( devenir une entreprise viable et vivable développé la fierté d’appartenance ) Mission : la raison d’être de l’entreprise (satisfaire une demande, minimisation des couts … ) Métier : ensemble de domaine d’activités stratégiques Performance : efficacité, efficience, pertinence qu’ont obtiens par la relation objectif , moyen ,résultat … Finalité :

LE RÔLE DU CONTRÔLE DANS LA PERFORMANCE DES ENTREPRISES AFRICAINES Le contrôle de gestion est le processus par lequel les dirigeants s’assurent sur les ressources qui sont obtenues et utilisées avec efficacité et efficience pour réaliser les objectifs de l’organisation. Depuis les indépendances, les entreprises constituent un enjeu essentiel pour les États africains. Si au début des années ’60 et ’70 on assiste à un spectaculaire accroissement du champ d’intervention des entreprises dans l’économie

des processus de gestion de l’organisation. Le risque peut être défini comme tout événement, tout comportement, toute situation, affectant la réalisation des objectifs. Ils peuvent être organisationnels, opérationnels, juridiques, comptables ou financiers. Caractéristiques Les démarches de contrôle interne s’appuient sur un ensemble de principes : Une organisation claire, des missions et des responsabilités explicitées ; Des procédures formalisées, claires, comprises et appliquées, adaptées à

d'implantation des entreprises. Selon le barème établi par ce cabinet de conseil, le poids du critère «Environnement» dans la décision de localisation serait d'environ 30 % en moyenne, soit finalement presque autant que le critère financier. En effet, l'avantage financier que procure la délocalisation pèserait pour 40 % dans le choix des entreprises. La pondération de ces critères est toutefois variable selon les priorités de l'entreprise délocalisatrice. A pondération égale, le classement d'attractivité

connu, depuis, d’importants développements, en particulier des mutations sur le plan de la régulation suite à la crise internationale financière de 2008, et l’entrée en vigueur sur le plan national, de la Constitution de 2011, l’ouverture du marché financier à de nouveaux acteurs ainsi que l’amorce de la réforme du régime de change. Le projet de loi 40-17 a été approuvé par le Conseil du gouvernement en août 2017 et a franchi toutes les étapes du processus législatif jusqu’à sa publication au Bulletin